Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Coward


Par : Coward-
Genre : Action, Réaliste
Statut : Abandonnée



Chapitre 6 : Alcool et autres drogues.


Publié le 02/07/2011 à 14:39:51 par Coward-

Chapitre 6

J'étais collé contre Zoé, et qu'est-ce que je voyais sur un canapé ? Ma conne de soeur, en train de se faire bourré la gueule par un espèce de pauvre yes-life qui a besoin de bourrer les filles pour les sauter. Fais chier, je suis en plein slow avec Zoé, et y'a ma soeur qui se fait bourrer par un con...
J'irai la voir tout à l'heure, je garde un oeil dessus quand même.
Zoé me glissa alors un mot à l'oreille.

-On se connait que depuis ce matin, mais je trouve cette danse très agréable. Si rien ne s'était passé ce matin, je ne t'aurai jamais vu, ni connu, mais je dois t'avouer qu'en fait, je te trouve plutôt mignon, et là maintenant je suis prête à ce que tu m'embrasses.

*Bienvenue à Zombieland spotted, on dirait.*

Je déposais alors mes lèvres sur les siennes, je ne ressentais pas, une fois de plus, comme lors de mon dernier baiser avec la fille de mes vacances, la sensation d'un baiser amoureux, puisque je n'étais pas amoureux d'elle, je la trouvais physiquement attirante, mais je ne la connais que depuis ce matin, je ne l'aime pas encore. Je préfère profiter du moment et voir ce qu'il adviendra de cet "amour" dans les prochains jours.
Je retirai alors ma langue de la sienne, mes lèvres de ses lèvres, et la regardait, en souriant.

-Je sais que ça ne peut pas être de l'amour, on ne se connait que depuis ce matin, et à cause de ce baiser, on pourra pas être amoureux, le hasard était présent, mais pas le coup de foudre et la connaissance de l'autre, et je ne tomberai surement pas amoureuse de toi, même si on restait ensemble pendant des semaines, mais j'ai vraiment envie qu'on devienne proche, me dit-elle.

Y'aura pas de prochains jours finalement...

-Je pense comme toi... Je t'ai juste défendu, et je te trouve vraiment très belle, et tu me plais, mais on ne se serait probablement pas rencontré si il n'y avait pas eu ses deux débiles, c'est un concours de circonstance, c'est tout.
-C'est vrai, tu as raison...

Nous dansâmes pendant quelques minutes encore, le temps de quelques slows, puis elle décida de retourner voir ses amies. Pendant ce temps, j'étais occupé à retrouver ma conne de petite soeur, qui s'était faite bourré par cet impuissant. Si je pense comme la queue de ce gars, je dirai qu'il l'a emmené à l'étage. Je monta les marches quatre à quatre, et commençai à ouvrir les chambres.
J'ouvris la première, et je vis d'abord deux filles qui était en train de faire des gâteries à un gars, génial.

-Continues comme ça bro', lache pas tout tout de suite, dis-je en rigolant, mais au fond je rageais quand même un peu.
-Putain, mais dégage, pov' tâche.

Je fermai la porte, et j'ouvris la seconde, voyant alors ma soeur, endormie, et cet enfoiré qui était en train de lui retirer son haut.

-Mon pote, t'es un homme mort.

Je lui sauta dessus et lui colla une droite dans sa face, il était tellement bourré qu'il s'évanouissait de suite. Malgré cela je continua à lui foutre des coups. J'entendis un bruit derrière moi, et je vis Leon et Cedric qui m'attrapèrent pour que je le lache.

-C'est bon les gars, vous inquiétez pas, j'ai fini avec lui, cet enfoiré à essayer de profiter de ma soeur, en la faisant boire. Virez ce looser maintenant, disais-je très énervé.

Léon le pris et le jeta dehors. J'appela mon père pour qu'il vienne chercher Leana mais Cedric prit mon portable.

-Appelle pas ton père, elle va se faire détruire sinon, on va la laisser dormir, et tu partiras avec elle demain matin, Leon va te filer une chambre... on va fermer la porte à clé et lui en laisser une t'inquiète.

J'acceptai sans rien dire et retournai dans le salon. je commençai alors à fumer, une fois de plus et je tombais dans le canapé. Cinq minutes plus tard, Zoé arriva vers moi.

-Ben, je peux te parler au calme, là-haut ?
-Ouais bien sur, si tu veux...

Nous montâmes à l'étage, dans la chambre qui m'était réservée. J'étais un peu dans les nuages à cause du joint, je ne me posais aucune question quant à ce qu'elle allait me dire. On rentra alors dans la chambre et elle ferma la porte à clé, puis retira la veste qu'elle avait mis après m'avoir quitté ainsi que ses chaussures. Puis ses chaussettes. Elle s'allongea sur le lit...

-Viens...


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