Note de la fic :
Publié le 16/05/2011 à 17:47:33 par Sipro
« J’espère que tu sais ce que tu fais, Anthèlme.
-Je sais ce que je fais… Fais-moi juste confiance. »
Anthèlme analysa rapidement son adversaire. Une silhouette massive. La personne en face de lui portait une armure lourde, et un bouclier au moins aussi lourd que l’épée. L’armure était brillante, très brillante, radieuse, belle, bien qu’imposante étant faite en plate. L’armure devait faire 3 centimètres d’épaisseur. Cette armure avait des finitions parfaites, des sortes de petites écritures magiques, en Rédahelois ancien, un dialecte très rarement utilisé, ayant laissé place au nouveau Rédahelois. L’armure avait deux énormes pointes, sur l’épaulière droite. Le bouclier, quant à lui, était massif, 1mètre de diamètre, rond, hérissé de pointes sur l’avant. Il était joli, bien que cela ne fût pas son premier usage. L’épée n’avait rien à envier aux deux protections, car elle était un peu plus richement décorée, et semblait, ô combien, très tranchante. De cette montagne armée, émergeait une tête, non recouverte par un heaume, comme on aurait pu le croire. Cette tête, était celle d’une personne de race humaine, de sexe… féminin. Le visage assez fin, de longs cheveux bruns, ondulants légèrement, retombaient sur le dos de l’armure, au milieu du dos. Cette femme arborait une crinière relativement impressionnante, et n’avait rien à envier aux autres femmes qui peuplaient le bas et haut monde du royaume.
« Ah ! Maîtresse ! s’écria Anthèlme
-Maîtresse ? demanda Ainarïel
-C’est elle qui m’a formée à devenir Paladin. Maîtresse, voici Ainarïel, une amie que j’ai rencontré il n’y a pas très longtemps.
-Enchantée, dit Ainarïel.
-De même… Anthèlme, pourquoi es-tu ici à 5 heures du matin ?
-Le seigneur local m’a prié d’en finir avec ces bandits.
-Cinq heures du matin, ce n’est pas une heure pour exercer profession Anthèlme. Certes, il faut que bien se fasse et que mal trépasse, mais tout de même.
-Je déteste les bandits. Vous le savez.
-Bon, puisque vous êtes là, rendez vous utile. Amenez moi donc au seigneur.
-Bien…
-Anthèlme, combien de mission as-tu accompli ?
-2, celle-ci, et une auparavant, traitant de gobelins.
-Ah oui, ces animaux… Tu as bien utilisé la méthode que je t’ai essayé ?
-Ils se sont suicidés avant que je ne les approche.
-Ton cri fait tant d’effet ?
-Eh bien, non pas vraiment, je n’ai pas crié. Mais un des gobelins est tombé dans un feu qu’ils avaient allumé. Il en est mort, et les autres l’ont dévoré. Après ils se sont mis à se pousser dans le feu, jusqu’à ce qu’aucun gobelin ne reste en vie.
-Je ne sais même pas si je peux encore qualifier ces créatures d’animaux, je pense qu’un rat est bien plus intelligent. Bien, le seigneur nous attends Anthèlme , en route… »
Pendant qu’ils se remettaient en marche, un petit homme, un gnome vint à leur rencontre.
-Une lettre pour Anthèlme ! On m’a dit vous trouver sur la route. Au revoir !
Après avoir proclamé ces quelques mots, le gnome reparti aussi vite qu’il était venu…
-Je sais ce que je fais… Fais-moi juste confiance. »
Anthèlme analysa rapidement son adversaire. Une silhouette massive. La personne en face de lui portait une armure lourde, et un bouclier au moins aussi lourd que l’épée. L’armure était brillante, très brillante, radieuse, belle, bien qu’imposante étant faite en plate. L’armure devait faire 3 centimètres d’épaisseur. Cette armure avait des finitions parfaites, des sortes de petites écritures magiques, en Rédahelois ancien, un dialecte très rarement utilisé, ayant laissé place au nouveau Rédahelois. L’armure avait deux énormes pointes, sur l’épaulière droite. Le bouclier, quant à lui, était massif, 1mètre de diamètre, rond, hérissé de pointes sur l’avant. Il était joli, bien que cela ne fût pas son premier usage. L’épée n’avait rien à envier aux deux protections, car elle était un peu plus richement décorée, et semblait, ô combien, très tranchante. De cette montagne armée, émergeait une tête, non recouverte par un heaume, comme on aurait pu le croire. Cette tête, était celle d’une personne de race humaine, de sexe… féminin. Le visage assez fin, de longs cheveux bruns, ondulants légèrement, retombaient sur le dos de l’armure, au milieu du dos. Cette femme arborait une crinière relativement impressionnante, et n’avait rien à envier aux autres femmes qui peuplaient le bas et haut monde du royaume.
« Ah ! Maîtresse ! s’écria Anthèlme
-Maîtresse ? demanda Ainarïel
-C’est elle qui m’a formée à devenir Paladin. Maîtresse, voici Ainarïel, une amie que j’ai rencontré il n’y a pas très longtemps.
-Enchantée, dit Ainarïel.
-De même… Anthèlme, pourquoi es-tu ici à 5 heures du matin ?
-Le seigneur local m’a prié d’en finir avec ces bandits.
-Cinq heures du matin, ce n’est pas une heure pour exercer profession Anthèlme. Certes, il faut que bien se fasse et que mal trépasse, mais tout de même.
-Je déteste les bandits. Vous le savez.
-Bon, puisque vous êtes là, rendez vous utile. Amenez moi donc au seigneur.
-Bien…
-Anthèlme, combien de mission as-tu accompli ?
-2, celle-ci, et une auparavant, traitant de gobelins.
-Ah oui, ces animaux… Tu as bien utilisé la méthode que je t’ai essayé ?
-Ils se sont suicidés avant que je ne les approche.
-Ton cri fait tant d’effet ?
-Eh bien, non pas vraiment, je n’ai pas crié. Mais un des gobelins est tombé dans un feu qu’ils avaient allumé. Il en est mort, et les autres l’ont dévoré. Après ils se sont mis à se pousser dans le feu, jusqu’à ce qu’aucun gobelin ne reste en vie.
-Je ne sais même pas si je peux encore qualifier ces créatures d’animaux, je pense qu’un rat est bien plus intelligent. Bien, le seigneur nous attends Anthèlme , en route… »
Pendant qu’ils se remettaient en marche, un petit homme, un gnome vint à leur rencontre.
-Une lettre pour Anthèlme ! On m’a dit vous trouver sur la route. Au revoir !
Après avoir proclamé ces quelques mots, le gnome reparti aussi vite qu’il était venu…