Note de la fic :
Publié le 17/05/2011 à 19:11:36 par Sipro
-Eh bien, il n’y avait pas de raison de s’inquiéter, le camp de bandit est ici. On a juste à entrer, à leur casser le crâne au nom de la justice, et de…
-Anthèlme, tu sais combien ils sont ?
-Pas vraiment… Mais vu la taille du camp, je dirais une trentaine…
-Anthèlme… Que vois-tu ?
-Une muraille de rondins de bois côte à côte, donc l’extrémité pointant vers le ciel à l’air bougrement pointue, et donc on ne voit pas la partie enfoncé dans le sol… Et je vois aussi 2 gardes devant la porte… Ils ont l’air armés.
-Pourtant c’est ce que je vois aussi… déclara Delphia. Alors soit tu es extrêmement courageux… Soit tu es complètement stupide.
-Je crois qu’il est amoureux, chuchota Ainarïel à l’oreille de Delphia.
-Mais de qui ?
-De la fille du seigneur…
Les laissant à leur discussion, et n’y prêtant pas vraiment attention de toute façon, Anthèlme s’éloigna un peu du groupe. Il trouva deux cailloux assez durs et gros, et évalua la distance qu’il avait avec les bandits, à peine 10 mètres. Il prit un morceau de tissu qu’il avait dans sa poche, et s’en servit comme fronde. Il plaça une des pierres dans sa fronde improvisé, la fit tourner plusieurs fois et envoya le roc dans le crâne du bandit le plus proche de lui, lorsque que l’autres eut détourné la tête, ce qui ne servit pas à grand-chose, car lorsque le bandit eut reçu le caillou dans la tête, il poussa un cri de douleur et se massa la tête.
Anthèlme avait néanmoins réussis à blessé le bandit, puisque celui-ci saignait désormais, malheureusement pas assez pour le tuer, mais il avait l’air un peu désorienté. Le second bandit se rapprocha de son compagnon et examina la blessure. Pendant ce temps là, Anthèlme contourna les deux bandits, passant à travers les fourrés et les pris dans le dos, ayant compris que la fronde et les pierres ne lui serviraient à rien, à part réveiller le camp. Il s’avança donc prudemment, derrière les deux bandits, et enfonça sa lame courte dans la gorge du premier, qui s’était retourné en l’entendant arriver, car malgré tout, Anthèlme n’était pas très discret. En voyant son compagnon s’écrouler, le bandit sonné sortit son arme et se mis en garde. Le paladin lui envoya son pied dans les parties génitales. Le bandit tomba à genoux, en se tenant ce qu’il avait de plus précieux, alors qu’Anthèlme en profita pour lui abattre son épée dans le crâne.
-Allons-y ! dit-il à ses deux compagnons.
Anthèlme s’avança dans le camp, et scruta autour de lui. D’après ce qu’il entendait, cinq bandits maximum étaient réveillés, les autres dormaient. Il remarqua que la tente du chef était au fond du camp, et cette dernière le surplombait largement. Rien à voir avec les petites tentes minables en toiles des bandits. La tente du chef ressemblait plutôt à un chapiteau, où étaient accrochées différentes peaux de bêtes sur les toiles. Au milieu s’élevait un rondin de bois, tenant l’édifice. Les câbles devaient y être accrochés, passaient par les toiles pour les tendres et s’enfoncer dans le sol. Comme pour tous les chapiteaux en fin de compte. Anthèlme remarqua aussi les cages des prisonniers, prêt de l’entrée du camp. En s’approchant, il put remarquer une femme, jeune, elfe…
-Anthèlme, tu sais combien ils sont ?
-Pas vraiment… Mais vu la taille du camp, je dirais une trentaine…
-Anthèlme… Que vois-tu ?
-Une muraille de rondins de bois côte à côte, donc l’extrémité pointant vers le ciel à l’air bougrement pointue, et donc on ne voit pas la partie enfoncé dans le sol… Et je vois aussi 2 gardes devant la porte… Ils ont l’air armés.
-Pourtant c’est ce que je vois aussi… déclara Delphia. Alors soit tu es extrêmement courageux… Soit tu es complètement stupide.
-Je crois qu’il est amoureux, chuchota Ainarïel à l’oreille de Delphia.
-Mais de qui ?
-De la fille du seigneur…
Les laissant à leur discussion, et n’y prêtant pas vraiment attention de toute façon, Anthèlme s’éloigna un peu du groupe. Il trouva deux cailloux assez durs et gros, et évalua la distance qu’il avait avec les bandits, à peine 10 mètres. Il prit un morceau de tissu qu’il avait dans sa poche, et s’en servit comme fronde. Il plaça une des pierres dans sa fronde improvisé, la fit tourner plusieurs fois et envoya le roc dans le crâne du bandit le plus proche de lui, lorsque que l’autres eut détourné la tête, ce qui ne servit pas à grand-chose, car lorsque le bandit eut reçu le caillou dans la tête, il poussa un cri de douleur et se massa la tête.
Anthèlme avait néanmoins réussis à blessé le bandit, puisque celui-ci saignait désormais, malheureusement pas assez pour le tuer, mais il avait l’air un peu désorienté. Le second bandit se rapprocha de son compagnon et examina la blessure. Pendant ce temps là, Anthèlme contourna les deux bandits, passant à travers les fourrés et les pris dans le dos, ayant compris que la fronde et les pierres ne lui serviraient à rien, à part réveiller le camp. Il s’avança donc prudemment, derrière les deux bandits, et enfonça sa lame courte dans la gorge du premier, qui s’était retourné en l’entendant arriver, car malgré tout, Anthèlme n’était pas très discret. En voyant son compagnon s’écrouler, le bandit sonné sortit son arme et se mis en garde. Le paladin lui envoya son pied dans les parties génitales. Le bandit tomba à genoux, en se tenant ce qu’il avait de plus précieux, alors qu’Anthèlme en profita pour lui abattre son épée dans le crâne.
-Allons-y ! dit-il à ses deux compagnons.
Anthèlme s’avança dans le camp, et scruta autour de lui. D’après ce qu’il entendait, cinq bandits maximum étaient réveillés, les autres dormaient. Il remarqua que la tente du chef était au fond du camp, et cette dernière le surplombait largement. Rien à voir avec les petites tentes minables en toiles des bandits. La tente du chef ressemblait plutôt à un chapiteau, où étaient accrochées différentes peaux de bêtes sur les toiles. Au milieu s’élevait un rondin de bois, tenant l’édifice. Les câbles devaient y être accrochés, passaient par les toiles pour les tendres et s’enfoncer dans le sol. Comme pour tous les chapiteaux en fin de compte. Anthèlme remarqua aussi les cages des prisonniers, prêt de l’entrée du camp. En s’approchant, il put remarquer une femme, jeune, elfe…