Note de la fic :
Publié le 13/11/2008 à 19:05:40 par ShaunOfTh3Dead
#
A peine la porte ouverte, l'odeur de l´essence me montai au nez. Mes yeux furent éblouis par l´apocalypse qui régnait dehors. Les voitures en feu jonchait la rue. Les immeuble, vitre exposés, faisait beau dans le décor, si on ne regardait pas les étages en feu, les corps collait au vitre. En parlant de corps, des centaine dormaient sur le trottoir et la route. Leur tête avait était tranchés pareil, mais on aurait plutôt dit qu´elles auraient était mordus puis arrachés. Je ne pouvais pas supporter cette vision. Je courus jusq´au coin de la rue. Je courus encore et encore jusqu'à´a reconnaitre la place ou j´étais. 10 bornes de chez moi. Je me prépara a avancer quand soudain, j´entendis un bruit de l´autre côté de la fontaine. Une sorte de frottement rampant a terre. Je serrai le tuyau que j´avais gardais et fit le tour de la fontaine. Mon cœur battait a tout rompre, a mesure que le frottement s´intensifier, des gouttes de sueur coulait le long de mon dos. Je tremblai de plus en plus. Le frottement se faisait plus proche. Je tournas et découvrit l´origine du frottement. Un chien se déplaçait a terre. Mais sa partie basse reposait 5 mètres devant son corps. Je déglutit et m´enfui en courant. Que c´était t-il passé? Les rues était déserte, tout était détruits et l´homme que j´avais tué hanté mon esprits. Le sang qui coulait, la rage qui était en moi, les tubes avec le produit et mes parent morts sous mes yeux. Je courais encore et encore sans m´arrêter. Mon souffle devenait froid mais la peur de rencontrer autres de ces...hommes m´effrayer de plus en plus. J´arriver 1 heures plus tard au pas de ma porte. Et merde. Qui allait m´ouvrir? Je me demandais quand rentre quand une hombre passa non loin de moi. Je me retournais mais la rue était vide. Des bruits de pas attirèrent mon attention de tous les côtés. Merde, qui c´était? Combien était-ils?
Puis tout cessa. Le silence a mes oreilles, pas même un oiseau ne gazouillait, seul ce macabre silence résonnait.
BAM!
Le bâton s´écrasa a mes pied. Il venait de l´autre côté du fleuve que je venais de traverser. La distance était énorme, et l´homme qui me l´avais lancé était encore de l´autre côté. Puis il poussa un cri de rage indescriptible, il résonne a travers toutes la ville. Et je compris que je n´étais pas seul. Des milliers d´homme recouverts de sang sortirent des rues de l´autres côtés du pont. Ils venaient en courant, merde je devais ouvrir la porte.
Je mis un grand coup de tuyau et la porte se fissura puis je frappa encore et encore jusqu'à´a que la porte en verre se cassa. Ils arrivaient. Je courait dans l´escalier, leurs pas résonnaient dans le hall, putain ils étaient trop rapide. J´arrivais devant ma porte, elle était ouverte! Eux était juste derrière, je fermais la porte et me rabattis dessus. Ils poussaient, frappaient, criaient, des larmes coulait le long de mes joues. Je fermais la porte d´un coup d´épaule et fermais tous les verrous. Je mis le tuyau en travers. Les coups résonnait, je me colla au mur et m´assis par terre, les larmes coulant. Je devais savoir ce qu´ils c´était passé. Les coups cessèrent et je restais collé contre la porte longtemps. Je m´endormis peu après.
# Lien permanent
A peine la porte ouverte, l'odeur de l´essence me montai au nez. Mes yeux furent éblouis par l´apocalypse qui régnait dehors. Les voitures en feu jonchait la rue. Les immeuble, vitre exposés, faisait beau dans le décor, si on ne regardait pas les étages en feu, les corps collait au vitre. En parlant de corps, des centaine dormaient sur le trottoir et la route. Leur tête avait était tranchés pareil, mais on aurait plutôt dit qu´elles auraient était mordus puis arrachés. Je ne pouvais pas supporter cette vision. Je courus jusq´au coin de la rue. Je courus encore et encore jusqu'à´a reconnaitre la place ou j´étais. 10 bornes de chez moi. Je me prépara a avancer quand soudain, j´entendis un bruit de l´autre côté de la fontaine. Une sorte de frottement rampant a terre. Je serrai le tuyau que j´avais gardais et fit le tour de la fontaine. Mon cœur battait a tout rompre, a mesure que le frottement s´intensifier, des gouttes de sueur coulait le long de mon dos. Je tremblai de plus en plus. Le frottement se faisait plus proche. Je tournas et découvrit l´origine du frottement. Un chien se déplaçait a terre. Mais sa partie basse reposait 5 mètres devant son corps. Je déglutit et m´enfui en courant. Que c´était t-il passé? Les rues était déserte, tout était détruits et l´homme que j´avais tué hanté mon esprits. Le sang qui coulait, la rage qui était en moi, les tubes avec le produit et mes parent morts sous mes yeux. Je courais encore et encore sans m´arrêter. Mon souffle devenait froid mais la peur de rencontrer autres de ces...hommes m´effrayer de plus en plus. J´arriver 1 heures plus tard au pas de ma porte. Et merde. Qui allait m´ouvrir? Je me demandais quand rentre quand une hombre passa non loin de moi. Je me retournais mais la rue était vide. Des bruits de pas attirèrent mon attention de tous les côtés. Merde, qui c´était? Combien était-ils?
Puis tout cessa. Le silence a mes oreilles, pas même un oiseau ne gazouillait, seul ce macabre silence résonnait.
BAM!
Le bâton s´écrasa a mes pied. Il venait de l´autre côté du fleuve que je venais de traverser. La distance était énorme, et l´homme qui me l´avais lancé était encore de l´autre côté. Puis il poussa un cri de rage indescriptible, il résonne a travers toutes la ville. Et je compris que je n´étais pas seul. Des milliers d´homme recouverts de sang sortirent des rues de l´autres côtés du pont. Ils venaient en courant, merde je devais ouvrir la porte.
Je mis un grand coup de tuyau et la porte se fissura puis je frappa encore et encore jusqu'à´a que la porte en verre se cassa. Ils arrivaient. Je courait dans l´escalier, leurs pas résonnaient dans le hall, putain ils étaient trop rapide. J´arrivais devant ma porte, elle était ouverte! Eux était juste derrière, je fermais la porte et me rabattis dessus. Ils poussaient, frappaient, criaient, des larmes coulait le long de mes joues. Je fermais la porte d´un coup d´épaule et fermais tous les verrous. Je mis le tuyau en travers. Les coups résonnait, je me colla au mur et m´assis par terre, les larmes coulant. Je devais savoir ce qu´ils c´était passé. Les coups cessèrent et je restais collé contre la porte longtemps. Je m´endormis peu après.
# Lien permanent