Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

La Tuerie Dans Le Lycée


Par : LeFiqueur
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué



Chapitre 8


Publié le 15/10/2010 à 15:48:29 par LeFiqueur

-Gérard: Toi! vient ici!
Disait-il en le pointant du doigt.
Il l'appellait? Que lui voulait-il? Pourquoi lui?

-Gérard: Alors Romain, espère d'enfoiré, je t'avais pas dis qu'un jour je te ferais manger ce que tu mérites?

Bien sûr! C'était Romain! le mec qui avait fait en sorte que Gérard soit passé de mec sympa au plus gros loosers de tout notre cercle! Comment ais-je pu oublier.

-Romain: Pitié!!! Gérard! sérieux je voulais pas! je voulais pas ce qui t'es arrivé! C'est juste que t'avais pas...

-Gérard: Ta gueule! Rien à branler de ta pleurnicherie!

Soudain, il tendait son fusil sur la face accablé de Romain, à genoux devant Gérard, surement en train de voir sa vie défiler...C'était devenu une véritable scène de film... Personne ne bougeait le petit doigt, c'est ça? Les amis? personne ne venait ne serait-ce que pour défendre avec des paroles la vie de Romain qui ne tenait plus qu'à un doigt d'une personne à bout, tout le monde ne se contentait que de regarder, l'air abruti et le temps passait...

-André: Bah alors? Tu attends quoi?
-Gérard: Je...Je sais pas...
-André: Putain, vas-y perds pas les boules maintenant TIRES LE BLEU!
-Gérard: Tais-toi! Je suis pas un bleu...je...je...

-André: Alors qu'est-ce que t'attend? TIRES!!!

-Gérard: AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH!!!!!!!!!!

Il poussait un cri transcendent, et puis finalement, avait laisser sa rage se montrait sous les bruits infâmes et détonations de son fusil.
Il ne ménageait vraiment pas le pauvre Romain, il le poussait enfin, ce cri qu'il attendait de faire sortir depuis tout petit...Il ne visait que le corps, la tête elle en ressortait indemne pour le malheur de Romain.
Et puis...plus rien... c'était fini.
Le sang avait suffisement giclé, il alla jusqu'à attérir sur les têtes des élèves qui ne se contenait que de regarder choqués, certains ne remarquaient rien, tellement terrorisé par la scène, c'est à peine si on pouvait dire qu'ils sont vivant.

Gérard reprenait son soufle...

-André: Voila! Tu l'as fais mec! C'est de ça que je parle! Toi et moi, aujourd'hui, c'est le jour de notre vie!


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