Note de la fic : :noel: :noel: :noel: :noel:

La Tuerie Dans Le Lycée


Par : LeFiqueur
Genre : Nawak
Statut : C'est compliqué



Chapitre 7


Publié le 31/01/2010 à 22:51:56 par LeFiqueur

• Je savais que ça le ferait pas
Gérard étant enfin là, il entrait en scène d'une arriver pour le moins...énergique, bien évidement Gérard était passé maître dans l'art d'exhiber ses talents de con.

André: Putain Gérard!
Gérard: Quoi??!
André: Je t'ai dis d'entré et de me dire que t'es prêt pas de faire l'abruti! j'aurais pu te shooter à la gueule tu sais ça?

Même dans ces cas là il m'humilie devant tout le monde, mais ce n'était pas un théâtre ici, c'était réelle et je m'apprêtai sournoisement à le démontrer à la professeure...


-La Prof: Mais qu'est-ce que c'est que ce cirque?! Gérard que tiens-tu là dans la main?

Elle se leva

-Tout ceci est assez, dit-elle furieusement, je m'en vais aller prévenir le proviseur, Gérard tu n'es pas au Saloon ici et tu vas tout de suite en permanence je m'occupe de toi après, quand à toi André tu vas bientôt...

Sans plus attendre un seule moment de laisser cette grognasse rajouter de la crème sur le pâtée je me ruais sauvagement sur mon sac la tête fouinarde et les mains aventurières à la recherche des mes véritables alliés, celles qui ne pourraient jmais me laisser tombé...

-La Professeures: Allons? Que fais-tu André! T'en as pas marre d'être un con? VIENS ICI!

Une fois sorti de mon sac, j'enroulais le fusil par la sangle sur mon dos et je pointais le pistolet sur la prof et je dit:

-André: Assis-toi! Salope!
-La Professeure: An...André...C'est... C'est une blague ? Qu'est-ce que tu fais???

Elle avait peur, ça se voyait, et c'était sans parler de toute la salle autour, tout le monde riait avant... tout le monde se moquait, j'étais encore une fois la bête de cirque mais cette fois-ci les rires n'avait plus lieu d'être.
La peur, la terreur, elle s'affichait sur les visages animés de tous les élèves, ils avaient comprit...


La professeure: Tout ceci est ridicule! André! POSES CECI TOUT DE...

Et c'était le déclic, la touche final, rien ne pouvait plus arrêter mon doigt de faire le geste qui appuya sur la détente de mon arme... un geste si simple, si insoucieux au yeux des gens, mais c'était le geste exécuteur, celui qui versera le sang qui écrira les pages des chapitres de ma vie.
La balle fuselait puis s'en allait s'éjectant allant faire le grand huit de la salle, un son si profond qu'on aurait dit qu'il s'étalait sur les oreilles du monde entier, la ligne filante tel une étoile brillante atteignait sans une seconde perdu le visage éprouvant de la dame dont le corps s'écrasait sur le sol.

Le sang bondissait allant dessiner tous les recoins de la salle du sol au mur fleurissant sur tous les côtés faisant une flaque qui atténuait le sol de sa couleur monotone.



-André: je te l'avais dis de la fermer, pétasse...


-Gérard: Oh bordel!!! Tu l'as fais mec!
Tu... tu l'a explosée!!!!

La classe était prise de panique, ça criait de partout, en ce moment même les salles voisines devait surement se demander qu'elle était ce bruit, hors je suis sûr qu'un 22 L.R ne peut pas avoir appaté les oreilles de tout l'établissement et que le son n'a rien d'apparent à ce que les gens voient dans les films.
Je suppose donc qu'ils vont croire à un chaise tombé qui sait?

-André: BON LES CONNERIES C'EST FINI MAINTENANT!!! VOUS ALLEZ ARRÊTER DE CRIER!! C'EST PAS UNE BLAGUE JE VAIS VOUS ÉCLATEZ SI VOUS FAITES PAS CE QUE JE DIS!!

Je parlais comme-ci il s'agissait d'une prise d'otage, qu'est-ce que j'attendais pour leurs tirer dessus juste comme ça?

-Gérard: André? qu'est-ce qu'on fait là? On s'en tient au plan ou...
-André: Oui en s'en tient au plan, d'ailleurs je veux savoir pourquoi ton pote est pas encore là?
-Gérard: il arrive je t'ai dis fais moi confiance...

-André: BON ECOUTEZ TOUS!!!
Je leurs hurlais dessus tel un sauvage sur ça proie tout en leurs pointant mon arme pour créer un effet de panique.

-André: VOUS ALLEZ TOUS RANGER LES TABLES SUR LES MURS ET VOUS ALLEZ TOUS VOUS METTRE AU FOND!

La terreur n'en était plus à son comble, tout semblait se passé à merveille, ils ne perdaient pas un instant avant de s'exécuter.

Pendant ce temps Gérard lui, arborait farouchement de ses yeux une personne celle-ci se situait bien au fond et tentait tant bien que mal de se mêler à la foule.


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