Note de la fic :
Publié le 02/07/2010 à 13:50:27 par Khamsou
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Elle m'avait tellement manqué et elle était collée contre moi. Je pense qu'elle avait vidé toute sa réserve de pleurs. Je ne l'ai plus revu pleurer depuis. Ca avait aussi du la faire considérablement mûrir cette histoire.
Et au fur et à mesure nous avons repris une existence normale, avec les répétitions, les joies et même plus. Nous n'avions jamais été aussi proches. Et cela se répercuta très bientôt physiquement.
Je revenais des courses. Nous vivions en autonomie grâce à l'argent que nous récoltions dans les concerts et que les parents de Starla lui envoyait régulièrement. Nous ne l'utilisions que pour ça, nous n'avions que peu de loisir et nous ne ressentions pas le besoin d'avoir plus d'instruments. Nous vivions très humblement mais bien pour des adolescents.
Elle vint immédiatement m'aider pour ranger. Son humeur joyeuse me confirmait qu'elle était passée outre la mort de Dave. En même temps ça faisait déjà deux mois. Lorsque nous eûmes fini, elle nous servit deux verres de pastis. Devant son enthousiasme j'eus du mal à refuser. Elle semblait vraiment heureuse, juste comme ça, c'était fou. L'alcool aidant, je partageais très vite ses fous rires.
Puis elle vint s'asseoir à côté de moi et nous nous embrassâmes. Mais c'était différent. Il y avait quelque chose en plus cette fois. La passion. Très vite, le tout gagna en intensité. De la lumière brillait dans ses yeux et un sourire malicieux me fit comprendre.
Elle me souleva et nous allâmes dans sa chambre. Elle me jeta dans son lit et s'allongea sur moi. Nos embrassades reprirent, dans une lutte pour le pouvoir, chacun retournant l'autre dans le lit afin que nous nous sentîmes mieux.
Nos corps n'avaient jamais été aussi proches, nous étions presque en train de fusionner. Elle m'enleva son tee-shirt alors que je déboutonnais son chemisier. Là elle enleva son soutien-gorge et je vis sa poitrine.
C'est bizarre hein ? En plusieurs mois de cohabitation, et même encore plus de relation amoureuse, nous n'avions jamais ressenti le besoin de faire ça. Notre amour nous suffisait. Et même en tant qu'amoureux, notre pudicité naturelle nous privait de ça.
Elle m'embrassa à nouveau tandis qu'une de mes mains saisit un de ses seins que je massais pour son plus grand plaisir, qu'elle exprima dans un soupir de soulagement avant de m'embrasser fiévreusement dans le cou. J'en profitais pour déboutonner son pantalon et le lui enlever. Elle ne protesta pas et en fit de même. Mon caleçon pointait dangereusement vers le plafond. En même temps après des mois d'abstinence... Elle le regarda d'un air amusé et mit sa main dedans.
Un choc. Je gémis de plaisir et nous nous enlevâmes ce qu'il restait de vêtements entre nous. Nous continuâmes à nous caresser, à nous embrasser encore quelques temps, puis nous finîmes alors par fusionner complètement. Mélanger nos corps et nos identités. Ne faire qu'un contre l'infini. Dans un mouvement de va-et-vient, nous achevâmes ce que nous avions entrepris et dans un murmure de soulagement, elle se reposa sur moi. J'embrassai ses lèvres pures alors que nos corps chauds ne se remettaient pas de cette aventure.
Elle m'avait tellement manqué et elle était collée contre moi. Je pense qu'elle avait vidé toute sa réserve de pleurs. Je ne l'ai plus revu pleurer depuis. Ca avait aussi du la faire considérablement mûrir cette histoire.
Et au fur et à mesure nous avons repris une existence normale, avec les répétitions, les joies et même plus. Nous n'avions jamais été aussi proches. Et cela se répercuta très bientôt physiquement.
Je revenais des courses. Nous vivions en autonomie grâce à l'argent que nous récoltions dans les concerts et que les parents de Starla lui envoyait régulièrement. Nous ne l'utilisions que pour ça, nous n'avions que peu de loisir et nous ne ressentions pas le besoin d'avoir plus d'instruments. Nous vivions très humblement mais bien pour des adolescents.
Elle vint immédiatement m'aider pour ranger. Son humeur joyeuse me confirmait qu'elle était passée outre la mort de Dave. En même temps ça faisait déjà deux mois. Lorsque nous eûmes fini, elle nous servit deux verres de pastis. Devant son enthousiasme j'eus du mal à refuser. Elle semblait vraiment heureuse, juste comme ça, c'était fou. L'alcool aidant, je partageais très vite ses fous rires.
Puis elle vint s'asseoir à côté de moi et nous nous embrassâmes. Mais c'était différent. Il y avait quelque chose en plus cette fois. La passion. Très vite, le tout gagna en intensité. De la lumière brillait dans ses yeux et un sourire malicieux me fit comprendre.
Elle me souleva et nous allâmes dans sa chambre. Elle me jeta dans son lit et s'allongea sur moi. Nos embrassades reprirent, dans une lutte pour le pouvoir, chacun retournant l'autre dans le lit afin que nous nous sentîmes mieux.
Nos corps n'avaient jamais été aussi proches, nous étions presque en train de fusionner. Elle m'enleva son tee-shirt alors que je déboutonnais son chemisier. Là elle enleva son soutien-gorge et je vis sa poitrine.
C'est bizarre hein ? En plusieurs mois de cohabitation, et même encore plus de relation amoureuse, nous n'avions jamais ressenti le besoin de faire ça. Notre amour nous suffisait. Et même en tant qu'amoureux, notre pudicité naturelle nous privait de ça.
Elle m'embrassa à nouveau tandis qu'une de mes mains saisit un de ses seins que je massais pour son plus grand plaisir, qu'elle exprima dans un soupir de soulagement avant de m'embrasser fiévreusement dans le cou. J'en profitais pour déboutonner son pantalon et le lui enlever. Elle ne protesta pas et en fit de même. Mon caleçon pointait dangereusement vers le plafond. En même temps après des mois d'abstinence... Elle le regarda d'un air amusé et mit sa main dedans.
Un choc. Je gémis de plaisir et nous nous enlevâmes ce qu'il restait de vêtements entre nous. Nous continuâmes à nous caresser, à nous embrasser encore quelques temps, puis nous finîmes alors par fusionner complètement. Mélanger nos corps et nos identités. Ne faire qu'un contre l'infini. Dans un mouvement de va-et-vient, nous achevâmes ce que nous avions entrepris et dans un murmure de soulagement, elle se reposa sur moi. J'embrassai ses lèvres pures alors que nos corps chauds ne se remettaient pas de cette aventure.
Commentaires
- Arbu
13/02/2011 à 19:20:43
Cette gonzesse me fait penser à une fille que je connais. Dès le début en fait, blonde avec beaucoup de colliers, chiante, beaucoup trop démonstrative pour être sincère.
Le genre de personne désagréable et un peu cruche. - CrazyMarty
05/07/2010 à 23:04:35
So sweet ?
Bon, on attend la suite, comme d'hab . - hui
05/07/2010 à 23:00:59
Je tente, on sait jamais
- Khamsou
05/07/2010 à 22:29:53
Stop hui, t'es pas un devin.
- hui
05/07/2010 à 19:47:34
Sweet, Diva va sortir avec Tank