Note de la fic :
Publié le 28/03/2010 à 10:24:17 par Neiden
[c]Bain de sang[/c]
Récapitulons... J'étais face à quelque chose que la logique elle-même éjecte de la réalité. Donc, soit j'étais fou, soit ma logique me trompait. Mais, que ce soit l'un ou l'autre, cela ne changeait rien à la situation actuelle: Je voulais survivre.
Mes parents et les employés de la morgue frappaient sur la porte depuis cinq bonnes minutes. Je me demandai pourquoi ils ne la défonçaient pas, après tout, elle ne mesurait même pas quatre centimètres d'épaisseur. Enfin, peut-être que les zombies, car c'est bien de cela dont il s'agissait, étaient faibles, ou alors tout simplement stupides...
Au bout d'un certain temps, les coups cessèrent et, par les fenêtres, nous pûmes assister à un écoeurant spectacle. Car les zombies, dans leur soif de chair et de sang, et face à notre très fine porte, décidèrent de trouver de la chair ailleurs. Seulement, cet ailleurs n'était autre qu'eux-mêmes, si bien que les zombies se sautèrent l'un sur l'autre et commencèrent à se battre. Ma mère et l'un des préposés à la levée du corps essayaient de se mordre mutuellement, tandis que mon père avaient déjà réussi à ouvrir le ventre de l'autre employé de la morgue et avait déjà plongé sa tête parmi les tripes.
André, l'un des piques-assiettes venus à l'enterrement, jugea bon de casser une fenêtre et d'essayer de fuir en espérant que les zombies, trop occupés par leur festin, ne le remarque pas. Grosse erreur. Tous les zombies levèrent la tête au moment où André lança une chaise au travers et, quand il l'eut traversé, mon père se rua sur lui. La proie, effrayée, courut et partit sur la route.
Il y eut un bruit de dérapage.
André avait été renversé par une voiture. Le conducteur en sortit pour porter secours à sa victime, se demandant pourquoi cet homme s'était ruer sous sa voiture. Mon père arriva. Le conducteur s'approcha de lui, espérant trouver une quelconque aide auprès de cet homme. Et mon père l'aida à quitter ce monde...
De leur côté, ma mère et son adversaire n'avaient pas bouger. L'employé de la morgue regardait le corps d'André, ma mère nous regardait. Le préposé à la levée du corps se releva, les jambes sanglantes, et courut vers le corps d'André pour le dévorer. Ma mère, elle, s'était aussi relevée et nous regardait toujours. Et elle se jeta vers la fenêtre.
A l'intérieur, ce fut la panique...
Récapitulons... J'étais face à quelque chose que la logique elle-même éjecte de la réalité. Donc, soit j'étais fou, soit ma logique me trompait. Mais, que ce soit l'un ou l'autre, cela ne changeait rien à la situation actuelle: Je voulais survivre.
Mes parents et les employés de la morgue frappaient sur la porte depuis cinq bonnes minutes. Je me demandai pourquoi ils ne la défonçaient pas, après tout, elle ne mesurait même pas quatre centimètres d'épaisseur. Enfin, peut-être que les zombies, car c'est bien de cela dont il s'agissait, étaient faibles, ou alors tout simplement stupides...
Au bout d'un certain temps, les coups cessèrent et, par les fenêtres, nous pûmes assister à un écoeurant spectacle. Car les zombies, dans leur soif de chair et de sang, et face à notre très fine porte, décidèrent de trouver de la chair ailleurs. Seulement, cet ailleurs n'était autre qu'eux-mêmes, si bien que les zombies se sautèrent l'un sur l'autre et commencèrent à se battre. Ma mère et l'un des préposés à la levée du corps essayaient de se mordre mutuellement, tandis que mon père avaient déjà réussi à ouvrir le ventre de l'autre employé de la morgue et avait déjà plongé sa tête parmi les tripes.
André, l'un des piques-assiettes venus à l'enterrement, jugea bon de casser une fenêtre et d'essayer de fuir en espérant que les zombies, trop occupés par leur festin, ne le remarque pas. Grosse erreur. Tous les zombies levèrent la tête au moment où André lança une chaise au travers et, quand il l'eut traversé, mon père se rua sur lui. La proie, effrayée, courut et partit sur la route.
Il y eut un bruit de dérapage.
André avait été renversé par une voiture. Le conducteur en sortit pour porter secours à sa victime, se demandant pourquoi cet homme s'était ruer sous sa voiture. Mon père arriva. Le conducteur s'approcha de lui, espérant trouver une quelconque aide auprès de cet homme. Et mon père l'aida à quitter ce monde...
De leur côté, ma mère et son adversaire n'avaient pas bouger. L'employé de la morgue regardait le corps d'André, ma mère nous regardait. Le préposé à la levée du corps se releva, les jambes sanglantes, et courut vers le corps d'André pour le dévorer. Ma mère, elle, s'était aussi relevée et nous regardait toujours. Et elle se jeta vers la fenêtre.
A l'intérieur, ce fut la panique...
Commentaires
- KirKill
28/03/2010 Ã 18:51:58
Jerry de la grosse
Sweet - Neiden
28/03/2010 Ã 18:51:19
T'as rien lu, racl'
- Pseudo supprimé
28/03/2010 Ã 18:48:37
Hum ... Suite