Note de la fic : 
Publié le 08/01/2010 à 22:54:52 par thorkell
j'ai modifié le premier chap, passé le voir vite fait( la partie modifié ce trouve au centre)
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- « viens petit, tu aimes les livres c’est cela ? » dit Maria
- « oui » dis-je en baissant les yeux.
Cette esclave était bien traitée. Elle était habillée en servante, un tablier blanc. Rien ne laissait penser à une esclave sauf sa couleur. La maison était très grande. On se baladait durant 5 minutes avant d’arriver à cette bibliothèque. Elle ouvrit la porte.
J’étais émerveillé. La bibliothèque était immense. Il y avait des livres partout. elle était dix fois plus grande que celle de l’orphelinat. Je rentrais précipitamment à l’intérieur.
- « le diner va être bientôt prêt, tu descendras dans pas longtemps mon garçon. » me dit Maria.
Je ne l’entendis pas, toujours fasciné. Elle me le répéta donc, m’enlevant à mon état de légumes.
- « très bien » dis-je.
Elle me laissa parmi mes trésors. Je restais un moment mais ne voulant pas décevoir monsieur Buthel, je descendis vers le salon que m’avait montré Maria.
Le repas fut servi. Père récitait la prière, j’entendais un pop. J’ouvris alors les yeux. Xena, ma nouvelle sœur, voulant me voir partir avait tiré avec son lance pierre un petit pois sur mon verre. Mon verre tomba. Je réussis in extrémis à le rattraper. Malheureusement ma main tapa la carafe qui tomba à son tour. Je regardais la carafe tomber lorsque mon père la rattrapa. J’émis un soulagement.
- « comment ça ‘ouf ‘ ! Tu viens d’interrompre notre prière ! Tu dois respecter le silence de la prière ! Pourquoi tu fais autant de bruit ?! » Cria Xena.
- « il ne l’a pas fait exprès chéri. » dit Monsieur Buthel.
- « pfff… c’est tout de même très mal élevé… pathétique »
- « je pense qu’il est tout aussi pathétique d’essayer de renverser le verre de quelqu’un pendant la prière. » répondit Maria en servant Xena. « Qu’en dites-vous mademoiselle ? ».
- « qu’est ce que tu racontes ? » dit Xena
- « Xena ! Cette fois tu vas demander pardon à Ivan, sinon tu seras privée de dessert. » Dit père en foudroyant Xena du regard.
Je dis qu’il n’était pas la peine qu’elle s’excuse que ce n’était rien.
- « jamais je ne te présenterai des excuses. » dit Xena en me faisant la grimace.
- « au fait mademoiselle, au dessert j’ai fait votre gâteau préféré »dit Maria en passant.
- « pardon Ivan, ma plaisanterie n’était pas du tout drôle. » se précipita de dire Xena.
- « excuse-toi de manière sincère ! »
Cette fois Xena ne s’excusa pas. Elle fut donc privée de dessert. On sortit de table. Plus tard je voulais aller dans la cuisine mais entendant une conversation je me cachais dans l’ombre.
- « cela fait 3 ans que ma femme est morte mais Xena n’a pas ouvert son cœur. » dit père.
- « je sens que sa peine est là mais elle devient de plus en plus souriante devant vous et moi » dit Maria.
- « je sais mais elle ne va pas passer sa vie avec nous... J’avais pensé qu’un enfant du même âge l’aiderait… peut être me suis-je trompé. »
Puis ne voulant plus rien entendre j’allais dans la cuisine. je partis ensuite à la recherche de ma sœur. Une sensation bizarre me parcourut du fait d’appeler cette fille ma sœur. Je la trouvais au grenier, accoudée à la fenêtre regardant le soleil se coucher. Elle me vit.
- « qu’est ce que tu fais ici ? Tu es venu te moquer c’est ça ! »
- « non tiens je t’ai apporté ça pour toi. Je lui tendis une part de gâteau que j’avais précédemment piqué dans la cuisine.
- « c’est un piège, après tu vas appeler père. »
- « non je veux juste te poser une question. »
Xena me fit confiance et mangea la part à une vitesse hallucinante pour une fille. Puis elle se tourna.
- « très bien, pose-moi ta question. »
- « tu connais le visage de ta mère… et tu te souviens d’elle. Moi, je ne me souviens de rien. Mais je veux savoir… quel effet ça fait quand une maman vous serre dans ses bras. » Dis je enfin.
- « ok ! Je veux bien te le dire. En fait... » Son regard se fit distant. « C’est comme un parfum. Mais je ne me souviens plus vraiment de son odeur.
On resta un moment sans rien se dire regardant le soleil se coucher. Puis je l’accompagnais dans sa chambre.
- « Ivan !! »
Je me retournais.
- « je … je m’en fiche.. » articula enfin Xena.
Je ne compris pas de quoi elle parlait. Devant mon regard interrogateur elle parla.
- « je me fiche que tu habites ici ! Mais n’oublie pas que je suis plus grande et plus forte que toi ! »
J’avais un mauvais pressentiment mais acquiesçais quand même.
Dans l’ombre de l’escalier, Maria souriait.
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- « viens petit, tu aimes les livres c’est cela ? » dit Maria
- « oui » dis-je en baissant les yeux.
Cette esclave était bien traitée. Elle était habillée en servante, un tablier blanc. Rien ne laissait penser à une esclave sauf sa couleur. La maison était très grande. On se baladait durant 5 minutes avant d’arriver à cette bibliothèque. Elle ouvrit la porte.
J’étais émerveillé. La bibliothèque était immense. Il y avait des livres partout. elle était dix fois plus grande que celle de l’orphelinat. Je rentrais précipitamment à l’intérieur.
- « le diner va être bientôt prêt, tu descendras dans pas longtemps mon garçon. » me dit Maria.
Je ne l’entendis pas, toujours fasciné. Elle me le répéta donc, m’enlevant à mon état de légumes.
- « très bien » dis-je.
Elle me laissa parmi mes trésors. Je restais un moment mais ne voulant pas décevoir monsieur Buthel, je descendis vers le salon que m’avait montré Maria.
Le repas fut servi. Père récitait la prière, j’entendais un pop. J’ouvris alors les yeux. Xena, ma nouvelle sœur, voulant me voir partir avait tiré avec son lance pierre un petit pois sur mon verre. Mon verre tomba. Je réussis in extrémis à le rattraper. Malheureusement ma main tapa la carafe qui tomba à son tour. Je regardais la carafe tomber lorsque mon père la rattrapa. J’émis un soulagement.
- « comment ça ‘ouf ‘ ! Tu viens d’interrompre notre prière ! Tu dois respecter le silence de la prière ! Pourquoi tu fais autant de bruit ?! » Cria Xena.
- « il ne l’a pas fait exprès chéri. » dit Monsieur Buthel.
- « pfff… c’est tout de même très mal élevé… pathétique »
- « je pense qu’il est tout aussi pathétique d’essayer de renverser le verre de quelqu’un pendant la prière. » répondit Maria en servant Xena. « Qu’en dites-vous mademoiselle ? ».
- « qu’est ce que tu racontes ? » dit Xena
- « Xena ! Cette fois tu vas demander pardon à Ivan, sinon tu seras privée de dessert. » Dit père en foudroyant Xena du regard.
Je dis qu’il n’était pas la peine qu’elle s’excuse que ce n’était rien.
- « jamais je ne te présenterai des excuses. » dit Xena en me faisant la grimace.
- « au fait mademoiselle, au dessert j’ai fait votre gâteau préféré »dit Maria en passant.
- « pardon Ivan, ma plaisanterie n’était pas du tout drôle. » se précipita de dire Xena.
- « excuse-toi de manière sincère ! »
Cette fois Xena ne s’excusa pas. Elle fut donc privée de dessert. On sortit de table. Plus tard je voulais aller dans la cuisine mais entendant une conversation je me cachais dans l’ombre.
- « cela fait 3 ans que ma femme est morte mais Xena n’a pas ouvert son cœur. » dit père.
- « je sens que sa peine est là mais elle devient de plus en plus souriante devant vous et moi » dit Maria.
- « je sais mais elle ne va pas passer sa vie avec nous... J’avais pensé qu’un enfant du même âge l’aiderait… peut être me suis-je trompé. »
Puis ne voulant plus rien entendre j’allais dans la cuisine. je partis ensuite à la recherche de ma sœur. Une sensation bizarre me parcourut du fait d’appeler cette fille ma sœur. Je la trouvais au grenier, accoudée à la fenêtre regardant le soleil se coucher. Elle me vit.
- « qu’est ce que tu fais ici ? Tu es venu te moquer c’est ça ! »
- « non tiens je t’ai apporté ça pour toi. Je lui tendis une part de gâteau que j’avais précédemment piqué dans la cuisine.
- « c’est un piège, après tu vas appeler père. »
- « non je veux juste te poser une question. »
Xena me fit confiance et mangea la part à une vitesse hallucinante pour une fille. Puis elle se tourna.
- « très bien, pose-moi ta question. »
- « tu connais le visage de ta mère… et tu te souviens d’elle. Moi, je ne me souviens de rien. Mais je veux savoir… quel effet ça fait quand une maman vous serre dans ses bras. » Dis je enfin.
- « ok ! Je veux bien te le dire. En fait... » Son regard se fit distant. « C’est comme un parfum. Mais je ne me souviens plus vraiment de son odeur.
On resta un moment sans rien se dire regardant le soleil se coucher. Puis je l’accompagnais dans sa chambre.
- « Ivan !! »
Je me retournais.
- « je … je m’en fiche.. » articula enfin Xena.
Je ne compris pas de quoi elle parlait. Devant mon regard interrogateur elle parla.
- « je me fiche que tu habites ici ! Mais n’oublie pas que je suis plus grande et plus forte que toi ! »
J’avais un mauvais pressentiment mais acquiesçais quand même.
Dans l’ombre de l’escalier, Maria souriait.
