Note de la fic :
Publié le 24/01/2010 à 14:29:02 par the-snake1
Antoine…
-Chris.
-Tiens, ça faisait longtemps. Tu vas encore me frapper ?
-Non, je tenais à m’excuser pour ce que j’avais fais. J’étais en colère. Excuse moi.
-Tu crois que je vais te pardonner pour ce que tu as fais ?
-Tu n’es pas obligé de me pardonner mais je voulais que tu le saches.
-Ok. Je ne te pardonnerais jamais alors n’essaye plus de m’approcher, ainsi que Cassy.
Je suis passé devant lui et il ne m’a rien fait, je ne pensais vraiment pas qu’il serait comme ça, les personnes changent, ainsi que le temps. Je continuais mon petit parcours en disant bonjour aux personnes que j’avais envie, j’étais content de les revoir et eux aussi. La sonnerie retentit et mon premier cours de la matinée allait commencer. Je me suis posé tout derrière en classe, avec un ami.
Le professeur a fait l’appel, et m’a rajouté car elle n’était pas au courant que j’étais revenu.
La journée fini, je suis rentré chez moi, en souriant en me disant, si seulement ça s’était passé comme ça…
Et oui, vous avez cru que ça s’est passé comme ça, vous vous êtes trompés, rien ne s’est passé. Mon père n’est pas sortit de l’hôpital, et comme si je pouvais avoir une vie comme les autres, comme si mon père allait se soucier de moi et tout, mais non… Et les personnes mauvaises ne changent pas, et ne changeront jamais. Car au fond, ils seront toujours les mêmes. Et moi aussi je serais toujours le même. Et je vous avais dis que j’avais peur de la vérité, oui j’ai bien peur, et c’est pour ça que j’ai menti à propos de moi, j’ai toujours la maladie, elle s’est affaibli mais elle pouvait revenir à tout moment. Devinez pourquoi je n’ai pas fait de basket en revenant, car j’avais toujours peur qu’il m’arrive quelque chose, je ne faisait pas trop d’efforts.
Je sais, je suis un menteur et je n’aurais peut-être pas du mais c’est comme ça, c’est la vie et nous devons tous mentir pour nous sortir d’un cauchemar. Je vais maintenant vous dire comment s’est vraiment passé le moment sur le pont…
« Il faut qu’on m’aide avant, sinon, je ne pourrais pas choisir entre ces deux options même si je veux les deux ! Qu’est ce que j’ai fais ? Je n’aurais peut-être jamais du venir sur ce pont. En plus, Tiffany m’a déclaré sa flamme et Cassy n’a rien dit, elle m’aime toujours ou non ? J’ai toujours voulu des réponses, en savoir plus sur qui je suis… Mais je n’y arrive pas, j’ai trop peur de la vérité, et je la fuis…
J’entendais les filles qui parlaient, qui essayaient de me sauver, et c’est la que j’ai pris ma décision…
J’ai fais deux pas en arrière sans me retourner… »
Après avoir fait ces deux pas en arrière, je me suis retourné. Et là, j’ai eu un mal de tête affreux, je ne voyais plus grand-chose, à part des formes, je ne pouvais même pas parler aux filles, je suis tombé à genoux en me touchant la tête et en mettant une main sur ma poitrine, je n’arrivais plus à respirer correctement, et je me suis effondré au sol…
Les filles sont venues pour voir comment j’allais mais je n’étais vraiment pas bien.
-Cassy ! Appelle les urgences ! Vite !
-Il se passe quoi ?!
-… Il ne respire plus…
-Chris.
-Tiens, ça faisait longtemps. Tu vas encore me frapper ?
-Non, je tenais à m’excuser pour ce que j’avais fais. J’étais en colère. Excuse moi.
-Tu crois que je vais te pardonner pour ce que tu as fais ?
-Tu n’es pas obligé de me pardonner mais je voulais que tu le saches.
-Ok. Je ne te pardonnerais jamais alors n’essaye plus de m’approcher, ainsi que Cassy.
Je suis passé devant lui et il ne m’a rien fait, je ne pensais vraiment pas qu’il serait comme ça, les personnes changent, ainsi que le temps. Je continuais mon petit parcours en disant bonjour aux personnes que j’avais envie, j’étais content de les revoir et eux aussi. La sonnerie retentit et mon premier cours de la matinée allait commencer. Je me suis posé tout derrière en classe, avec un ami.
Le professeur a fait l’appel, et m’a rajouté car elle n’était pas au courant que j’étais revenu.
La journée fini, je suis rentré chez moi, en souriant en me disant, si seulement ça s’était passé comme ça…
Et oui, vous avez cru que ça s’est passé comme ça, vous vous êtes trompés, rien ne s’est passé. Mon père n’est pas sortit de l’hôpital, et comme si je pouvais avoir une vie comme les autres, comme si mon père allait se soucier de moi et tout, mais non… Et les personnes mauvaises ne changent pas, et ne changeront jamais. Car au fond, ils seront toujours les mêmes. Et moi aussi je serais toujours le même. Et je vous avais dis que j’avais peur de la vérité, oui j’ai bien peur, et c’est pour ça que j’ai menti à propos de moi, j’ai toujours la maladie, elle s’est affaibli mais elle pouvait revenir à tout moment. Devinez pourquoi je n’ai pas fait de basket en revenant, car j’avais toujours peur qu’il m’arrive quelque chose, je ne faisait pas trop d’efforts.
Je sais, je suis un menteur et je n’aurais peut-être pas du mais c’est comme ça, c’est la vie et nous devons tous mentir pour nous sortir d’un cauchemar. Je vais maintenant vous dire comment s’est vraiment passé le moment sur le pont…
« Il faut qu’on m’aide avant, sinon, je ne pourrais pas choisir entre ces deux options même si je veux les deux ! Qu’est ce que j’ai fais ? Je n’aurais peut-être jamais du venir sur ce pont. En plus, Tiffany m’a déclaré sa flamme et Cassy n’a rien dit, elle m’aime toujours ou non ? J’ai toujours voulu des réponses, en savoir plus sur qui je suis… Mais je n’y arrive pas, j’ai trop peur de la vérité, et je la fuis…
J’entendais les filles qui parlaient, qui essayaient de me sauver, et c’est la que j’ai pris ma décision…
J’ai fais deux pas en arrière sans me retourner… »
Après avoir fait ces deux pas en arrière, je me suis retourné. Et là, j’ai eu un mal de tête affreux, je ne voyais plus grand-chose, à part des formes, je ne pouvais même pas parler aux filles, je suis tombé à genoux en me touchant la tête et en mettant une main sur ma poitrine, je n’arrivais plus à respirer correctement, et je me suis effondré au sol…
Les filles sont venues pour voir comment j’allais mais je n’étais vraiment pas bien.
-Cassy ! Appelle les urgences ! Vite !
-Il se passe quoi ?!
-… Il ne respire plus…