Note de la fic :
Publié le 21/03/2009 à 15:11:47 par Non-Lus
La semaine suivante, je préparais mes baguages et mon passeport. Mes parents m’obligeaient à prendre des habits d’hiver avec moi en me répétant sans cesse que les températures pourraient descendre extrêmement bas. Au final, je me retrouvais avec une valise immense et fastidieuse à transporter, mais au moins « j’étais prêt pour le froid éventuel » Merci…
Le temps était nuageux et le climat doux, je regardais autours de moi, conscient que bientôt tout serait différent. Comme un peu avant de rentrer en France lorsque j’étais en Allemagne, cela me rendait nostalgique, je souriais. Le train arriva lentement vers moi, m’ouvrit ses portes et m’accueillais sur ses confortables sièges. Le paysage commençait à défiler d’une rapidité croissante, je posais ma tête contre la vitre et je le regardais, la tête vide. Puis j’imaginais mon arrivé à l’aéroport de Chicago O’hare, devant parler anglais et comprendre ce que les policiers me diraient. La dureté des contrôles, il y avait aussi cette escale à Londres, j’espérais que tout se passerait bien. A cause de tous ces attentats, tout le monde était un peu anxieux à l’idée de passer à travers les contrôles, nous nous étions arrivés là…
Arrivé à l’aéroport, je fis contrôler mes baguages et m’avança vers le terminal. Ça y’est, les portes s’ouvrirent et je pus enfin rentrer dans l’avion. Premier voyage : Londres, je me posais sur le siège très confortable et je reposais ma tête contre le hublot. Je faisais le point, je réfléchissais…
Je ne voyais plus que les nuages, un des paysages les plus beaux de la terre. Je faisais un peu le bilan de tout ce qui m’était arrivé, je repensais à certains passages de ma vie :
- Proviseur : Je vois vos résultats, votre comportement… Vous n’avez pas trop d’ambitions non ? jardiniers ou quelque chose comme ça semble être une bonne orientation si les études ne vous intéressent pas tant que ça…
[…]
- Céline : Tu es différent, toi, ne change pas.
[…]
- Valentine : est-ce que tu sais ce que ça fait de te sentir …. Abandonné ?
[…]
- David : Comme tu as changés c’est incroyable !!
[…]
- Natalia : Promets moi qu’on sera toujours ensemble…
[…]
- Margaux : Je suis vraiment heureuse d’être avec toi !!
Arrivé, sans rien dire, je traversais l’aéroport de Londres pour prendre mon avion vers Chicago. Les vigiles criaient, répétaient qu’il ne fallait pas avoir de bouteilles d’eaux dans nos sacs, les gens étaient stressés. Sauf moi, j’étais calme, je pensais encore et toujours. Je me demandais où j’allais vraiment comme ça.
Dans cet immense avion pour les Etats-Unis, je continuais de réfléchir. J’avais besoin de me vider la tête, réellement. Je regardais à travers le hublot et je voyais l’océan, rien que l’océan. Et après avoir manger, la tête remplit de souvenirs je m’assoupis et je rêvai, un rêve sans queue ni tête où tous les protagonistes de ma vie apparaissaient dans des situations très bizarres, sans liens réels entre eux. Comme si je regardais 10 secondes de dix films à la suite.
Je me réveillais, il était une heure du matin. Non, c’était 19h00 et nous survolions les USA, l’avion était légèrement incliné vers le bas et s’apprêtait à atterrir. Je regardais par-dessus le hublot et je voyais des lumières à perte de vue, c’était magnifique.
Une hôtesse de l’air passa soudainement à coté de moi et me tendit un questionnaire très bizarre que je devais remplir avant d’atterrir. « Avez – vous participé à des crimes nazis ? » « Êtes-vous un terroriste ? » « Avez-vous pris des stupéfiants ? », je souriais mais le ton très sérieux des gens qui remplissaient le questionnaire me fit comprendre que je n’avais pas intérêt à faire l’imbécile.
Dans l’aéroport de Chicago O’Hare, le policier saisit mon questionnaire et regarda frénétiquement mes réponses et ma tête. Puis il me demanda pourquoi je venais aux USA, puis il remarqua que j’avais 19 ans et me demanda pourquoi je n’étais pas à l’école… Chaud, des tarés….
J’empoignai ma valise et me dirigea vers la sortie, tous les passagers se dispersèrent ayant chacun un endroit où aller. Moi, je restais là à chercher mon oncle. Je marchais sans vraiment savoir l’endroit où j’allais lorsque j’entendis soudain une voix, un « Floriiiiiannnnnn » lointain. Je me retournai, c’était mon oncle et mes deux cousins.
- Mon oncle : Alors ton vol ? est-ce que tu as faim ??
- Florian : Un peu long, enfin j’ai dormis. Et ouais j’ai atrocement faim
Il me fit monter dans sa voiture, direction : le Mcdonalds. Routes larges, panneaux publicitaire à perte de vues, buildings illuminés gigantesque me voila enfin…. À Chicago.
Le temps était nuageux et le climat doux, je regardais autours de moi, conscient que bientôt tout serait différent. Comme un peu avant de rentrer en France lorsque j’étais en Allemagne, cela me rendait nostalgique, je souriais. Le train arriva lentement vers moi, m’ouvrit ses portes et m’accueillais sur ses confortables sièges. Le paysage commençait à défiler d’une rapidité croissante, je posais ma tête contre la vitre et je le regardais, la tête vide. Puis j’imaginais mon arrivé à l’aéroport de Chicago O’hare, devant parler anglais et comprendre ce que les policiers me diraient. La dureté des contrôles, il y avait aussi cette escale à Londres, j’espérais que tout se passerait bien. A cause de tous ces attentats, tout le monde était un peu anxieux à l’idée de passer à travers les contrôles, nous nous étions arrivés là…
Arrivé à l’aéroport, je fis contrôler mes baguages et m’avança vers le terminal. Ça y’est, les portes s’ouvrirent et je pus enfin rentrer dans l’avion. Premier voyage : Londres, je me posais sur le siège très confortable et je reposais ma tête contre le hublot. Je faisais le point, je réfléchissais…
Je ne voyais plus que les nuages, un des paysages les plus beaux de la terre. Je faisais un peu le bilan de tout ce qui m’était arrivé, je repensais à certains passages de ma vie :
- Proviseur : Je vois vos résultats, votre comportement… Vous n’avez pas trop d’ambitions non ? jardiniers ou quelque chose comme ça semble être une bonne orientation si les études ne vous intéressent pas tant que ça…
[…]
- Céline : Tu es différent, toi, ne change pas.
[…]
- Valentine : est-ce que tu sais ce que ça fait de te sentir …. Abandonné ?
[…]
- David : Comme tu as changés c’est incroyable !!
[…]
- Natalia : Promets moi qu’on sera toujours ensemble…
[…]
- Margaux : Je suis vraiment heureuse d’être avec toi !!
Arrivé, sans rien dire, je traversais l’aéroport de Londres pour prendre mon avion vers Chicago. Les vigiles criaient, répétaient qu’il ne fallait pas avoir de bouteilles d’eaux dans nos sacs, les gens étaient stressés. Sauf moi, j’étais calme, je pensais encore et toujours. Je me demandais où j’allais vraiment comme ça.
Dans cet immense avion pour les Etats-Unis, je continuais de réfléchir. J’avais besoin de me vider la tête, réellement. Je regardais à travers le hublot et je voyais l’océan, rien que l’océan. Et après avoir manger, la tête remplit de souvenirs je m’assoupis et je rêvai, un rêve sans queue ni tête où tous les protagonistes de ma vie apparaissaient dans des situations très bizarres, sans liens réels entre eux. Comme si je regardais 10 secondes de dix films à la suite.
Je me réveillais, il était une heure du matin. Non, c’était 19h00 et nous survolions les USA, l’avion était légèrement incliné vers le bas et s’apprêtait à atterrir. Je regardais par-dessus le hublot et je voyais des lumières à perte de vue, c’était magnifique.
Une hôtesse de l’air passa soudainement à coté de moi et me tendit un questionnaire très bizarre que je devais remplir avant d’atterrir. « Avez – vous participé à des crimes nazis ? » « Êtes-vous un terroriste ? » « Avez-vous pris des stupéfiants ? », je souriais mais le ton très sérieux des gens qui remplissaient le questionnaire me fit comprendre que je n’avais pas intérêt à faire l’imbécile.
Dans l’aéroport de Chicago O’Hare, le policier saisit mon questionnaire et regarda frénétiquement mes réponses et ma tête. Puis il me demanda pourquoi je venais aux USA, puis il remarqua que j’avais 19 ans et me demanda pourquoi je n’étais pas à l’école… Chaud, des tarés….
J’empoignai ma valise et me dirigea vers la sortie, tous les passagers se dispersèrent ayant chacun un endroit où aller. Moi, je restais là à chercher mon oncle. Je marchais sans vraiment savoir l’endroit où j’allais lorsque j’entendis soudain une voix, un « Floriiiiiannnnnn » lointain. Je me retournai, c’était mon oncle et mes deux cousins.
- Mon oncle : Alors ton vol ? est-ce que tu as faim ??
- Florian : Un peu long, enfin j’ai dormis. Et ouais j’ai atrocement faim
Il me fit monter dans sa voiture, direction : le Mcdonalds. Routes larges, panneaux publicitaire à perte de vues, buildings illuminés gigantesque me voila enfin…. À Chicago.
Commentaires
- naon
03/09/2009 à 00:18:09
owii Chicago
- Pseudo supprimé
22/03/2009 à 06:20:39
jerry a routes larges je suis du quebec et pour avoir voyage en france je sais que ma mustang aurait bien de la misere a se faire une place dans les rues de la france
- sasori22
21/03/2009 à 19:11:40
C'est bien de continuer sur de nouveaux repères .
Sweet - Pseudo supprimé
21/03/2009 à 18:30:16
Pour le coup du questionnaire, je l'avais lu dans 99f.
- Kouppain
21/03/2009 à 16:50:31
C'est bien de commencer avec de la cuisine locale.