Note de la fic :
Publié le 08/08/2009 à 00:17:04 par MassiveDynamic
Chapitre un : Le réveil
Ma tête... bon sang les effets secondaires du Tyrodal se font déjà ressentir. J'essaie d'apaiser mes maux, de rétablir le calme, de réfléchir, de me remémorer ce que je fais ici. Jonchant le sol, je me relève non pas sans peine. Je suis dans un bureau... des papiers tapissent le sol, semblant indiquer des traces de lutte. Des bris de verres se trouvaient près de ceux-ci. Non, pas du verre, des lunettes ! Je jette à regard rapide derrière le bureau. Un homme raide mort face contre terre était affalé là. Ca y est, ça me revient. Je regarde ma montre : Compte à rebours, sept minutes. Je commence à me dépêcher. Je récupère la montre accrochée a poignet du cadavre, puis non pas sans hâte me dirige vers la porte.
Deux hommes se trouvaient derrière, ils ne me remarquent bien évidemment pas. Je continue ma course vers la sortie de ce dédale. Mes maux de tête s'accentuent de plus en plus. Je dois sortir. Je dois me barrer d'ici. Ca y est, j'ai quitté les lieux. Vite, la plaque d'égoût... Je dois atteindre cette foutue... j'y suis presque, le plaque...Je...m'effondre.
J'ouvrais les yeux avec peine. C'était la dose de trop, j'suis plus fait pour ça. Devant moi se dresse Tom. La tête d'ampoule du groupe. 1 bon mètre 80, des lunettes, cheveux bruns ébouriffés et chemise à carreaux. L'attirail du geek moderne.
Ne lui laissant pas le temps d'engager, je lui lance :
-Où sont les autres ?
- Sous sol secteur 8, réunion pour la suite. T'es en retard. Heureusement pour toi que Sébastien était là, et heureusement pour toi que les effets du tyrodal étaient déjà dissipés.
-Attends, tu déconnes là. Depuis le début je me plie aux ordres, c'est moi qui me suis tapé les 6 injections pour faire ce foutu boulot, je suis toujours le seul à prendre des risques ! Et puis je te signale que l'émetteur pour suivre ma position que tu m'as implanté c'était pas pour faire beau, vous auriez largement pu me récupérer bien avant que je sorte de l'Almo.
Ma vision était devenue beaucoup plus claire, j'étais à présent 100% lucide.
-Bon, tu n'as pas tord, mais n'oublie pas que tu es ici de ton plein gré, comme les 500 hommes qui vivent dans ces foutus égouts ! Enfin bref, je t'ai injecté le stimulant contre le tyrodal. De toute façon ton cerveau ne supportait pas la moindre dose de tyrodal en plus, si tu en reprends, tu risques la mort. Bon, je veux que tu me briefes sur la situation et qu'ensuite tu ailles dormir un peu, ton cerveau en a bavé aujourd'hui. Etat de la mission ? Comment tu t'en es sorti ?
Je lui donne la montre.
-Après injection du tyrodal, j'ai attendu qu'il fasse effet. Une fois invisible, j'ai réglé ma montre pour le décompte du temps qu'il me restait avec ce camouflage. J'ai ensuite suivit le plan tracé à la lettre, j'ai traversé tous les murs jusqu'à celui du président. Je l'ai assassiné en lui administrant le poison prescrit, puis je lui ai subtilisé sa montre, comme convenu. Et me voilà... Aucun garde ne m'a repéré, je ne suis pas sur les caméras, les détecteurs de mouvements étaient désactivés par Frank. Pas de traces, pas de suspicion.
Tom m'écoute à peine. Il est littéralement absorbé par la montre. Il se munit d'un tournevis, la démonte, et en retire une disquette. Il se met soudain à sourire, met la disquette dans son ordinateur. Une liste de noms apparait. Il jubile. C'est pas son genre. Quelque chose vient de se passer. Et visiblement c'est bon pour nous. Il se tourne vers moi, et lentement, avec une excitation mal cachée et des yeux d'enfant gâté il me chuchote :
-Rassemble tout le monde... on a touché le gros lot !
Ma tête... bon sang les effets secondaires du Tyrodal se font déjà ressentir. J'essaie d'apaiser mes maux, de rétablir le calme, de réfléchir, de me remémorer ce que je fais ici. Jonchant le sol, je me relève non pas sans peine. Je suis dans un bureau... des papiers tapissent le sol, semblant indiquer des traces de lutte. Des bris de verres se trouvaient près de ceux-ci. Non, pas du verre, des lunettes ! Je jette à regard rapide derrière le bureau. Un homme raide mort face contre terre était affalé là. Ca y est, ça me revient. Je regarde ma montre : Compte à rebours, sept minutes. Je commence à me dépêcher. Je récupère la montre accrochée a poignet du cadavre, puis non pas sans hâte me dirige vers la porte.
Deux hommes se trouvaient derrière, ils ne me remarquent bien évidemment pas. Je continue ma course vers la sortie de ce dédale. Mes maux de tête s'accentuent de plus en plus. Je dois sortir. Je dois me barrer d'ici. Ca y est, j'ai quitté les lieux. Vite, la plaque d'égoût... Je dois atteindre cette foutue... j'y suis presque, le plaque...Je...m'effondre.
J'ouvrais les yeux avec peine. C'était la dose de trop, j'suis plus fait pour ça. Devant moi se dresse Tom. La tête d'ampoule du groupe. 1 bon mètre 80, des lunettes, cheveux bruns ébouriffés et chemise à carreaux. L'attirail du geek moderne.
Ne lui laissant pas le temps d'engager, je lui lance :
-Où sont les autres ?
- Sous sol secteur 8, réunion pour la suite. T'es en retard. Heureusement pour toi que Sébastien était là, et heureusement pour toi que les effets du tyrodal étaient déjà dissipés.
-Attends, tu déconnes là. Depuis le début je me plie aux ordres, c'est moi qui me suis tapé les 6 injections pour faire ce foutu boulot, je suis toujours le seul à prendre des risques ! Et puis je te signale que l'émetteur pour suivre ma position que tu m'as implanté c'était pas pour faire beau, vous auriez largement pu me récupérer bien avant que je sorte de l'Almo.
Ma vision était devenue beaucoup plus claire, j'étais à présent 100% lucide.
-Bon, tu n'as pas tord, mais n'oublie pas que tu es ici de ton plein gré, comme les 500 hommes qui vivent dans ces foutus égouts ! Enfin bref, je t'ai injecté le stimulant contre le tyrodal. De toute façon ton cerveau ne supportait pas la moindre dose de tyrodal en plus, si tu en reprends, tu risques la mort. Bon, je veux que tu me briefes sur la situation et qu'ensuite tu ailles dormir un peu, ton cerveau en a bavé aujourd'hui. Etat de la mission ? Comment tu t'en es sorti ?
Je lui donne la montre.
-Après injection du tyrodal, j'ai attendu qu'il fasse effet. Une fois invisible, j'ai réglé ma montre pour le décompte du temps qu'il me restait avec ce camouflage. J'ai ensuite suivit le plan tracé à la lettre, j'ai traversé tous les murs jusqu'à celui du président. Je l'ai assassiné en lui administrant le poison prescrit, puis je lui ai subtilisé sa montre, comme convenu. Et me voilà... Aucun garde ne m'a repéré, je ne suis pas sur les caméras, les détecteurs de mouvements étaient désactivés par Frank. Pas de traces, pas de suspicion.
Tom m'écoute à peine. Il est littéralement absorbé par la montre. Il se munit d'un tournevis, la démonte, et en retire une disquette. Il se met soudain à sourire, met la disquette dans son ordinateur. Une liste de noms apparait. Il jubile. C'est pas son genre. Quelque chose vient de se passer. Et visiblement c'est bon pour nous. Il se tourne vers moi, et lentement, avec une excitation mal cachée et des yeux d'enfant gâté il me chuchote :
-Rassemble tout le monde... on a touché le gros lot !