Note de la fic : Non notée
Publié le 08/08/2016 à 00:02:38 par Sleezaille
Je me réveille finalement aux alentours de 11h30, la nuit a été plutôt longue, je ne me suis endormi qu'à 4h30 du matin à peu près.
Je sors donc de ma chambre et vais dans le salon pour dire bonjour à Larry, j'entre, il regarde la télé, la chaîne des infos 24h/24. Il me voit arriver:
" Bien dormi Luc? me dit-il.
- M'ouais nan pas trop en fait, j'ai eu du mal à fermer l'oeil, je suis vraiment impatient d'y être. Et toi?
- Bah j'ai finit de préparer le matos et j'me suis écrouler comme une loque sur mon lit.
Je jette un oeil à l'écran de télévision, apparement des émeutes ont éclaté la-bàs.
- Alors y'a du nouveau à ce que j'vois.
- Ouais, ça sent bon le reportage de classe mondiale si tu veux mon avis.
- Ouais faut pas abuser non plus, maais y'a de quoi faire un putin de reportage .
- Au fait, on pars quand?
- Ah oui c'est vrai j'ai oublié de te le dire hier enfin bon, tu dormais, bah on pars demain à 9h, on prends l'avion à Toulouse-Blagnac, on arrive à Grozovoy, une voiture nous attends la-bàs, on passe la fontière avec les badges et c'est parti.
- Merde, ça veut dire qu'il nous reste tout aujourd'hui à attendre?
- Perspicace mon ami ."
La journée passe finalement très vite, entre parties de Counter Strike et de Battlefield avec Larry, on passe le temps comme à notre habitude, en jouant quoi.
Il est désormais 18h, après une après-midi intense de FPS , on commence à se faire à manger ( c'est que ça creuse quand même de tirer sur des gens ), on regarde assez régulièrement les infos pour voir s'il y a du nouveau en Chernarus, mais toujours rien.
Après avoir manger, on continue à passer le temps en jouant, mais pas de FPS cette fois, la on va se faire quelques matches de saison avec Larry.
La soirée se finit donc à minuit ( après 2 reléguations ) , on pars se coucher, je souhaite bonne nuit à Larry. Je n'ai, cette fois-ci, aucun mal à m'endormir à cause de la nuit pourrie passée la veille.
Lendemain matin, réveil 6h, tête dans le cul, mais vraiment bien au fond. Je me lève de mon lit, à moitié somnolent, j'ouvre mes volets et je suis tel un camé étant resté dans une cave pendant une semaine tellement le soleil m'éblouis, bon au moins il fait beau ça fait plaisir, cependant une pensée me traverse l'esprit
" Et merde, mon sac!"
Et bah, heureusement que j'avais prévu de me lever plus tôt, quel abruti je suis desfois. Bon, je fais mon sac en vitesse et vais à la cuisine pour chercher la glaciaire et y mettre toute notre bouffe dedans, et bah on va en bouffer du salami dis-donc.
Ceci fait, j'allume l'ordinateur, et glande pendant environ 1h30 sur le net et Battlefield.
Larry arrive arrive dans la pièce
" 'Tin t'arrêtes pas toi.
- Bah, j'me fais chier tu vois, donc en attendant le départ, je me détend un peu.
- Ah ouais c'est vrai t'a peur de l'avion, lavette
- Je t'emmerde Larry.
- Oui oui moi aussi j'taime, tu ferais mieux d'éteindre ça on part dans une demi-heure.
- Ouais.."
J'éteins donc la machine de guerre ( ou pas ) et pars prendre ma douche et m'habiller. Après 20 minutes je suis prêt, Larry de même, on décide de partir direct,je prends les billets, les clés de l'appartement Larry prend ses clés de voiture, je ferme l'appartement, et on descend la cage d'escaliers, dans la douleur car on se transporte pas mal de bagages tout compte fait, entre les sacs, la bouffe et le matos, ça pèse.
Bref après un parcours du combattant, nous arrivons sur le parking de notre résidence, Larry ouvre sa Clio ( grise ) bien pourrie au demeurant mais avec tellement de souvenirs dedans qu'il ne veut pas s'en séparer,bref on pose tous nos bagages dans le coffre et on est partis.
La route jusqu'à l'aéroport se fait sans problème notable à part un jeune en scooter qui a dépasser Larry par la droite dont il s'est empressé d'insulter avec de jolis noms d'oiseaux.
Nous arrivons donc à Toulouse-Blagnac, Larry gare la voiture sur le parking et nous avançons jusqu'au terminal, les contrôleurs de bagages font leur boulots, on nous demande de présenter les billets, ce qu'on fait, puis nous avons autorisation d'embarquer.
Nous posons les bagages sur le tapis roulant et nous montons à bord.
Il n'y a pas grand monde dans l'avion, à part trois hommes avec des badges eux-aussi, journalistes je présume, ils me saluent de la tête, je fais de même et prends place à mon siège.
Après une heure d'attente dans l'avion, les hôtesses arrivent pour nous donner les consignes en cas de problèmes, Larry s'endort
Bizarrement je ne me sens pas plus stressé que cela, je suis même plutôt détendu pour quelqu'un qui a peur de prendre l'avion, cela doit sans doute être dût à la fatigue je suppose. je me tourne vers Larry qui est juste à côté de moi, il dort toujours ce gros. L'avion décolle, je regarde par la fenêtre, l'aéroport s'éloigne, l'avion ne touche plus le sol, je m'endors...
"Debout gros porc, tu baves
-Heeein quoi?
-Haha, tu verrais ta tête mec, énorme.
-Tu fais chier Larry, lâche moi laisse moi dormir.
-Eh bah justement, si j'te réveille c'est qui y'a une raison, on va bientôt arriver.
- Ah cool..
Une pensée traverse mon esprit.
Merde Larry on a pas pris de veste on va se les geler!
-Hey mollo mec, pas besoin des stressé, on va pas en Sibérie, on est dans le sud de la Russie, t'inquiètes il fait bon.
-Et si il pleut?
-Mais t'inquiètes.
-OK...
Et merde on a totalement zappé ça, bon pas grave ils doivent en avoir là-bas. Bref l'avion se pose, nous descendons et récupérons nos bagages dans l'aéroport. On est enfin à Grozovoy.
On sort et on retrouve la voiture que j'avais loué l'avant-veille comme convenu, un homme de taille moyenne, barbu, assez maigre avec 3 poils sur le caillou en jean et t-shirt rouge y est addossé, on s'avance vers lui et je lui présente le papier comme quoi c'est bien moi qui ait réserver et tout.
Il regarde le bout de papier
"Ok, it's good, take it.
-Thank you. "
Il me donne les clés, on pose les bagages dans le coffre, et on démarre, cette fois, c'est moi qui conduit, étant donné qu'on va plus parler anglais que français, ce sera moi le traducteur étant donné que j'me démerde pas mal dans la langue de Shakespeare.
Après 10 minutes de route nous voyons enfin les barrières et donc la frontière.
Un soldat me fait signe de m'arrêter, et de descendre du véhicule. ce que nous faisons:
"-Что ты здесь делаешь ?
-Heeeeu..What?
-What are you doing here?
-Oh, we're journalists, we're recording the riots in Chernarus. Here's our pass.
Après analyse des badges avec son collègue, il se retourne vers moi.
-Ok, you can go. Have a good stay.
-Thanks.
Je redémarre la voiture et passe la barrière, environ 50 mètres plus loin je m'arrête. Le paysage est assez sympa pour une zones de "conflits", on voit pas grand chose à part des arbres mais le soleil leur donne un teint orangés, c'est assez sympa.
"C'est plutôt joli comme paysage.
-Ouais c'est vrai que c'est charmant mais t'emballes pas mec, on est pas encore en ville.
-Ah, en parlant de ville on va ou?
-Heeeu, d'après la carte, si on continue sur cette route on atterit à Svetl..o..yarsk? Ouais Svetloyarsk, dur la prononciation.
-Ouais un peu,bon bah en route alors."
Je prends donc la route qui s'enfonce dans le pays, avec pou seul paysage pour l'instant, ces arbres aux feuilles orangées.
"Bon on y est. me dit Larry
-Ouais on y est"
Les choses sérieuses vont pouvoir commencer.
Je sors donc de ma chambre et vais dans le salon pour dire bonjour à Larry, j'entre, il regarde la télé, la chaîne des infos 24h/24. Il me voit arriver:
" Bien dormi Luc? me dit-il.
- M'ouais nan pas trop en fait, j'ai eu du mal à fermer l'oeil, je suis vraiment impatient d'y être. Et toi?
- Bah j'ai finit de préparer le matos et j'me suis écrouler comme une loque sur mon lit.
Je jette un oeil à l'écran de télévision, apparement des émeutes ont éclaté la-bàs.
- Alors y'a du nouveau à ce que j'vois.
- Ouais, ça sent bon le reportage de classe mondiale si tu veux mon avis.
- Ouais faut pas abuser non plus, maais y'a de quoi faire un putin de reportage .
- Au fait, on pars quand?
- Ah oui c'est vrai j'ai oublié de te le dire hier enfin bon, tu dormais, bah on pars demain à 9h, on prends l'avion à Toulouse-Blagnac, on arrive à Grozovoy, une voiture nous attends la-bàs, on passe la fontière avec les badges et c'est parti.
- Merde, ça veut dire qu'il nous reste tout aujourd'hui à attendre?
- Perspicace mon ami ."
La journée passe finalement très vite, entre parties de Counter Strike et de Battlefield avec Larry, on passe le temps comme à notre habitude, en jouant quoi.
Il est désormais 18h, après une après-midi intense de FPS , on commence à se faire à manger ( c'est que ça creuse quand même de tirer sur des gens ), on regarde assez régulièrement les infos pour voir s'il y a du nouveau en Chernarus, mais toujours rien.
Après avoir manger, on continue à passer le temps en jouant, mais pas de FPS cette fois, la on va se faire quelques matches de saison avec Larry.
La soirée se finit donc à minuit ( après 2 reléguations ) , on pars se coucher, je souhaite bonne nuit à Larry. Je n'ai, cette fois-ci, aucun mal à m'endormir à cause de la nuit pourrie passée la veille.
Lendemain matin, réveil 6h, tête dans le cul, mais vraiment bien au fond. Je me lève de mon lit, à moitié somnolent, j'ouvre mes volets et je suis tel un camé étant resté dans une cave pendant une semaine tellement le soleil m'éblouis, bon au moins il fait beau ça fait plaisir, cependant une pensée me traverse l'esprit
" Et merde, mon sac!"
Et bah, heureusement que j'avais prévu de me lever plus tôt, quel abruti je suis desfois. Bon, je fais mon sac en vitesse et vais à la cuisine pour chercher la glaciaire et y mettre toute notre bouffe dedans, et bah on va en bouffer du salami dis-donc.
Ceci fait, j'allume l'ordinateur, et glande pendant environ 1h30 sur le net et Battlefield.
Larry arrive arrive dans la pièce
" 'Tin t'arrêtes pas toi.
- Bah, j'me fais chier tu vois, donc en attendant le départ, je me détend un peu.
- Ah ouais c'est vrai t'a peur de l'avion, lavette
- Je t'emmerde Larry.
- Oui oui moi aussi j'taime, tu ferais mieux d'éteindre ça on part dans une demi-heure.
- Ouais.."
J'éteins donc la machine de guerre ( ou pas ) et pars prendre ma douche et m'habiller. Après 20 minutes je suis prêt, Larry de même, on décide de partir direct,je prends les billets, les clés de l'appartement Larry prend ses clés de voiture, je ferme l'appartement, et on descend la cage d'escaliers, dans la douleur car on se transporte pas mal de bagages tout compte fait, entre les sacs, la bouffe et le matos, ça pèse.
Bref après un parcours du combattant, nous arrivons sur le parking de notre résidence, Larry ouvre sa Clio ( grise ) bien pourrie au demeurant mais avec tellement de souvenirs dedans qu'il ne veut pas s'en séparer,bref on pose tous nos bagages dans le coffre et on est partis.
La route jusqu'à l'aéroport se fait sans problème notable à part un jeune en scooter qui a dépasser Larry par la droite dont il s'est empressé d'insulter avec de jolis noms d'oiseaux.
Nous arrivons donc à Toulouse-Blagnac, Larry gare la voiture sur le parking et nous avançons jusqu'au terminal, les contrôleurs de bagages font leur boulots, on nous demande de présenter les billets, ce qu'on fait, puis nous avons autorisation d'embarquer.
Nous posons les bagages sur le tapis roulant et nous montons à bord.
Il n'y a pas grand monde dans l'avion, à part trois hommes avec des badges eux-aussi, journalistes je présume, ils me saluent de la tête, je fais de même et prends place à mon siège.
Après une heure d'attente dans l'avion, les hôtesses arrivent pour nous donner les consignes en cas de problèmes, Larry s'endort
Bizarrement je ne me sens pas plus stressé que cela, je suis même plutôt détendu pour quelqu'un qui a peur de prendre l'avion, cela doit sans doute être dût à la fatigue je suppose. je me tourne vers Larry qui est juste à côté de moi, il dort toujours ce gros. L'avion décolle, je regarde par la fenêtre, l'aéroport s'éloigne, l'avion ne touche plus le sol, je m'endors...
"Debout gros porc, tu baves
-Heeein quoi?
-Haha, tu verrais ta tête mec, énorme.
-Tu fais chier Larry, lâche moi laisse moi dormir.
-Eh bah justement, si j'te réveille c'est qui y'a une raison, on va bientôt arriver.
- Ah cool..
Une pensée traverse mon esprit.
Merde Larry on a pas pris de veste on va se les geler!
-Hey mollo mec, pas besoin des stressé, on va pas en Sibérie, on est dans le sud de la Russie, t'inquiètes il fait bon.
-Et si il pleut?
-Mais t'inquiètes.
-OK...
Et merde on a totalement zappé ça, bon pas grave ils doivent en avoir là-bas. Bref l'avion se pose, nous descendons et récupérons nos bagages dans l'aéroport. On est enfin à Grozovoy.
On sort et on retrouve la voiture que j'avais loué l'avant-veille comme convenu, un homme de taille moyenne, barbu, assez maigre avec 3 poils sur le caillou en jean et t-shirt rouge y est addossé, on s'avance vers lui et je lui présente le papier comme quoi c'est bien moi qui ait réserver et tout.
Il regarde le bout de papier
"Ok, it's good, take it.
-Thank you. "
Il me donne les clés, on pose les bagages dans le coffre, et on démarre, cette fois, c'est moi qui conduit, étant donné qu'on va plus parler anglais que français, ce sera moi le traducteur étant donné que j'me démerde pas mal dans la langue de Shakespeare.
Après 10 minutes de route nous voyons enfin les barrières et donc la frontière.
Un soldat me fait signe de m'arrêter, et de descendre du véhicule. ce que nous faisons:
"-Что ты здесь делаешь ?
-Heeeeu..What?
-What are you doing here?
-Oh, we're journalists, we're recording the riots in Chernarus. Here's our pass.
Après analyse des badges avec son collègue, il se retourne vers moi.
-Ok, you can go. Have a good stay.
-Thanks.
Je redémarre la voiture et passe la barrière, environ 50 mètres plus loin je m'arrête. Le paysage est assez sympa pour une zones de "conflits", on voit pas grand chose à part des arbres mais le soleil leur donne un teint orangés, c'est assez sympa.
"C'est plutôt joli comme paysage.
-Ouais c'est vrai que c'est charmant mais t'emballes pas mec, on est pas encore en ville.
-Ah, en parlant de ville on va ou?
-Heeeu, d'après la carte, si on continue sur cette route on atterit à Svetl..o..yarsk? Ouais Svetloyarsk, dur la prononciation.
-Ouais un peu,bon bah en route alors."
Je prends donc la route qui s'enfonce dans le pays, avec pou seul paysage pour l'instant, ces arbres aux feuilles orangées.
"Bon on y est. me dit Larry
-Ouais on y est"
Les choses sérieuses vont pouvoir commencer.