Note de la fic :
Les péripéties d'un branleur (SAISON 1)
Par : GeneralJVC1
Genre : Nawak, Action
Statut : Terminée
Chapitre 5
Publié le 04/01/2016 à 21:14:01 par GeneralJVC1
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CHAPITRE 5 : Le cinquième chapitre
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38°, un mois de Septembre, c'est atroce
Malgré le fait que l'on soit posé à l'ombre, je peux sentir des gouttes de sueurs dégoulinantes le long de mon visage et le long de mes jambes. J'ai voulu faire le BG bien habillé pour le jour de la rentrée, du coup je me suis dis que j'allais ressortir mon jean noir de BG m'voyez ? Grave erreur
Le seul type un tant sois peut intelligent ici c'est Julien, il est le seul à s'être armé d'un short et d'une chemise à manche courte pour se défendre un minimum contre la chaleur désertique d'aujourd'hui
Le parc ou nous sommes installés se nomme le Square Foyard, c'est un nom de merde mais en lui-même, il est plutôt sympa. Heureusement, puisque c'est la rentrée, y'a aucun mioche pour nous faire chier. Juste deux ou trois croûtons scrutant le ciel, assis sur des bancs.
Il est 14H46, depuis notre arrivé, Marc a passé son temps sur le tourniquet, Momo a fumé sa clope et Julien est resté discuter avec une vielle...
Moi je me suis posé sur l'herbe, dans un petit coin d'ombre et j'ai fais une petite sieste.
Mais cette dernière fut de courte durée, à ma grande surprise, un invité de dernière minute fit son apparition.
??? : Salut tu dors ?
Tony : MAIS PUTAIN QU'EST-CE QUE TU FOUS LA TOI ?
C'est le mongole de ce matin qui c'était fait piquer son Iphone par Momo à la récré et qui avait gâché mon repas au self en dégageant la superbe blondasse.
Le mongole : Bah je vous ai vu vous enfuir du gymnase du coup je vous ai suivis
Tony : Et maintenant, tu vas y retourner
Le mongole : Mais je connais pas le chemin
Tony : C'est pas mon problème
Momo : Hey mais c'est mon fournisseur de phones
Le mongole : Ho hell no
Momo : Qu'est-ce tu fous là ? Tu vois pas qu'tu nous emmerdes
Le mongole : Voyons jeune homme restons poli
Momo : Wesh tu m'donnes un ordre là ? (">
Le mongole : C'était juste une suggestion
Marc : Qu'est-ce qui se passe les gars ?
Julien : Tiens, Kévin, qu'est-ce que tu fais là ? Tu n'es pas en cours ?
Kévin : Rofl comment tu sais comment j'm'appel ?
Julien : Je connais le nom de chacun des élèves présents dans cette classe, j'ai une très bonne mémoire
Kévin : Kom t'es impressionnant
Julien : Bon dites-moi, ça vous dirais qu'on aille s'acheter quelque chose à boire ? Histoire de se rafraîchir un peut ? Il y'a un Intermarché pas loin
Marc : Ha ouais bonne idée je meurs de soif
Momo : A fond
Kévin : Génial ! Allons y les amis
Tony : Ne me dis pas que tu comptes venir avec nous
Kévin : Bah si pk ?
Tony : Parce qu'il est hors de question que je me coltine un guignole comme toi
Kévin : Si vous ne m’emmenez pas avec vous, je raconte tout au prof en revenant
Tony : A ouais t'es sur
Kévin : Tu m'fais pas peur
Momo : J'vais t'foutre une patate (">
Kévin : Finalement je me rappel du chemin, j'vais tout dire et on sera tous puni
Tony : Revient là espèce d'enculé ! (">
Momo : Inshallah j'vais l'niker (">
Si jamais Kévin raconte tout au prof, on est bon pour avoir des problèmes dés le premier jours de classe.
Je commence à lui courir après mais il est plus rapide qu'il n'en a l'air, heureusement, Momo est un bon sprinter.
Tony : Vas-y Momo... souffle rattrape moi... souffle cet espèce... souffle d'enculé... souffle
Julien : Il court vite, avec cette chaleur c'est plutôt impressionnant
Tony : Pourquoi tu te lances pas à sa poursuite ?!
Julien : Ce serait peine perdu, je n'ai jamais été bon pour la course.
Tony : Et Marc
Marc : Je suis là
Tony : Ça m'aurait étonné
Je suis là comme un con, essoufflé, dégoulinant de sueur, n'ayant pas la force de faire un pas de plus pendant que Momo continue de courir après l'autre débile... Au bout d'un temps, on a complètement perdu leur trace.
Tony : Bon... Qu'est-ce qu'on fait
Julien : Retournons au lycée, le temps de rentrer il sera très certainement l'heure de la pause, on les retrouvera surement las-bas
Tony : Ok
Julien a vu juste, un troupeau de mouton d'élèves est regroupés devant le lycée, fumant leur clope, j’espère dans ma tête que chacun d'entre eux meurt d'un cancer dans les jours qui viennent
Par contre, aucune trace de Kévin ou de Momo, que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur du lycée...
Tony : Ou est-ce qu'ils ont bien pu passer ?
Marc : Ils ce sont peut-être perdu ?
Julien : Momo vit dans cette ville, ça m'étonnerais
Tony : Parce qu'en plus tu sais tous ou on habite
Julien : Non, j'ai juste remarqué cette information dans son carnet de correspondance.
??? : Tient mais vous êtes les gars qui sont parties du cours avant la fin de l'heure !
Cette voix provient d'une fille, je l'ai déjà aperçu au cours d'EPS, elle traîne avec la blondasse.
Elle est son exacte opposé, brune trop d4rk, cheveux longs mais attachés, elle porte une veste à capuche grise et un jogging et ne semble pas abuser du maquillage comme 95% des filles de ce lycée.
Tony : Putain mais c'est pas vrai, tout le monde nous as vu nous barrer du cours ou quoi ?
??? : T'inquiète pas, je m'en fou que vous ayez séché
Tony : Ha bon ? Alors tu vas rien dire
??? : Bah non
Tony : Ha ? Heu... Bah merci
Julien : Dis nous, tu n'aurais pas aperçu un gars en survêtement Nike entièrement blanc et un autre avec un tee-shirt Call of Duty ?
??? : Ha non, désolé, pas depuis qu'ils ont quitté le cours avec vous
Julien : Je vois, merci quand-même
??? : D'ailleurs je recherche quelqu’un moi aussi.
Tony : Qui ça
??? : Amélia, c'est la blonde qui a été convoqué par le prof de sport, vous ne l'auriez pas vu par hasard
Tony : Non pourquoi ? Elle est toujours pas revenu ?
??? : Non... Quand le prof est revenu nous faire cours, elle n'était pas avec lui, il nous as dit qu'il l'avait viré de cours pour son insolence ou quelque chose comme ça... Mais j'ai beau la chercher, impossible de la trouver... Elle ne répond pas à mes messages et lorsque je l'appel je tombe sur son répondeur...
Julien : Tu es une amie à elle ?
??? : Oui, on se connait depuis toute petite Au fait, moi c'est Justine
Julien : Moi c'est Julien, lui c'est Tony et lui Marc, ravi de faire ta connaissance
Justine : Haha, pareil pour moi
Puis la sonnerie retentit, Justine nous souhaite bonne chance pour retrouver nos "amis" et part de son côté à la recherche d'Amélia.
Tony : Bon... Faites ce que vous voulez mais moi, je retourne en cours...
Marc : Et pour Momo et Kévin ?
Tony : Qu'ils se démerdent ! J'ai pas que ça à faire de courir après eux
Marc : Et s'il raconte tout au prof ?
Tony : On dira qu'il ment ou un truc dans le genre...
Marc : Bon ok... Mais avant... Faut que j'aille pisser
Tony : Bah vas-y j'men fou
Marc : Bah attendez moi je sais pas ou c'est
Tony : Osef, moi j'me casse.
Marc : Julien !
Julien : Désolé mais je ne tient pas à rater un cours une fois de plus dans la même journée, on se retrouve après
Marc : Les gars !
Alors que nous nous rendons en cours de Français, Marc se met à chercher dans chaque recoin du lycée pour trouver les toilettes, sans succès jusque là. Il est tellement doué qu'il se rend dans un autre bâtiment réservé à l'administration. En empruntant un couloir désertique et non éclairé, il se met à entendre un drôle de bruit... Un bruit assez étouffé... plus il s’engouffre au fond du couloir, plus le bruit devient audible.
Il a de plus en plus peur mais continue d'un pas décidé, ce bruit l'obsède.
Il pense enfin en avoir trouvé la source, oui, aucun doute, ça vient d'ici.
Une porte se dresse devant lui, il hésite un instant, abaisse la poignée puis ouvre.
C'est Amélia qui tape contre le mur à l'aide de ses bras.
Elle est attachée sur une chaise, elle semble crier, mais le scotch sur sa bouche étouffe le moindre son.
Marc : Amélia ? C'est bien toi ? Mais qu'est-ce que tu fais là ?
Amélia : MHMHMHMHMH !!!
Marc : Attends bouge pas, je vais chercher de l'aide et on va te sortir de là !
??? : Mais qu'est-ce que tu fous là toi
Marc se retourne, c'est Mr. Duval, il ne semble pas surpris de la situation dans laquelle Amélia se trouve.
Marc : Monsieur ! Quelqu’un a attaché Amélia ! Il faut la sortir de là !
Mr.Duval : La sortir de là ?
Marc : Mais pourquoi vous riez ?
Mr. Duval : Cette petite est à moi, et toi, tu n'aurais jamais du te mêler de ce qui ne te regarde pas
CHAPITRE 5 : Le cinquième chapitre
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38°, un mois de Septembre, c'est atroce
Malgré le fait que l'on soit posé à l'ombre, je peux sentir des gouttes de sueurs dégoulinantes le long de mon visage et le long de mes jambes. J'ai voulu faire le BG bien habillé pour le jour de la rentrée, du coup je me suis dis que j'allais ressortir mon jean noir de BG m'voyez ? Grave erreur
Le seul type un tant sois peut intelligent ici c'est Julien, il est le seul à s'être armé d'un short et d'une chemise à manche courte pour se défendre un minimum contre la chaleur désertique d'aujourd'hui
Le parc ou nous sommes installés se nomme le Square Foyard, c'est un nom de merde mais en lui-même, il est plutôt sympa. Heureusement, puisque c'est la rentrée, y'a aucun mioche pour nous faire chier. Juste deux ou trois croûtons scrutant le ciel, assis sur des bancs.
Il est 14H46, depuis notre arrivé, Marc a passé son temps sur le tourniquet, Momo a fumé sa clope et Julien est resté discuter avec une vielle...
Moi je me suis posé sur l'herbe, dans un petit coin d'ombre et j'ai fais une petite sieste.
Mais cette dernière fut de courte durée, à ma grande surprise, un invité de dernière minute fit son apparition.
??? : Salut tu dors ?
Tony : MAIS PUTAIN QU'EST-CE QUE TU FOUS LA TOI ?
C'est le mongole de ce matin qui c'était fait piquer son Iphone par Momo à la récré et qui avait gâché mon repas au self en dégageant la superbe blondasse.
Le mongole : Bah je vous ai vu vous enfuir du gymnase du coup je vous ai suivis
Tony : Et maintenant, tu vas y retourner
Le mongole : Mais je connais pas le chemin
Tony : C'est pas mon problème
Momo : Hey mais c'est mon fournisseur de phones
Le mongole : Ho hell no
Momo : Qu'est-ce tu fous là ? Tu vois pas qu'tu nous emmerdes
Le mongole : Voyons jeune homme restons poli
Momo : Wesh tu m'donnes un ordre là ? (">
Le mongole : C'était juste une suggestion
Marc : Qu'est-ce qui se passe les gars ?
Julien : Tiens, Kévin, qu'est-ce que tu fais là ? Tu n'es pas en cours ?
Kévin : Rofl comment tu sais comment j'm'appel ?
Julien : Je connais le nom de chacun des élèves présents dans cette classe, j'ai une très bonne mémoire
Kévin : Kom t'es impressionnant
Julien : Bon dites-moi, ça vous dirais qu'on aille s'acheter quelque chose à boire ? Histoire de se rafraîchir un peut ? Il y'a un Intermarché pas loin
Marc : Ha ouais bonne idée je meurs de soif
Momo : A fond
Kévin : Génial ! Allons y les amis
Tony : Ne me dis pas que tu comptes venir avec nous
Kévin : Bah si pk ?
Tony : Parce qu'il est hors de question que je me coltine un guignole comme toi
Kévin : Si vous ne m’emmenez pas avec vous, je raconte tout au prof en revenant
Tony : A ouais t'es sur
Kévin : Tu m'fais pas peur
Momo : J'vais t'foutre une patate (">
Kévin : Finalement je me rappel du chemin, j'vais tout dire et on sera tous puni
Tony : Revient là espèce d'enculé ! (">
Momo : Inshallah j'vais l'niker (">
Si jamais Kévin raconte tout au prof, on est bon pour avoir des problèmes dés le premier jours de classe.
Je commence à lui courir après mais il est plus rapide qu'il n'en a l'air, heureusement, Momo est un bon sprinter.
Tony : Vas-y Momo... souffle rattrape moi... souffle cet espèce... souffle d'enculé... souffle
Julien : Il court vite, avec cette chaleur c'est plutôt impressionnant
Tony : Pourquoi tu te lances pas à sa poursuite ?!
Julien : Ce serait peine perdu, je n'ai jamais été bon pour la course.
Tony : Et Marc
Marc : Je suis là
Tony : Ça m'aurait étonné
Je suis là comme un con, essoufflé, dégoulinant de sueur, n'ayant pas la force de faire un pas de plus pendant que Momo continue de courir après l'autre débile... Au bout d'un temps, on a complètement perdu leur trace.
Tony : Bon... Qu'est-ce qu'on fait
Julien : Retournons au lycée, le temps de rentrer il sera très certainement l'heure de la pause, on les retrouvera surement las-bas
Tony : Ok
Julien a vu juste, un troupeau de mouton d'élèves est regroupés devant le lycée, fumant leur clope, j’espère dans ma tête que chacun d'entre eux meurt d'un cancer dans les jours qui viennent
Par contre, aucune trace de Kévin ou de Momo, que ce soit à l'extérieur ou à l'intérieur du lycée...
Tony : Ou est-ce qu'ils ont bien pu passer ?
Marc : Ils ce sont peut-être perdu ?
Julien : Momo vit dans cette ville, ça m'étonnerais
Tony : Parce qu'en plus tu sais tous ou on habite
Julien : Non, j'ai juste remarqué cette information dans son carnet de correspondance.
??? : Tient mais vous êtes les gars qui sont parties du cours avant la fin de l'heure !
Cette voix provient d'une fille, je l'ai déjà aperçu au cours d'EPS, elle traîne avec la blondasse.
Elle est son exacte opposé, brune trop d4rk, cheveux longs mais attachés, elle porte une veste à capuche grise et un jogging et ne semble pas abuser du maquillage comme 95% des filles de ce lycée.
Tony : Putain mais c'est pas vrai, tout le monde nous as vu nous barrer du cours ou quoi ?
??? : T'inquiète pas, je m'en fou que vous ayez séché
Tony : Ha bon ? Alors tu vas rien dire
??? : Bah non
Tony : Ha ? Heu... Bah merci
Julien : Dis nous, tu n'aurais pas aperçu un gars en survêtement Nike entièrement blanc et un autre avec un tee-shirt Call of Duty ?
??? : Ha non, désolé, pas depuis qu'ils ont quitté le cours avec vous
Julien : Je vois, merci quand-même
??? : D'ailleurs je recherche quelqu’un moi aussi.
Tony : Qui ça
??? : Amélia, c'est la blonde qui a été convoqué par le prof de sport, vous ne l'auriez pas vu par hasard
Tony : Non pourquoi ? Elle est toujours pas revenu ?
??? : Non... Quand le prof est revenu nous faire cours, elle n'était pas avec lui, il nous as dit qu'il l'avait viré de cours pour son insolence ou quelque chose comme ça... Mais j'ai beau la chercher, impossible de la trouver... Elle ne répond pas à mes messages et lorsque je l'appel je tombe sur son répondeur...
Julien : Tu es une amie à elle ?
??? : Oui, on se connait depuis toute petite Au fait, moi c'est Justine
Julien : Moi c'est Julien, lui c'est Tony et lui Marc, ravi de faire ta connaissance
Justine : Haha, pareil pour moi
Puis la sonnerie retentit, Justine nous souhaite bonne chance pour retrouver nos "amis" et part de son côté à la recherche d'Amélia.
Tony : Bon... Faites ce que vous voulez mais moi, je retourne en cours...
Marc : Et pour Momo et Kévin ?
Tony : Qu'ils se démerdent ! J'ai pas que ça à faire de courir après eux
Marc : Et s'il raconte tout au prof ?
Tony : On dira qu'il ment ou un truc dans le genre...
Marc : Bon ok... Mais avant... Faut que j'aille pisser
Tony : Bah vas-y j'men fou
Marc : Bah attendez moi je sais pas ou c'est
Tony : Osef, moi j'me casse.
Marc : Julien !
Julien : Désolé mais je ne tient pas à rater un cours une fois de plus dans la même journée, on se retrouve après
Marc : Les gars !
Alors que nous nous rendons en cours de Français, Marc se met à chercher dans chaque recoin du lycée pour trouver les toilettes, sans succès jusque là. Il est tellement doué qu'il se rend dans un autre bâtiment réservé à l'administration. En empruntant un couloir désertique et non éclairé, il se met à entendre un drôle de bruit... Un bruit assez étouffé... plus il s’engouffre au fond du couloir, plus le bruit devient audible.
Il a de plus en plus peur mais continue d'un pas décidé, ce bruit l'obsède.
Il pense enfin en avoir trouvé la source, oui, aucun doute, ça vient d'ici.
Une porte se dresse devant lui, il hésite un instant, abaisse la poignée puis ouvre.
C'est Amélia qui tape contre le mur à l'aide de ses bras.
Elle est attachée sur une chaise, elle semble crier, mais le scotch sur sa bouche étouffe le moindre son.
Marc : Amélia ? C'est bien toi ? Mais qu'est-ce que tu fais là ?
Amélia : MHMHMHMHMH !!!
Marc : Attends bouge pas, je vais chercher de l'aide et on va te sortir de là !
??? : Mais qu'est-ce que tu fous là toi
Marc se retourne, c'est Mr. Duval, il ne semble pas surpris de la situation dans laquelle Amélia se trouve.
Marc : Monsieur ! Quelqu’un a attaché Amélia ! Il faut la sortir de là !
Mr.Duval : La sortir de là ?
Marc : Mais pourquoi vous riez ?
Mr. Duval : Cette petite est à moi, et toi, tu n'aurais jamais du te mêler de ce qui ne te regarde pas