Note de la fic :
Les péripéties d'un branleur (SAISON 1)
Par : GeneralJVC1
Genre : Nawak, Action
Statut : Terminée
Chapitre 2
Publié le 18/12/2015 à 18:48:59 par GeneralJVC1
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CHAPITRE 2 : Un début mouvementé
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Me voici enfin devant les grilles du lycée, Philippe Guitton, un nom à la con
Il est 8H23 et y'a déjà foule, à croire que tous ses branleurs ont hâte de passer leur année assis le cul sur une chaise à écouter les profs nous réciter la page de leur bouquin qu'ils ont prit le soin d'apprendre par cœur avant de venir nous faire cours. Vous pouvez pas savoir à quel point certains enseignants peuvent être con.
En 3ème au début d'année, on avait une prof de français qui s’appelait Froment, non je déconne pas, elle s’appelait vraiment Froment
Elle avait pour habitude d'apporter son livre de cours, un jour un gars de ma classe a eu la merveilleuse idée de cacher son bouquin dans une armoire. Après l'avoir chercher partout mais sans succès, elle c'est faite à l'idée qu'elle l'avait oublié chez elle, du coup, on a pas fait cours
8H30, les grilles s'ouvrent, la cours a l'air plutôt immense, je repère les coins les plus éloignés, histoire de pouvoir être tranquille pendant les pauses. Après une petite marche vivifiante, un homme chauve et mal rasé nous fais signe de nous stopper. Il se présente, Mr. Dario, directeur principal du lycée.
Il continue avec le speech habituel, puis commence à assigner la classe de chaque élève.
Après une attente interminable vient enfin mon tour, Aluis Tony, et ouais c'est mon nom
Je me place à côté de ce qui semble être mon prof. principal, un homme brun, en costard, très maigre, Mr. Dubernard. Ho la vache, il devait se faire taper étant gamin avec un nom pareil
Ayant été appelé le premier j'ai le temps de voir toutes les personnes que je vais devoir supporter et surtout éviter pendant ces trois longues années.
Des beaux gosses, des victimes/fragiles, des arabes, des noirs, des kikoo putes, des filles moches intello, des mecs bizarres... Une classe lambda quoi ))">
Après une saloperie de monté de marches, on arrive enfin dans notre salle, je prend mon élan et fonce vers le fond. En jetant un coup d'oeuil rapide derrière moi, j’aperçois un enculé qui lui aussi a pour objectif de prendre la place sacrée, celle qui se situe tout au fond, près de la fenêtre et du radiateur.
Pas question que ce salopard me la pique ! (">
Je tente un croche patte rapide mais celui-ci arrive à l'esquiver et finit par me dépasser.
Il continue de foncer et se met à rigoler.
Je prend mon sac et lui balance en pleine gueule. STRIKE ! HEADSHOT !
Il perd l'équilibre et s'écrase au sol comme une merde.
Je m'approche de lui et reprend mon sac, c'est une grande victoire pour moi aujourd'hui
Tony : Ça va ? Pas trop bobo la tête ?
Mon adversaire : vmpfh enculé mpfhp
Mr. Dubernard : Mais qu'est-ce qui c'est passé ici ?
Et merde le prof, manquait plus que ça, il me faut une excuse pour éviter le renvoi dés le premier jour
Tony : C'est lui monsieur, il a dis que vous portiez des vêtements de paysans. N'ayant pas pu supporter un tel affront, j'ai décider de le plaquer au sol pour sauver votre honneur.
Mr. Dubernard : Des vêtements de paysans ?! C'est inadmissible !
Tony : Exactement monsieur, inadmissible
Mon adversaire : mpfhp mais c'est pas mpfpg argh c'est pas vrai...
Mr. Dubernard : Dans le bureau du directeur, vous allez voir ce qu'il en coûte de se moquer de moi (">
Mon adversaire : Argh... Non attendez c'est pas argh c'est pas moi
Tony : C'est Inadmissible monsieur
Sauvé, heureusement qu'il est con comme un balai
Les autres élèves le fixe et rigolent, après tout, c'est pas tous les jours qu'on peut voir un mec se faire traîner par un prof dans les couloirs à la rentrée
Après ce début quelque peut... mouvementé, le prof nous distribues nos carnets , la paperasse habituelle à faire signer aux parents et notre emploi du temps... Des matières à la con et des horaires de merde... Comme au collège quoi Sauf que là c'est pire, on finit à 18H quasiment tous les jours
toc toc toc
Mr. Dubernard : Oui entrez !
??? : Heu... Bonjour heu...
Mr. Dubernard : Vous êtes en retard jeune homme.
??? : Oui je sais je...
Mr. Dubernard : Votre nom
Marc : Marc...
Mr. Dubernard : Bon, prenez place au fond et que cela ne se reproduise plus.
Marc : Heu... Oui monsieur
Au fond... AU FOND ?!
Y'a qu'une seule place de libre au fond et c'est à côté de moi, fais chier, enculé de retardataire de merde ("> Lui, il tiendra pas l'année en tout cas
Il baisse la tête et évite le regard des autres, il marche lentement, dégoulinant de sueur, dos courbé en avant. Une petite victime qui se fera laminer par les racailles de la classe
Racaille : Wsh marche pas sur mon sac enculé !
Marc : Oups... Désolé
Racaille : Inchalla j'vais t'niker la calote de tes morts (">
Le prof fait style de ne rien entendre, j'ai cru qu'il allait déjà se faire massacrer, mais une douce voix a finalement retentit :
Blondasse : Laisse le tranquille il vient de te dire qu'il est désolé (">
Racaille : Wsh ça va calmos on rigole
Là j'en reviens pas, il vient de se faire défendre par une putain de bombe. Vous voyez Vanessa la bonasse que vous observez de loin pendant les cours ? Bah c'est la même, mais en blonde.
Racaille : Toi le babtou j'te retrouve à la récrée !
Marc :
Alors c'est à côté de ça que je vais passer le reste de mes cours de français ?
Marc : Salut heu... Est-ce que tu peux enlever ton sac s'il te plait ?
Tony : Ouais ouais
Marc : Merci Je m'appel Marc
Tony : Ça va je suis pas con je t'ai entendu quand t'es rentré
Marc : Ha oui désolé
Tony : C'est bon la ferme maintenant
Marc : ........
Tony : ........
Marc : Et sinon tu t'appels comment ?
Tony : Ta mère t'a jamais apprit à fermer ta gueule ?
Marc : Elle est morte dans un accident de voiture avec mon père quand j'avais 3 ans
Tony : Ha... Désolé...
Hein ? Est-ce que je viens de m'excuser là ? C'est peut-être du au fait qu'il me rappel moi quand j'étais au collège
Tony : ... Je m'appel Tony, maintenant lâche moi j'aimerais dormir en paix
Marc : Ok
Je ne le savais pas encore, mais ce mec, la superbe blondasse et la racaille de tout à l'heure allaient tous les trois m'entraîner dans un galère pas possible...
Rien ne se passe jamais comme prévu avec moi, rien.
CHAPITRE 2 : Un début mouvementé
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Me voici enfin devant les grilles du lycée, Philippe Guitton, un nom à la con
Il est 8H23 et y'a déjà foule, à croire que tous ses branleurs ont hâte de passer leur année assis le cul sur une chaise à écouter les profs nous réciter la page de leur bouquin qu'ils ont prit le soin d'apprendre par cœur avant de venir nous faire cours. Vous pouvez pas savoir à quel point certains enseignants peuvent être con.
En 3ème au début d'année, on avait une prof de français qui s’appelait Froment, non je déconne pas, elle s’appelait vraiment Froment
Elle avait pour habitude d'apporter son livre de cours, un jour un gars de ma classe a eu la merveilleuse idée de cacher son bouquin dans une armoire. Après l'avoir chercher partout mais sans succès, elle c'est faite à l'idée qu'elle l'avait oublié chez elle, du coup, on a pas fait cours
8H30, les grilles s'ouvrent, la cours a l'air plutôt immense, je repère les coins les plus éloignés, histoire de pouvoir être tranquille pendant les pauses. Après une petite marche vivifiante, un homme chauve et mal rasé nous fais signe de nous stopper. Il se présente, Mr. Dario, directeur principal du lycée.
Il continue avec le speech habituel, puis commence à assigner la classe de chaque élève.
Après une attente interminable vient enfin mon tour, Aluis Tony, et ouais c'est mon nom
Je me place à côté de ce qui semble être mon prof. principal, un homme brun, en costard, très maigre, Mr. Dubernard. Ho la vache, il devait se faire taper étant gamin avec un nom pareil
Ayant été appelé le premier j'ai le temps de voir toutes les personnes que je vais devoir supporter et surtout éviter pendant ces trois longues années.
Des beaux gosses, des victimes/fragiles, des arabes, des noirs, des kikoo putes, des filles moches intello, des mecs bizarres... Une classe lambda quoi ))">
Après une saloperie de monté de marches, on arrive enfin dans notre salle, je prend mon élan et fonce vers le fond. En jetant un coup d'oeuil rapide derrière moi, j’aperçois un enculé qui lui aussi a pour objectif de prendre la place sacrée, celle qui se situe tout au fond, près de la fenêtre et du radiateur.
Pas question que ce salopard me la pique ! (">
Je tente un croche patte rapide mais celui-ci arrive à l'esquiver et finit par me dépasser.
Il continue de foncer et se met à rigoler.
Je prend mon sac et lui balance en pleine gueule. STRIKE ! HEADSHOT !
Il perd l'équilibre et s'écrase au sol comme une merde.
Je m'approche de lui et reprend mon sac, c'est une grande victoire pour moi aujourd'hui
Tony : Ça va ? Pas trop bobo la tête ?
Mon adversaire : vmpfh enculé mpfhp
Mr. Dubernard : Mais qu'est-ce qui c'est passé ici ?
Et merde le prof, manquait plus que ça, il me faut une excuse pour éviter le renvoi dés le premier jour
Tony : C'est lui monsieur, il a dis que vous portiez des vêtements de paysans. N'ayant pas pu supporter un tel affront, j'ai décider de le plaquer au sol pour sauver votre honneur.
Mr. Dubernard : Des vêtements de paysans ?! C'est inadmissible !
Tony : Exactement monsieur, inadmissible
Mon adversaire : mpfhp mais c'est pas mpfpg argh c'est pas vrai...
Mr. Dubernard : Dans le bureau du directeur, vous allez voir ce qu'il en coûte de se moquer de moi (">
Mon adversaire : Argh... Non attendez c'est pas argh c'est pas moi
Tony : C'est Inadmissible monsieur
Sauvé, heureusement qu'il est con comme un balai
Les autres élèves le fixe et rigolent, après tout, c'est pas tous les jours qu'on peut voir un mec se faire traîner par un prof dans les couloirs à la rentrée
Après ce début quelque peut... mouvementé, le prof nous distribues nos carnets , la paperasse habituelle à faire signer aux parents et notre emploi du temps... Des matières à la con et des horaires de merde... Comme au collège quoi Sauf que là c'est pire, on finit à 18H quasiment tous les jours
toc toc toc
Mr. Dubernard : Oui entrez !
??? : Heu... Bonjour heu...
Mr. Dubernard : Vous êtes en retard jeune homme.
??? : Oui je sais je...
Mr. Dubernard : Votre nom
Marc : Marc...
Mr. Dubernard : Bon, prenez place au fond et que cela ne se reproduise plus.
Marc : Heu... Oui monsieur
Au fond... AU FOND ?!
Y'a qu'une seule place de libre au fond et c'est à côté de moi, fais chier, enculé de retardataire de merde ("> Lui, il tiendra pas l'année en tout cas
Il baisse la tête et évite le regard des autres, il marche lentement, dégoulinant de sueur, dos courbé en avant. Une petite victime qui se fera laminer par les racailles de la classe
Racaille : Wsh marche pas sur mon sac enculé !
Marc : Oups... Désolé
Racaille : Inchalla j'vais t'niker la calote de tes morts (">
Le prof fait style de ne rien entendre, j'ai cru qu'il allait déjà se faire massacrer, mais une douce voix a finalement retentit :
Blondasse : Laisse le tranquille il vient de te dire qu'il est désolé (">
Racaille : Wsh ça va calmos on rigole
Là j'en reviens pas, il vient de se faire défendre par une putain de bombe. Vous voyez Vanessa la bonasse que vous observez de loin pendant les cours ? Bah c'est la même, mais en blonde.
Racaille : Toi le babtou j'te retrouve à la récrée !
Marc :
Alors c'est à côté de ça que je vais passer le reste de mes cours de français ?
Marc : Salut heu... Est-ce que tu peux enlever ton sac s'il te plait ?
Tony : Ouais ouais
Marc : Merci Je m'appel Marc
Tony : Ça va je suis pas con je t'ai entendu quand t'es rentré
Marc : Ha oui désolé
Tony : C'est bon la ferme maintenant
Marc : ........
Tony : ........
Marc : Et sinon tu t'appels comment ?
Tony : Ta mère t'a jamais apprit à fermer ta gueule ?
Marc : Elle est morte dans un accident de voiture avec mon père quand j'avais 3 ans
Tony : Ha... Désolé...
Hein ? Est-ce que je viens de m'excuser là ? C'est peut-être du au fait qu'il me rappel moi quand j'étais au collège
Tony : ... Je m'appel Tony, maintenant lâche moi j'aimerais dormir en paix
Marc : Ok
Je ne le savais pas encore, mais ce mec, la superbe blondasse et la racaille de tout à l'heure allaient tous les trois m'entraîner dans un galère pas possible...
Rien ne se passe jamais comme prévu avec moi, rien.