Note de la fic :
Publié le 23/08/2015 à 12:05:11 par Arni
Avant-propos
Ceci est une fiction faisant suite à « Metal Gaussian Storm ». Il est plus que vivement conseillé d’avoir lu la première fiction avant d’attaque celle-ci. Voici le lien.
http://noelfic.fr/integrale.php?titre=13502&chap=0
D’avance je vous souhaite une bonne lecture de ces 2 fictions,
Arni
Chapitre 0 : Introduction
Deux heures plus tard, un travailleur trouva le corps de Ned sans vie en allant chercher sa voiture au 2e étage du parking sous-terrain. C’est après sa longue journée de travail dans l’entreprise de téléphonie mobile qui l’employait depuis 15 ans qu’il fit cette découverte. Il resta sans voix, devant la tête perforée de Ned Anderwoods qui venait de se faire assassiner froidement par Arnaud Kompany. Il n’en croyait pas ses yeux. Marc, le commercial, n’imaginait pas une seconde qu’il verrait ça un jour de ses propres yeux. C’était bien plus terrifiant que dans un film d’action, une trace de sang recouvrait le sol du parking. L’homme n’en avait jamais vu autant. Cette vision manqua de peu de le faire tomber dans les pommes. Après avoir repris ses esprits, il décida de s’isoler à l’entrée du parking qui se trouvait à hauteur de route et appela le 911 afin de prévenir les autorités du crime ignoble qu’il venait de découvrir après sa rude journée de travail. Pendant l’appel, sa voix trembla. Il eut du mal à finir ses phrases tant il était choqué de sa découverte. Marc fut incapable de retirer l’image de la tête de Ned de son esprit, le crane perforé, les yeux encore ouverts. Le regard vide du cadavre le fixait et cela lui faisait froid dans le dos.
Quelques minutes plus tard, les secours arrivèrent sur place à l’entrée du parking toutes sirènes hurlantes. Les orages ayant éclatés 2h auparavant s’étaient tus et le sol avait fini par sécher. Le temps ne fut pas ensoleillé pour autant. Les nuages avaient certes cessés de déverser la pluie sur la capitale, mais ils n’avaient pas encore daigné se retirer du ciel. Le responsable de la Police demanda à Marc de les conduire au second sous-sol pour leur montrer le cadavre pour lequel le commercial avait demandé du renfort. Ce dernier s’exécuta et mena les policiers dans les profondeurs du parking de son entreprise de téléphonie mobile dans le centre de Washington DC. Une fois arrivés au bon étage le constat était sans appel, il n’y’avait aucun corps dans le parking. Le commercial n’en croyait pas ses yeux, où est-ce que le mort avait bien pu passer ? Il n’était pas possible que celui-ci se soit relevé alors qu’il avait 3 balles dans la tempe et vu la quantité de sang qu’il avait perdu. Marc était pétrifié, il ne savait plus quoi penser. Le policier se retourna vers Marc, le fixa avec ses prunelles noires comme les ténèbres et éleva la voix sur le pauvre commercial qui avait passé l’appel au 911 quelques minutes auparavant.
« C’était une blague monsieur ? Il n’y’a aucun cadavre dans ce foutu parking ! Je vous préviens, si vous nous avez fait déplacer pour rien, l’amende sera salée et vous la paierez, ça je peux vous l’assurer ! On ne plaisante pas avec le 911, vous occupez des hommes qui pourraient sauver des vies, ailleurs !
-Je vous jure, je ne comprends pas ! Il était là, il y a encore 5 minutes ! Je me suis isolé afin de vous appeler. Je vous ai attendu à l’entrée du parking pour vous guider comme m’a demandé la standardiste du 911, j’ai fait ce qu’on m’a dit … regardez ici, on peut encore voir une flaque de sang. Il était juste là, allongé, il me fixait avec ses yeux d’homme mort. J’étais … j’étais terriblement … complètement apeuré, mais je n’ai pas rêvé, monsieur l’Agent.
-Ouais, en effet, je vous l’accorde, il y a un peu de sang … mais où a bien pu filer ce putain de cadavre, merde ? C’était ma dernière affaire avant de rejoindre ma maitresse et fallait qu’elle traine en longueur … Bon monsieur, vous passerez demain au poste pour faire votre déposition et nous aider à dresser un portrait-robot de cet homme, enfin de ce cadavre, si on ne l’a pas retrouvé ou identifié d’ici là. Cela pourrait nous aider à l’identifier afin de prévenir sa famille, s’il en avait une.
-Je viendrai pendant ma pause midi, monsieur l’Agent.
-Bien, maintenant nous allons devoir fouiller le parking, merci de bien vouloir rester afin d’identifier le corps, si on le retrouve.»
L’agent ordonna à ses hommes d’appeler du renfort et de ratisser la zone. Une petite dizaine de minutes plus tard, les policiers arrivèrent. Les flics continuèrent de chercher le corps de Ned sur les 3 étages du parking. Personne ne le trouva, malgré une fouille de tout le parking qui dura une bonne heure. Quelqu’un avait dû emporter son cadavre. Il s’agissait sûrement du meurtrier qui était venu récupérer son œuvre avant que quelqu’un le découvre et qui avait profité de l’inattention de Marc, le témoin, pour venir retirer le corps de Ned Anderwoods du sous-sol où il avait été froidement assassiné par Arnaud Kompany, directeur de l’EIS. C’était l’hypothèse que retint la Police, de toute manière le cadavre n’a pas pu s’envoler par ses petites ailes puissantes. La police scientifique fit quelques prélèvements dans la flaque de sang, afin d’essayer d’identifier la victime. Après ça, plus aucune raison pour Marc et la police de rester sur place, tout le monde rentra donc au bercail. Le commercial trouva du réconfort auprès de sa femme Joan et de son fils de quinze ans, Renaud. Il n’arrivait toujours pas à se retirer cette horrible image qui le hantait depuis qu’il avait posé les yeux sur la dépouille de Ned Anderwoods.
La Police, quant à elle, rentra au poste afin de commencer à monter un dossier sur l’incident. Erwin l’agent qui s’était occupé de la première affaire s’empressa de boucler le rapport afin de pouvoir rejoindre la véritable élue de son cœur. Il commença à taper « Appel 911, 18h, à notre arrivée quelques minutes plus tard le cadavre avait disparu. Nous avons cherché le cadavre pendant 1h, sans résultat. L’enquête va continuer, on va essayer de retrouver son cadavre, les enquêteurs visionneront les images des caméras de surveillance du parking de UKL Mobile à Washington DC. La déposition de Marc Deepwood sera prise demain, lorsqu’il viendra au poste. Nous avons donné un prélèvement de sang à la police scientifique. ». La Police fut ensuite rappelée dans le centre-ville pour un problème différent : un individu, apparemment complètement saoul avait un comportement bizarre dans le Parc Lincoln à proximité de la colline du capitole. Un policier fut désigné pour aller sur place, ce dernier fonça sur place toute sirène hurlante au volant de sa Ford Escort VII frappée du logo du MPDC.
Vital, le policier, s’approcha de l’individu que lui avaient désigné les passants. Il lui demanda de se calmer, et s’il était saoul. Lorsque celui-ci se retourna, c’est avec des yeux bleus si colorés qu’ils apparaissaient fluorescents, que l’homme fixa le policier. Ce regard fit froid dans le dos de Vital. Ce dernier fut submergé par un sentiment de peur. La personne qui se tenait devant lui n’avait pas l’air bien du tout, sa peau était pâle et en mauvais état. Il continua d’approcher. Le malade mental le repoussa très violemment et laissa apparaitre son autre flanc. La créature avait 3 trous de la taille d’un impact de balle au niveau de la tempe droite et une trainée rouge séchée était présente sur sa joue. Vital sombra encore un peu plus dans la peur à la vue de la face de l’homme qui s’approchait de lui, qui le releva, ouvrit la bouche et lui dévora la jugulaire. La créature vida le policier de son sang et rempli les veines d’un liquide noir visqueux qu’il lui vomit dans la bouche. Vital s’écroula lamentablement sur le sol et se mit à trembler. Le monstre poussa un cri immonde vers le ciel, contracta ses muscles et laissa apparaitre la couleur noir mat des veines qui se dessinaient sous sa peau claire.
Les passants, complétement apeurés et choqués, s’enfuirent en courant, pendant que la créature s’occupait du corps sans vie de son premier repas. La panique gagna très vite la ville toute entière et tout le monde s’enferma chez lui, de peur de croiser le monstre et de se faire dévorer littéralement par la créature diabolique, comme certains se plaisaient déjà à l’appeler. Certaines personnes n’eurent pas la chance d’échapper à la furie du monstre. Le nombre d’infectés augmenta assez rapidement. Le cri strident et répugnant des créatures résonnait dans la ville qui s’était arrêtée de vivre depuis quelques heures maintenant.
Notre histoire se passe 2 semaines après le début de l’épidémie. Des centres de quarantaines ont été érigés dans toutes les villes du pays. Un des centres de Washington DC était le District of Columbia Department of Correction (DCDC). De par son ancienne fonction de prison, l’établissement était tout à fait à même de repousser les assauts des infectés par le virus que la presse avait nommé « Mind Gone Syndrome ». Ce nom faisait référence au fait que les malades avaient perdu la tête. Personne ne pouvait sortir des centres de quarantaines auquel il avait été affecté. Les communications aériennes avec les continents avaient été bloquées afin de ne pas propager le virus sur toute la planète. Seuls les militaires et les agences gouvernementales avaient l’autorisation de se déplacer dans le pays. Pour cela, il fallait qu’ils soient très lourdement armés afin de pouvoir éliminer les infectés qui se présentaient sur leur chemin. Le déplacement n’était autorisé que s’il était absolument nécessaire. Personne ne pouvait se déplacer allègrement dans les rues infectées de Washington DC ou d’une autre ville des Etats-Unis.
Ceci est une fiction faisant suite à « Metal Gaussian Storm ». Il est plus que vivement conseillé d’avoir lu la première fiction avant d’attaque celle-ci. Voici le lien.
http://noelfic.fr/integrale.php?titre=13502&chap=0
D’avance je vous souhaite une bonne lecture de ces 2 fictions,
Arni
Chapitre 0 : Introduction
Deux heures plus tard, un travailleur trouva le corps de Ned sans vie en allant chercher sa voiture au 2e étage du parking sous-terrain. C’est après sa longue journée de travail dans l’entreprise de téléphonie mobile qui l’employait depuis 15 ans qu’il fit cette découverte. Il resta sans voix, devant la tête perforée de Ned Anderwoods qui venait de se faire assassiner froidement par Arnaud Kompany. Il n’en croyait pas ses yeux. Marc, le commercial, n’imaginait pas une seconde qu’il verrait ça un jour de ses propres yeux. C’était bien plus terrifiant que dans un film d’action, une trace de sang recouvrait le sol du parking. L’homme n’en avait jamais vu autant. Cette vision manqua de peu de le faire tomber dans les pommes. Après avoir repris ses esprits, il décida de s’isoler à l’entrée du parking qui se trouvait à hauteur de route et appela le 911 afin de prévenir les autorités du crime ignoble qu’il venait de découvrir après sa rude journée de travail. Pendant l’appel, sa voix trembla. Il eut du mal à finir ses phrases tant il était choqué de sa découverte. Marc fut incapable de retirer l’image de la tête de Ned de son esprit, le crane perforé, les yeux encore ouverts. Le regard vide du cadavre le fixait et cela lui faisait froid dans le dos.
Quelques minutes plus tard, les secours arrivèrent sur place à l’entrée du parking toutes sirènes hurlantes. Les orages ayant éclatés 2h auparavant s’étaient tus et le sol avait fini par sécher. Le temps ne fut pas ensoleillé pour autant. Les nuages avaient certes cessés de déverser la pluie sur la capitale, mais ils n’avaient pas encore daigné se retirer du ciel. Le responsable de la Police demanda à Marc de les conduire au second sous-sol pour leur montrer le cadavre pour lequel le commercial avait demandé du renfort. Ce dernier s’exécuta et mena les policiers dans les profondeurs du parking de son entreprise de téléphonie mobile dans le centre de Washington DC. Une fois arrivés au bon étage le constat était sans appel, il n’y’avait aucun corps dans le parking. Le commercial n’en croyait pas ses yeux, où est-ce que le mort avait bien pu passer ? Il n’était pas possible que celui-ci se soit relevé alors qu’il avait 3 balles dans la tempe et vu la quantité de sang qu’il avait perdu. Marc était pétrifié, il ne savait plus quoi penser. Le policier se retourna vers Marc, le fixa avec ses prunelles noires comme les ténèbres et éleva la voix sur le pauvre commercial qui avait passé l’appel au 911 quelques minutes auparavant.
« C’était une blague monsieur ? Il n’y’a aucun cadavre dans ce foutu parking ! Je vous préviens, si vous nous avez fait déplacer pour rien, l’amende sera salée et vous la paierez, ça je peux vous l’assurer ! On ne plaisante pas avec le 911, vous occupez des hommes qui pourraient sauver des vies, ailleurs !
-Je vous jure, je ne comprends pas ! Il était là, il y a encore 5 minutes ! Je me suis isolé afin de vous appeler. Je vous ai attendu à l’entrée du parking pour vous guider comme m’a demandé la standardiste du 911, j’ai fait ce qu’on m’a dit … regardez ici, on peut encore voir une flaque de sang. Il était juste là, allongé, il me fixait avec ses yeux d’homme mort. J’étais … j’étais terriblement … complètement apeuré, mais je n’ai pas rêvé, monsieur l’Agent.
-Ouais, en effet, je vous l’accorde, il y a un peu de sang … mais où a bien pu filer ce putain de cadavre, merde ? C’était ma dernière affaire avant de rejoindre ma maitresse et fallait qu’elle traine en longueur … Bon monsieur, vous passerez demain au poste pour faire votre déposition et nous aider à dresser un portrait-robot de cet homme, enfin de ce cadavre, si on ne l’a pas retrouvé ou identifié d’ici là. Cela pourrait nous aider à l’identifier afin de prévenir sa famille, s’il en avait une.
-Je viendrai pendant ma pause midi, monsieur l’Agent.
-Bien, maintenant nous allons devoir fouiller le parking, merci de bien vouloir rester afin d’identifier le corps, si on le retrouve.»
L’agent ordonna à ses hommes d’appeler du renfort et de ratisser la zone. Une petite dizaine de minutes plus tard, les policiers arrivèrent. Les flics continuèrent de chercher le corps de Ned sur les 3 étages du parking. Personne ne le trouva, malgré une fouille de tout le parking qui dura une bonne heure. Quelqu’un avait dû emporter son cadavre. Il s’agissait sûrement du meurtrier qui était venu récupérer son œuvre avant que quelqu’un le découvre et qui avait profité de l’inattention de Marc, le témoin, pour venir retirer le corps de Ned Anderwoods du sous-sol où il avait été froidement assassiné par Arnaud Kompany, directeur de l’EIS. C’était l’hypothèse que retint la Police, de toute manière le cadavre n’a pas pu s’envoler par ses petites ailes puissantes. La police scientifique fit quelques prélèvements dans la flaque de sang, afin d’essayer d’identifier la victime. Après ça, plus aucune raison pour Marc et la police de rester sur place, tout le monde rentra donc au bercail. Le commercial trouva du réconfort auprès de sa femme Joan et de son fils de quinze ans, Renaud. Il n’arrivait toujours pas à se retirer cette horrible image qui le hantait depuis qu’il avait posé les yeux sur la dépouille de Ned Anderwoods.
La Police, quant à elle, rentra au poste afin de commencer à monter un dossier sur l’incident. Erwin l’agent qui s’était occupé de la première affaire s’empressa de boucler le rapport afin de pouvoir rejoindre la véritable élue de son cœur. Il commença à taper « Appel 911, 18h, à notre arrivée quelques minutes plus tard le cadavre avait disparu. Nous avons cherché le cadavre pendant 1h, sans résultat. L’enquête va continuer, on va essayer de retrouver son cadavre, les enquêteurs visionneront les images des caméras de surveillance du parking de UKL Mobile à Washington DC. La déposition de Marc Deepwood sera prise demain, lorsqu’il viendra au poste. Nous avons donné un prélèvement de sang à la police scientifique. ». La Police fut ensuite rappelée dans le centre-ville pour un problème différent : un individu, apparemment complètement saoul avait un comportement bizarre dans le Parc Lincoln à proximité de la colline du capitole. Un policier fut désigné pour aller sur place, ce dernier fonça sur place toute sirène hurlante au volant de sa Ford Escort VII frappée du logo du MPDC.
Vital, le policier, s’approcha de l’individu que lui avaient désigné les passants. Il lui demanda de se calmer, et s’il était saoul. Lorsque celui-ci se retourna, c’est avec des yeux bleus si colorés qu’ils apparaissaient fluorescents, que l’homme fixa le policier. Ce regard fit froid dans le dos de Vital. Ce dernier fut submergé par un sentiment de peur. La personne qui se tenait devant lui n’avait pas l’air bien du tout, sa peau était pâle et en mauvais état. Il continua d’approcher. Le malade mental le repoussa très violemment et laissa apparaitre son autre flanc. La créature avait 3 trous de la taille d’un impact de balle au niveau de la tempe droite et une trainée rouge séchée était présente sur sa joue. Vital sombra encore un peu plus dans la peur à la vue de la face de l’homme qui s’approchait de lui, qui le releva, ouvrit la bouche et lui dévora la jugulaire. La créature vida le policier de son sang et rempli les veines d’un liquide noir visqueux qu’il lui vomit dans la bouche. Vital s’écroula lamentablement sur le sol et se mit à trembler. Le monstre poussa un cri immonde vers le ciel, contracta ses muscles et laissa apparaitre la couleur noir mat des veines qui se dessinaient sous sa peau claire.
Les passants, complétement apeurés et choqués, s’enfuirent en courant, pendant que la créature s’occupait du corps sans vie de son premier repas. La panique gagna très vite la ville toute entière et tout le monde s’enferma chez lui, de peur de croiser le monstre et de se faire dévorer littéralement par la créature diabolique, comme certains se plaisaient déjà à l’appeler. Certaines personnes n’eurent pas la chance d’échapper à la furie du monstre. Le nombre d’infectés augmenta assez rapidement. Le cri strident et répugnant des créatures résonnait dans la ville qui s’était arrêtée de vivre depuis quelques heures maintenant.
Notre histoire se passe 2 semaines après le début de l’épidémie. Des centres de quarantaines ont été érigés dans toutes les villes du pays. Un des centres de Washington DC était le District of Columbia Department of Correction (DCDC). De par son ancienne fonction de prison, l’établissement était tout à fait à même de repousser les assauts des infectés par le virus que la presse avait nommé « Mind Gone Syndrome ». Ce nom faisait référence au fait que les malades avaient perdu la tête. Personne ne pouvait sortir des centres de quarantaines auquel il avait été affecté. Les communications aériennes avec les continents avaient été bloquées afin de ne pas propager le virus sur toute la planète. Seuls les militaires et les agences gouvernementales avaient l’autorisation de se déplacer dans le pays. Pour cela, il fallait qu’ils soient très lourdement armés afin de pouvoir éliminer les infectés qui se présentaient sur leur chemin. Le déplacement n’était autorisé que s’il était absolument nécessaire. Personne ne pouvait se déplacer allègrement dans les rues infectées de Washington DC ou d’une autre ville des Etats-Unis.