Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

Masturbin veut pecho au Moyen-Âge


Par : Gelamine
Genre : Réaliste, Sentimental
Statut : Abandonnée



Chapitre 1 : Moi, Jean-Masturbin


Publié le 29/10/2013 à 19:56:07 par Gelamine

Chapitre 1 : Moi, Jean-Masturbin


Bien le bonjour/soir/joiuursoriireosihrour.
Je me prénomme Jean-Masturbin, j'ai seyze hyvers, et je suis toujours jouvenceau. :-(

Tout commença ce matin-là, où je me levoy pour faire ripaille du pain sec et du brouet du pestit-déjeuner. Je naquis et vivais dans une bien étroite chaumière avec mes parents-grands, loin du bourg de la ville et de Sa Noble Seigneurie. :(
Cependant, ma chaumière faisoit face à celle de la douce et belle Marianne... Ah, la douce et belle Marianne, que je voyais tous les matins à travers son châssis se vêtir de son pauvre bliaut... :bave: Ces cheveux que je voyais chaque matin onduler dans le...

"Jean-Masturbin, encore épris par le cœur de la douce et belle Marianne ? :nonnon: "

C'était ma mère-grand, qui songeoy que je n'avais aucune chance de faire de la douce et belle Marianne ma dulcinée.
Mais j'avais mes raisons : Marianne aussi était jouvencelle, puisqu'elle n'était âgée que de douze printemps. Mais elle avait déjà maints ravisseurs.

- Père-Grand : "Laisse-le donc rêver, ce gueux. Je voudrois être encor assez jeunot pour voir le jour où une femme le chérira."

- Mère-Grand : "Tu pourrois être jeunot une éternité que tu ne le verrois. C'est parce qu'il traîne avec ces gens, la Troupe des Jouvenceaux, qu'on les nomme :nonnon: . Triste renommée pour notre toit."

Je ne pouvois converser avec mes parents-grands. Ils ne portaient aucun espoir sur moi quant à la survie de notre famille, et mes frayres et sœurs Arthur, Saloperielopette, Charles-Henri-Jean-Jacques, Marie-Poux et Jacquelles étaient tous occis depuis belle lurette. :hap:

Mais je devois leur prouver qu'un jour, je réussiroy à émouvoir le petit cœur de la douce et belle Marianne :coeur: et parvenir à l'épousailler ! :coeur:

- Père-Grand : "En attendant, va faire les champs, le gueux ! :honte: "

Je ne demandoy pas mon reste. :peur:


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