Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 15:03:24 par Magikz
J'écarquillai les yeux. Elle était au courant ! J'essayais de me libérer mais j'étais prisonnier. La garce. Elle m'avait eu... encore. Je fis semblant de ne pas comprendre :
- De quoi tu parles ?
- Tu as supprimé un message dans mon téléphone.
- Hein ?
- Je vois clair dans ton jeu maintenant... Tu as fais disparaître la preuve.
Je décidai d'adopter une autre attitude. Je changeai de ton et lui suggérai :
- Exact... Mais tu aurais fait la même chose si tu avais été à ma place...
Elle ne me répondit pas. Un sourire diabolique se dessina sur sa bouche, puis elle me murmura :
- Tu crois être tiré d'affaire ? J'ai un paquet d'autres preuves contre toi connard.
- Tu bluffes.
- Vraiment ? Tu veux que je te montres tes prélèvements de sperme ?
J'éclatai de rire, et lui répondis :
- Qu'est-ce que tu veux faire avec ?
- Oh rien... Juste avoir ton ADN.
Mon sourire s'effaça soudainement :
- Tu déconnes...
- Quand tu as embrassé ma belle-mère l'autre jour... à pleine bouche... Elle a fait un prélèvement de ta salive. Je t'avais dis qu'elle était déterminée...
- Conneries ! Elle m'aurait déjà choppé depuis longtemps si ça avait été le cas !
- Sauf si je lui ai volé le prélèvement avant qu'elle ne le fasse analyser...
- Comment tu aurais pu f...
Elle me coupa la parole :
- T'occupes. L'important, c'est que je te tiens toujours par les couilles. Au sens propre, comme au figuré !
Elle éclata de rire et me masturba de plus en plus rapidement. Dans ma tête, c'était Bagdad. Comment j'avais pu être aussi facilement piégé par Sandra? Je l'avais sous-estimé... Je demeurais silencieux, conscient que je m'étais fais baisé. Voyant mon désarroi, elle reprit la parole :
- Je ne te dénoncerais pas si tu restes à ma disposition. Tu seras mon esclave sexuel en quelque sorte. Allez, passons aux choses sérieuses...
Elle prit mon Z et le rentra dans son V. Elle commença à me chevaucher avec ardeur. Ses cuisses rebondissaient contre moi. Ses mains se baladaient sur mon torse. Elle gémissait de plus en plus... Une demi-heure plus tard, nous étions toujours dans cette position. Ses allers-retours étaient rapides. Elle était en transe depuis quelques minutes. Elle s'enfonçait mon Z aussi profondément qu'elle le pouvait, assouvissant ses pulsions avec appétit. Elle hurla et se retira de mon membre quelques pénétrations plus tard. Elle était essoufflée et transpirait beaucoup. Je n'avais même pas éjaculé.
Elle sortit de la chambre quelques instants. J'essayai brièvement de me libérer mais je n'y parvins pas, inutile d'insister, ce ruban était trop solide. Sandra revint dans la pièce. Elle cachait quelque chose derrière son dos. Elle sauta sur le lit, et vint s'asseoir sur mon ventre. Avec un sourire sadique, elle me brandit un sextoy sous le nez. Je devins un peu plus nerveux, et lui demandai :
- Tu comptes faire quoi avec ça ?
- Tu es nerveux Valentin ?
Le ton de sa voix était posé, ferme. Elle dégageait une force que je n'avais encore jamais perçu chez elle. Elle approcha le sextoy de mon anus, et me caressa lentement le derrière avec. Je n'arrivais pas à croire à ce qu'elle s'apprêtait à faire. Ça dépassait mes pires craintes. Était-elle capable d'aller aussi loin ?
Ma respiration s'accéléra. J'essayai à nouveau de me libérer les poignets, mais c'était impossible. Elle comprima le sextoy sur une de mes fesses, et me menaça :
- Si jamais tu t'avises de me refaire un coup comme ça... Je te défonce le cul avec ce sextoy. Et je peux te garantir que tu t'en souviendras longtemps. Très longtemps.
Elle me regardait dans les yeux. Je soutins son regard. Je ne plierai pas devant elle. Elle me libéra les poignets, et s'allongea à mes côtés. J'avais envie de l'étrangler, mais je me retins. J'avais évité l'humiliation de peu. Je ne sais pas si j'aurais supporté un tel acte.
Elle se tourna vers moi et me lança :
- Je compte sur toi pour être raisonnable dans les prochains jours Valentin...
- Ouais c'est ça. N'hésites pas à m'appeler quand une envie te survient.
- Comme si ce n'était pas déjà le cas chéri...
Je me rhabillais en vitesse et quittais son antre. Je courus aussi vite que je pouvais sur le chemin du retour. A peine avais-je fermé la porte de mon appartement que je hurlai de toute mes forces :
- SALOPE ! TU VAS ME LE PAYER !!!
- De quoi tu parles ?
- Tu as supprimé un message dans mon téléphone.
- Hein ?
- Je vois clair dans ton jeu maintenant... Tu as fais disparaître la preuve.
Je décidai d'adopter une autre attitude. Je changeai de ton et lui suggérai :
- Exact... Mais tu aurais fait la même chose si tu avais été à ma place...
Elle ne me répondit pas. Un sourire diabolique se dessina sur sa bouche, puis elle me murmura :
- Tu crois être tiré d'affaire ? J'ai un paquet d'autres preuves contre toi connard.
- Tu bluffes.
- Vraiment ? Tu veux que je te montres tes prélèvements de sperme ?
J'éclatai de rire, et lui répondis :
- Qu'est-ce que tu veux faire avec ?
- Oh rien... Juste avoir ton ADN.
Mon sourire s'effaça soudainement :
- Tu déconnes...
- Quand tu as embrassé ma belle-mère l'autre jour... à pleine bouche... Elle a fait un prélèvement de ta salive. Je t'avais dis qu'elle était déterminée...
- Conneries ! Elle m'aurait déjà choppé depuis longtemps si ça avait été le cas !
- Sauf si je lui ai volé le prélèvement avant qu'elle ne le fasse analyser...
- Comment tu aurais pu f...
Elle me coupa la parole :
- T'occupes. L'important, c'est que je te tiens toujours par les couilles. Au sens propre, comme au figuré !
Elle éclata de rire et me masturba de plus en plus rapidement. Dans ma tête, c'était Bagdad. Comment j'avais pu être aussi facilement piégé par Sandra? Je l'avais sous-estimé... Je demeurais silencieux, conscient que je m'étais fais baisé. Voyant mon désarroi, elle reprit la parole :
- Je ne te dénoncerais pas si tu restes à ma disposition. Tu seras mon esclave sexuel en quelque sorte. Allez, passons aux choses sérieuses...
Elle prit mon Z et le rentra dans son V. Elle commença à me chevaucher avec ardeur. Ses cuisses rebondissaient contre moi. Ses mains se baladaient sur mon torse. Elle gémissait de plus en plus... Une demi-heure plus tard, nous étions toujours dans cette position. Ses allers-retours étaient rapides. Elle était en transe depuis quelques minutes. Elle s'enfonçait mon Z aussi profondément qu'elle le pouvait, assouvissant ses pulsions avec appétit. Elle hurla et se retira de mon membre quelques pénétrations plus tard. Elle était essoufflée et transpirait beaucoup. Je n'avais même pas éjaculé.
Elle sortit de la chambre quelques instants. J'essayai brièvement de me libérer mais je n'y parvins pas, inutile d'insister, ce ruban était trop solide. Sandra revint dans la pièce. Elle cachait quelque chose derrière son dos. Elle sauta sur le lit, et vint s'asseoir sur mon ventre. Avec un sourire sadique, elle me brandit un sextoy sous le nez. Je devins un peu plus nerveux, et lui demandai :
- Tu comptes faire quoi avec ça ?
- Tu es nerveux Valentin ?
Le ton de sa voix était posé, ferme. Elle dégageait une force que je n'avais encore jamais perçu chez elle. Elle approcha le sextoy de mon anus, et me caressa lentement le derrière avec. Je n'arrivais pas à croire à ce qu'elle s'apprêtait à faire. Ça dépassait mes pires craintes. Était-elle capable d'aller aussi loin ?
Ma respiration s'accéléra. J'essayai à nouveau de me libérer les poignets, mais c'était impossible. Elle comprima le sextoy sur une de mes fesses, et me menaça :
- Si jamais tu t'avises de me refaire un coup comme ça... Je te défonce le cul avec ce sextoy. Et je peux te garantir que tu t'en souviendras longtemps. Très longtemps.
Elle me regardait dans les yeux. Je soutins son regard. Je ne plierai pas devant elle. Elle me libéra les poignets, et s'allongea à mes côtés. J'avais envie de l'étrangler, mais je me retins. J'avais évité l'humiliation de peu. Je ne sais pas si j'aurais supporté un tel acte.
Elle se tourna vers moi et me lança :
- Je compte sur toi pour être raisonnable dans les prochains jours Valentin...
- Ouais c'est ça. N'hésites pas à m'appeler quand une envie te survient.
- Comme si ce n'était pas déjà le cas chéri...
Je me rhabillais en vitesse et quittais son antre. Je courus aussi vite que je pouvais sur le chemin du retour. A peine avais-je fermé la porte de mon appartement que je hurlai de toute mes forces :
- SALOPE ! TU VAS ME LE PAYER !!!