Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 14:59:33 par Magikz
Elle était derrière moi ! Sandra m'avait-elle dénoncé ? Un frisson me parcourus le dos. Mon cerveau chauffait. Je ne savais pas qu'elle attitude adopter. Sandra prit la parole :
- Valérie, je te présente Valentin. Valentin, voici Valérie. Ma belle-mère adorée.
Je m'adressai à Valérie sans me retourner, de peur qu'elle me reconnaisse :
- Enchanté madame.
- Bon... Je vois que je dérange. Amusez vous bien les tourtereaux.
Elle m'adressa une petite tape sur l'épaule, et s'éloigna. Cette incursion ne faisait pas partie de mon plan. Je réfléchissais à toute allure. Sandra avait-elle chercher à me tester ? J'avais du mal à croire que la visite de sa belle-mère chérie était due au hasard... Non, ça sentait l'arrangement. Sandra avait sûrement demandé à sa belle-mère de passer. Comme un moyen de m'effrayer et de me montrer que le danger n'était jamais loin. Astucieux.
Je décidai d'en avoir le cœur net :
- C'est toi qui l'a appelée ?
- Oui.
Cette manière de répondre... Elle dégageait une certaine assurance.
- Pourquoi ?
- Inutile de te préciser. Je peux juste te dire que tu as fait le bon choix en revenant vers moi.
Salope. Elle n'aurait pas hésiter à me balancer à sa daronne si j'avais refusé de revenir avec elle. Elle croyait tout maîtriser mais elle se trompait. Sandra venait de faire une grosse erreur. Elle venait de me confirmer que son unique moyen de pression sur moi, c'était sa belle-mère.
Après le départ de Valérie, je proposais à Sandra d'aller sur la plage pour discuter plus tranquillement. Elle accepta. Nous nous installèrent sur le sable. Il y avait relativement du monde autour de nous. C'est une des raisons qui m'avaient poussé à la faire venir ici. On s'allongea côte à côte. Je me mis torse nu et elle en maillot. Elle se tourna vers moi et me dit :
- Tu sais, je peux comprendre ta réaction d'hier.
Je lui répondis dans ma tête...Ouais bien sûr. Tu vas voir ce que ça fait que d'être manipulé à son insu. Je demeurais silencieux. Elle me prit la main. J'eus toute les peines du monde à ne pas la retirer. Je ne suis pas quelqu'un qui mime des sentiments et qui triche en temps normal.
Sa main remonta le long de mon avant bras et me caressa doucement. Si elle cherchait à m'exciter c'était raté. Je n'éprouvais plus rien pour elle et j'étais focalisé sur ma stratégie.
Je mis mes lunettes de soleil. Je ne voulais pas me faire trahir par mon regard. Elle pencha sa tête sur le côté, et me regarda. Je m'approchais d'elle et l'embrassai sensuellement. Je devais la convaincre de ma démarche. Elle passa ses mains derrière ma nuque, et m'embrassa dans le cou. Elle me murmura :
- Je regrette tellement notre dispute...
- Pas autant que moi...
Elle souris. Ce sourire qui m'aurait fait fondre quelques jours plus tôt, il ne me fit rien. Mon cœur s'était changé en pierre. Elle ne représentait plus rien pour moi. Je lui rendis son sourire. Ce que j'espérais se produisit. Elle dirigea sa main vers mon entrejambe et la posa sur mon maillot. Elle s'approcha et me chuchota :
- J'ai envie de toi...
Il ne m'en avait pas fallu beaucoup pour réveiller ses pulsions.
Quelques vacanciers autour de nous exprimèrent leur agacement par des raclements de gorge forcés. Sandra retira sa main, confuse. Elle devint toute rouge. Intérieurement, je jubilais. Elle venait de s'afficher devant une bonne dizaine de personnes. Avec un peu de chance, ils résidaient tous dans son hôtel, bonjour la réputation. J'espérais que ses parents auraient vent de sa conduite. Et ce n'était que les prémices du calvaire que je lui réservais...
- Valérie, je te présente Valentin. Valentin, voici Valérie. Ma belle-mère adorée.
Je m'adressai à Valérie sans me retourner, de peur qu'elle me reconnaisse :
- Enchanté madame.
- Bon... Je vois que je dérange. Amusez vous bien les tourtereaux.
Elle m'adressa une petite tape sur l'épaule, et s'éloigna. Cette incursion ne faisait pas partie de mon plan. Je réfléchissais à toute allure. Sandra avait-elle chercher à me tester ? J'avais du mal à croire que la visite de sa belle-mère chérie était due au hasard... Non, ça sentait l'arrangement. Sandra avait sûrement demandé à sa belle-mère de passer. Comme un moyen de m'effrayer et de me montrer que le danger n'était jamais loin. Astucieux.
Je décidai d'en avoir le cœur net :
- C'est toi qui l'a appelée ?
- Oui.
Cette manière de répondre... Elle dégageait une certaine assurance.
- Pourquoi ?
- Inutile de te préciser. Je peux juste te dire que tu as fait le bon choix en revenant vers moi.
Salope. Elle n'aurait pas hésiter à me balancer à sa daronne si j'avais refusé de revenir avec elle. Elle croyait tout maîtriser mais elle se trompait. Sandra venait de faire une grosse erreur. Elle venait de me confirmer que son unique moyen de pression sur moi, c'était sa belle-mère.
Après le départ de Valérie, je proposais à Sandra d'aller sur la plage pour discuter plus tranquillement. Elle accepta. Nous nous installèrent sur le sable. Il y avait relativement du monde autour de nous. C'est une des raisons qui m'avaient poussé à la faire venir ici. On s'allongea côte à côte. Je me mis torse nu et elle en maillot. Elle se tourna vers moi et me dit :
- Tu sais, je peux comprendre ta réaction d'hier.
Je lui répondis dans ma tête...Ouais bien sûr. Tu vas voir ce que ça fait que d'être manipulé à son insu. Je demeurais silencieux. Elle me prit la main. J'eus toute les peines du monde à ne pas la retirer. Je ne suis pas quelqu'un qui mime des sentiments et qui triche en temps normal.
Sa main remonta le long de mon avant bras et me caressa doucement. Si elle cherchait à m'exciter c'était raté. Je n'éprouvais plus rien pour elle et j'étais focalisé sur ma stratégie.
Je mis mes lunettes de soleil. Je ne voulais pas me faire trahir par mon regard. Elle pencha sa tête sur le côté, et me regarda. Je m'approchais d'elle et l'embrassai sensuellement. Je devais la convaincre de ma démarche. Elle passa ses mains derrière ma nuque, et m'embrassa dans le cou. Elle me murmura :
- Je regrette tellement notre dispute...
- Pas autant que moi...
Elle souris. Ce sourire qui m'aurait fait fondre quelques jours plus tôt, il ne me fit rien. Mon cœur s'était changé en pierre. Elle ne représentait plus rien pour moi. Je lui rendis son sourire. Ce que j'espérais se produisit. Elle dirigea sa main vers mon entrejambe et la posa sur mon maillot. Elle s'approcha et me chuchota :
- J'ai envie de toi...
Il ne m'en avait pas fallu beaucoup pour réveiller ses pulsions.
Quelques vacanciers autour de nous exprimèrent leur agacement par des raclements de gorge forcés. Sandra retira sa main, confuse. Elle devint toute rouge. Intérieurement, je jubilais. Elle venait de s'afficher devant une bonne dizaine de personnes. Avec un peu de chance, ils résidaient tous dans son hôtel, bonjour la réputation. J'espérais que ses parents auraient vent de sa conduite. Et ce n'était que les prémices du calvaire que je lui réservais...