Note de la fic :
Publié le 19/08/2013 à 15:02:28 par Magikz
Ce n'est que dans la soirée que j'eus à nouveau des nouvelles de Sandra. Je reçus son message vers 22 heures : « C'était super mon chou ! Vivement le match retour ! »
Elle semblait avoir oublié notre petite séance d'interrogatoire pendant le Z+V. Je lui avait fait prendre un somnifère assez puissant. La pharmacienne m'avait averti sur les effets secondaires qui pouvaient apparaître chez certaines personnes, sous la forme de très légers troubles de la mémoire.
Le médicament faisait donc son petit effet sur Sandra, ou c'était à cause de son addiction pour le sexe, je ne savais pas trop. Mais inutile de s'attarder sur de tels détails.
L'important, c'est qu'elle n'avait pas l'air de se souvenir de mes questions. Elle croyait pouvoir encore me balancer à sa belle-mère. Mais il n'y avait plus de preuve. J'avais maintenant un coup d'avance sur elle. Échec au Roi. Notre petite partie d'échec tournait à mon avantage, pour ma plus grande satisfaction.
Je commandai une pizza et passais la fin de ma soirée à m'abrutir devant la télé. Les petits plaisirs agréables de la vie. C'était bon de les retrouver de temps en temps.
Un moustique ( ) se posa sur mon bras, et commença à me sucer le sang. Je l'explosai avec la paume de ma main. Menace écartée. Si seulement ça pouvait être aussi facile avec Sandra...
Le lendemain fut une superbe journée. Pas un nuage à l'horizon. Un ciel bleu azur si caractéristique du sud de la France. Mais surtout, aucune nouvelle de Sandra. Pas de nouvelles, bonnes nouvelles comme on dit. J'avais passé mon après-midi à me dorer la pilule au soleil. Après tout, c'était les vacances je ne devais pas l'oublier.
En rentrant à mon appartement, je reçus un nouveau texto de Sandra : « RDV ce soir à mon appart pour une soirée torride ».
Je poussais un long soupir et fermais les yeux. J'avais le même genre de réaction quand on me prévenait d'un DS de maths la veille de l'examen. Je suppose que vous connaissez aussi ce sentiment : un mélange d'agacement et d'impuissance, l'envie d'attraper une grave maladie plutôt que d'aller à ce devoir. Et bien, c'était la même chose pour moi.
En plus de ça, cela peut vous paraître étrange, mais je commençais à en avoir par dessus la tête du sexe. Coucher tous les jours... L'acte avait perdu toute sa saveur à mes yeux. Un désir n'en est plus un si on y succombe sans y résister, ne serait-ce qu'un tant soit peu. Mais ça ne semblait pas déranger Sandra...
Pourtant, je devais faire un effort. Faire bonne impression auprès d'elle, même si cette soirée n'était pas particulièrement décisive pour mon plan.
J'arrivais juste à l'heure chez elle. Elle m'ouvrit, et m'invita à entrer. Elle était entièrement nue (quelle surprise). Je mimais une hypothétique surprise. Elle me souris, puis m'aida à me déshabiller. Elle passa ses bras autour de mon cou et m'embrassa tendrement. Elle me poussa sur le lit d'un air décidé. J'étais sur le dos. Elle s'allongea lentement sur moi. Le contact de son corps chaud sur le mien était agréable. Elle me murmura :
- J'ai envie d'essayer autre chose... Laisses toi faire...
Elle se saisit délicatement de mes poignets et les passa au-dessus de ma tête. Je la laissais faire. Elle prit un ruban et me ligota les mains. L'excitation monta peu à peu en moi. Cette situation avait de quoi réveiller en moi un désir pour le moins naturel : mon Z se dressa petit à petit. Je ne pouvais plus bouger désormais. Mes mains étaient ligotées, et elle s'était assise à califourchon sur mon ventre.
Elle commença à me masturber. Alors que je m'attendais à ce qu'elle m'embrasse, son expression changea brusquement. Elle serra violemment mon Z, ce qui m'arrachai un cri. Elle exprima sa satisfaction en un rire sadique. Elle me regarda dans les yeux, puis me lança :
- Alors comme ça on fouille dans mes affaires Valentin...
Elle semblait avoir oublié notre petite séance d'interrogatoire pendant le Z+V. Je lui avait fait prendre un somnifère assez puissant. La pharmacienne m'avait averti sur les effets secondaires qui pouvaient apparaître chez certaines personnes, sous la forme de très légers troubles de la mémoire.
Le médicament faisait donc son petit effet sur Sandra, ou c'était à cause de son addiction pour le sexe, je ne savais pas trop. Mais inutile de s'attarder sur de tels détails.
L'important, c'est qu'elle n'avait pas l'air de se souvenir de mes questions. Elle croyait pouvoir encore me balancer à sa belle-mère. Mais il n'y avait plus de preuve. J'avais maintenant un coup d'avance sur elle. Échec au Roi. Notre petite partie d'échec tournait à mon avantage, pour ma plus grande satisfaction.
Je commandai une pizza et passais la fin de ma soirée à m'abrutir devant la télé. Les petits plaisirs agréables de la vie. C'était bon de les retrouver de temps en temps.
Un moustique ( ) se posa sur mon bras, et commença à me sucer le sang. Je l'explosai avec la paume de ma main. Menace écartée. Si seulement ça pouvait être aussi facile avec Sandra...
Le lendemain fut une superbe journée. Pas un nuage à l'horizon. Un ciel bleu azur si caractéristique du sud de la France. Mais surtout, aucune nouvelle de Sandra. Pas de nouvelles, bonnes nouvelles comme on dit. J'avais passé mon après-midi à me dorer la pilule au soleil. Après tout, c'était les vacances je ne devais pas l'oublier.
En rentrant à mon appartement, je reçus un nouveau texto de Sandra : « RDV ce soir à mon appart pour une soirée torride ».
Je poussais un long soupir et fermais les yeux. J'avais le même genre de réaction quand on me prévenait d'un DS de maths la veille de l'examen. Je suppose que vous connaissez aussi ce sentiment : un mélange d'agacement et d'impuissance, l'envie d'attraper une grave maladie plutôt que d'aller à ce devoir. Et bien, c'était la même chose pour moi.
En plus de ça, cela peut vous paraître étrange, mais je commençais à en avoir par dessus la tête du sexe. Coucher tous les jours... L'acte avait perdu toute sa saveur à mes yeux. Un désir n'en est plus un si on y succombe sans y résister, ne serait-ce qu'un tant soit peu. Mais ça ne semblait pas déranger Sandra...
Pourtant, je devais faire un effort. Faire bonne impression auprès d'elle, même si cette soirée n'était pas particulièrement décisive pour mon plan.
J'arrivais juste à l'heure chez elle. Elle m'ouvrit, et m'invita à entrer. Elle était entièrement nue (quelle surprise). Je mimais une hypothétique surprise. Elle me souris, puis m'aida à me déshabiller. Elle passa ses bras autour de mon cou et m'embrassa tendrement. Elle me poussa sur le lit d'un air décidé. J'étais sur le dos. Elle s'allongea lentement sur moi. Le contact de son corps chaud sur le mien était agréable. Elle me murmura :
- J'ai envie d'essayer autre chose... Laisses toi faire...
Elle se saisit délicatement de mes poignets et les passa au-dessus de ma tête. Je la laissais faire. Elle prit un ruban et me ligota les mains. L'excitation monta peu à peu en moi. Cette situation avait de quoi réveiller en moi un désir pour le moins naturel : mon Z se dressa petit à petit. Je ne pouvais plus bouger désormais. Mes mains étaient ligotées, et elle s'était assise à califourchon sur mon ventre.
Elle commença à me masturber. Alors que je m'attendais à ce qu'elle m'embrasse, son expression changea brusquement. Elle serra violemment mon Z, ce qui m'arrachai un cri. Elle exprima sa satisfaction en un rire sadique. Elle me regarda dans les yeux, puis me lança :
- Alors comme ça on fouille dans mes affaires Valentin...