Note de la fic :
The Red Day
Par : Bronks
Genre : Action, Réaliste
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : Le réveil du soldat ( premiere partie )
Publié le 15/09/2011 à 12:19:00 par Bronks
1959... Vietnam.
"Et perdu dans l'ombre, nos âmes déposées là et laissées seules où les flammes et les balles sont maîtres des terres, souffrant de la soif et meurtrie jusqu'a l'os, nos mains lacérées et gonflées nous brûlent, nous brûlent et nous font sentir la chaleur même de l'arme de Satan maniée par leurs suppôts, débusquant là les fourmis tapies dans l'ombre de nos âmes en fuite, fuyez et ne revenez pas, le trépas sonnera le glas d'une nouvelle ère pour les bridés et encore que leurs terres ne soient détruites, ils ne lâche rien et prennent tout comme de vrai charognes affamées devant une dépouille de mammouth. Fuyez et ne revenez pas, les Viet ne sont point las de vous cramer et de vous chercher, cachés dans l'obscurité de la forêt aux arbres épais. Ils ne reculeront point et feront le pas, que nous les Ricains ne feront jamais, adieu les rires d'enfants et le sourire divin des femmes, adieu nos amis appréciés et aimés, adieu la bonne bière et le sexe, adieu nos âmes déjà débusquées, cramées aux napalm?"
EDgard aimait raconter chaque soir, quand le temps nous le permettait, ce genre d'histoire. Il pensait nous remonter le moral en exprimant son ressenti sur la situation du jour, mais nous savions bien que c'était peine perdue. Chaque jour, nous perdions un ami, chaque soirs, il en manquait un à se réchauffer près du feu, sous les paroles du sergent ED. J'étais son protégé dans le groupe de gros bras. Je sais manier le calibre comme il aime le dire. Mais le faire ressentir aux autres me gênait, je me sentais regardé, épié tel un taulard condamné pour pédophilie laissé dans une cour d'école. Il pleuvait ce soir là, et la journée avait été rude : les bridés aimaient nous chauffer les oreilles avec leurs armes crachant du feu ! L'enfer sur terre, le sergent ne racontait pas que du faux dans ses poésies.
J'étais assis au sol, mon arme à la main, mon dos bien calé contre la paroi de l'abri faite de taule et de bois, un léger tissu protégeant de la pluie recouvrait le toit. Une table au fond servait au sergent pour les plans du jour, illuminée par des bougies en son centre. L'abri était assez grand pour nous sept.
Sept valeureux hommes, guerriers et vraiment intrépides. Nous sommes les sauveurs de notre ère, mais assis comme nous l?étions, du moins Johnny, Ted et moi même, nous faisions plus pitié qu'autre chose. Seul le sergent ED semblait robuste et toujours apte à maitriser l'ennemi. Ces derniers jours furent un enfer pour nous tous, rien n'était simple.
Appuyé sur la table avec ses deux main écorchées, fixant une carte avec ses yeux marrons, son arme de poing posée juste à coté, il ne puis s'empêcher de la regarder, et moi de regarder le sergent. Il me fascinait, et j'aimais me dire que plus tard, je serai comme lui, mais en changeant complètement le contexte évidement. Il releva la tête un moment, et s'approcha de Ted, Johnny et moi même...
- "Vous n'avez pas l'intention de dormir j'espère soldats ?! Je vous vois assez pensif depuis dix minutes avec vos p?tits yeux, Restez attentif ! " dit-t-il en restant à deux mètre de nous, se tenant bien droit, nous regardant comme s'il se disait : "Dans quoi ces gamins ce sont-t-ils embarqués ? " et Ted répliqua...
- "Sergent, ça fait deux mois maintenant que je suis loin de ma femme, et vous savez ce qui me manque le plus ? " Il avait le souffle fort et lent et regardait le sergent ED désespérément, avant de reprendre : "Son beau p?tit cul sergent, son cul me manque !" Son souffle devenait encore plus fort à chaque mot prononcé. Le sergent le regarda dans les yeux, essayant de comprendre son homme, au même moment j'entendis Johnny dire à voix basse en se grattant l'oreille :
- "Eh merde ! Ted, la ferme maintenant et calme-toi !"
Le sergent coupa la parole à Johnny avec sa main droite il lui ordonna de ne plus dire un mot. Il allait dire quelque chose.
- "Je me souviens maintenant, ma femme me poussait chaque jour pour que je me décide enfin à pousser la porte de la salle de sport il y a quelques années. Mon corps d'athlète ne l'était pas au niveau du fessier, mais maintenant regarde Ted !"
Ted regarda le fessier de son sergent, il avait le souffle d'un gorille en rut. Il avait chaud et un désir se faisait sentir !
Le sergent me regarda en souriant et se mit la main au cul. Je compris rapidement ce qu'il voulait dire.
- "Tu n'auras jamais mon cul entre t'es mains Ted ! Je les laisse volontiers à Théo. Lui, il sait y faire avec ses mains de velours. Hein mon cher et tendre amour ?!" Il avait un grand sourire et ses dents blanches comme une étoile m'éblouissaient ! Les autres gars avaient écouté malgré qu'ils jouaient aux cartes sur un morceau de tronc d'arbre pris plus tôt dans la jungle. Certain riaient, mais deux n'osaient pas, ou alors trop concentrés sur leur partie.
Je répondis au Sergent ED un peu gêné :
- "Sergent, si vous étiez le dernier homme sur cette terre..." Il me coupa brusquement et son sourire éclatant avait laissé place à un visage en colère...
- "Dans cet enfer Théo, nos âmes ont quitté le monde des mortels depuis longtemps ! Sens comme il fait chaud et comme notre peau est luisante ! Nos poumons crachent le feu des suppôts du Diable de ces terres." Il s'approcha un peu plus de nous trois, avant de s'abaisser à notre niveau. Son chewing-gum sentait la menthe, enfin une odeur agréable ! Johnny se grattant toujours l'oreille et ne savant pas où regarder, Ted qui respirait toujours très fort et moi admirant le Sergent ED avec des yeux limite amoureux !
- "Ca sent pas bon, ça sent pas bon, ça sent pas bon les mecs..." dit Johnny, se grattant toujours !
Il était maintenant à notre niveau, il claquait sa bouche fortement et me fixait du regard. Je n'éprouvais alors aucune crainte envers lui, peut-être aurai-je dû ?!
- "Nous sommes en enfer sergent ! " lui dis-je en me demandant ce qu'il allait me faire.
- "L'enfer Théo...jamais tu ne le quitteras. Ton âme t?a déjà abandonnée, et elle est plutôt du genre tapette si tu vois ce que je veux dire ! Il ne te reste qu'une amie dans l'ombre, garde la près de toi, tu sais la manier, même mieux que ce qui fait de toi un homme. J'ai beaucoup apprécié Théo, ça m'a fait un effet assez spécial. J'avais déjà essayé des choses du même gabarit mais jamais je n'avais éprouvé un tel plaisir. Même avec ma femme vois-tu ?!"
Jo et Ted me regardaient bizarrement, ils n'étaient plus au stade de chercher à comprendre les délires du sergent. Cette fois ce n'était pas un délire, tout le monde l'avait compris. Le sergent se leva et se mis a crier :
- "Dites vite ! Qu?est-ce qui est plus puissant qu'une tempête mais moins destructeur que le déluge ?" Ses main vers le ciel (ou pointées sur la toiture) il attendait la réponse qui allait le délivrer. Les gars avaient arrêté de jouer aux cartes depuis le discours et regardaient le sergent en cherchant le mot, quand soudain : Pasti, le petit tout maigre, le muet du groupe avec ses lunettes bleue foncé leva la main (mais pas entièrement, trop timide pour se faire remarquer complètement).
Le sergent tourna alors doucement la tête vers Pasti, et étonné, il baissa le bras droit et le dirigea vers la direction du timide.
- "Je t'écoute Pasti. " Il restait la bouche entre ouverte, il allait entendre sa voix.
Pasti resta la main à moitié levée, et il bégaya :
- "U...uneuh, une to...to...torna...tornade ser?sergent. "
- "BINGOOOO !" cria le sergent ED, faisant sursauter le pauvre Pasti, qui remit ses lunettes correctement. "Une tornade, une ENOORME tornade ! J'ai joui comme si une tornade me rentrait dans le derch? !"
À ce moment, je n?éprouvais plus la moindre sympathie pour le sergent ED. Il m'avait dépucelé et je restai assis dans mon coin, écoutant les autres crier mon surnom nouvellement acquis : ThéoStorm.
Je venais de pénétré réellement dans mon enfer. Un enfer physique et mental, compliqué, morbide, angoissant et brulant. Les bridés ne sont rien comparé au sergent. Cet italien d'origine ne sera plus jamais sauvé par mon calibre que je sais manier mieux que quiconque. Je me bats pour moi même, pour sauver ce qui peut encore l'être. Il me reste encore un honneur, et je ne crains plus le feu.
Le sergent ED s'éloigna, je n'étais plus son protégé. Il avait complètement perdu les pédales. Je n'entendais plus sa bouche claquer c'était insupportable ! Je n'éprouvais pas le même désir que Ted à ce moment là, seulement l?envie de voir mon flingue toucher sa tempe et sentir son délicieux sang couler sur mon visage : une envie meurtrière ! Mais je l'écoutais toujours, le son de sa voix résonnait à travers l'abri, et bientôt il allait se mettre à nous conter une nouvelle poésie, écrite sur des feuilles tachées, qui s'envoleront loin de cet enfer, quand la Tornade passera par là...
"Et perdu dans l'ombre, nos âmes déposées là et laissées seules où les flammes et les balles sont maîtres des terres, souffrant de la soif et meurtrie jusqu'a l'os, nos mains lacérées et gonflées nous brûlent, nous brûlent et nous font sentir la chaleur même de l'arme de Satan maniée par leurs suppôts, débusquant là les fourmis tapies dans l'ombre de nos âmes en fuite, fuyez et ne revenez pas, le trépas sonnera le glas d'une nouvelle ère pour les bridés et encore que leurs terres ne soient détruites, ils ne lâche rien et prennent tout comme de vrai charognes affamées devant une dépouille de mammouth. Fuyez et ne revenez pas, les Viet ne sont point las de vous cramer et de vous chercher, cachés dans l'obscurité de la forêt aux arbres épais. Ils ne reculeront point et feront le pas, que nous les Ricains ne feront jamais, adieu les rires d'enfants et le sourire divin des femmes, adieu nos amis appréciés et aimés, adieu la bonne bière et le sexe, adieu nos âmes déjà débusquées, cramées aux napalm?"
EDgard aimait raconter chaque soir, quand le temps nous le permettait, ce genre d'histoire. Il pensait nous remonter le moral en exprimant son ressenti sur la situation du jour, mais nous savions bien que c'était peine perdue. Chaque jour, nous perdions un ami, chaque soirs, il en manquait un à se réchauffer près du feu, sous les paroles du sergent ED. J'étais son protégé dans le groupe de gros bras. Je sais manier le calibre comme il aime le dire. Mais le faire ressentir aux autres me gênait, je me sentais regardé, épié tel un taulard condamné pour pédophilie laissé dans une cour d'école. Il pleuvait ce soir là, et la journée avait été rude : les bridés aimaient nous chauffer les oreilles avec leurs armes crachant du feu ! L'enfer sur terre, le sergent ne racontait pas que du faux dans ses poésies.
J'étais assis au sol, mon arme à la main, mon dos bien calé contre la paroi de l'abri faite de taule et de bois, un léger tissu protégeant de la pluie recouvrait le toit. Une table au fond servait au sergent pour les plans du jour, illuminée par des bougies en son centre. L'abri était assez grand pour nous sept.
Sept valeureux hommes, guerriers et vraiment intrépides. Nous sommes les sauveurs de notre ère, mais assis comme nous l?étions, du moins Johnny, Ted et moi même, nous faisions plus pitié qu'autre chose. Seul le sergent ED semblait robuste et toujours apte à maitriser l'ennemi. Ces derniers jours furent un enfer pour nous tous, rien n'était simple.
Appuyé sur la table avec ses deux main écorchées, fixant une carte avec ses yeux marrons, son arme de poing posée juste à coté, il ne puis s'empêcher de la regarder, et moi de regarder le sergent. Il me fascinait, et j'aimais me dire que plus tard, je serai comme lui, mais en changeant complètement le contexte évidement. Il releva la tête un moment, et s'approcha de Ted, Johnny et moi même...
- "Vous n'avez pas l'intention de dormir j'espère soldats ?! Je vous vois assez pensif depuis dix minutes avec vos p?tits yeux, Restez attentif ! " dit-t-il en restant à deux mètre de nous, se tenant bien droit, nous regardant comme s'il se disait : "Dans quoi ces gamins ce sont-t-ils embarqués ? " et Ted répliqua...
- "Sergent, ça fait deux mois maintenant que je suis loin de ma femme, et vous savez ce qui me manque le plus ? " Il avait le souffle fort et lent et regardait le sergent ED désespérément, avant de reprendre : "Son beau p?tit cul sergent, son cul me manque !" Son souffle devenait encore plus fort à chaque mot prononcé. Le sergent le regarda dans les yeux, essayant de comprendre son homme, au même moment j'entendis Johnny dire à voix basse en se grattant l'oreille :
- "Eh merde ! Ted, la ferme maintenant et calme-toi !"
Le sergent coupa la parole à Johnny avec sa main droite il lui ordonna de ne plus dire un mot. Il allait dire quelque chose.
- "Je me souviens maintenant, ma femme me poussait chaque jour pour que je me décide enfin à pousser la porte de la salle de sport il y a quelques années. Mon corps d'athlète ne l'était pas au niveau du fessier, mais maintenant regarde Ted !"
Ted regarda le fessier de son sergent, il avait le souffle d'un gorille en rut. Il avait chaud et un désir se faisait sentir !
Le sergent me regarda en souriant et se mit la main au cul. Je compris rapidement ce qu'il voulait dire.
- "Tu n'auras jamais mon cul entre t'es mains Ted ! Je les laisse volontiers à Théo. Lui, il sait y faire avec ses mains de velours. Hein mon cher et tendre amour ?!" Il avait un grand sourire et ses dents blanches comme une étoile m'éblouissaient ! Les autres gars avaient écouté malgré qu'ils jouaient aux cartes sur un morceau de tronc d'arbre pris plus tôt dans la jungle. Certain riaient, mais deux n'osaient pas, ou alors trop concentrés sur leur partie.
Je répondis au Sergent ED un peu gêné :
- "Sergent, si vous étiez le dernier homme sur cette terre..." Il me coupa brusquement et son sourire éclatant avait laissé place à un visage en colère...
- "Dans cet enfer Théo, nos âmes ont quitté le monde des mortels depuis longtemps ! Sens comme il fait chaud et comme notre peau est luisante ! Nos poumons crachent le feu des suppôts du Diable de ces terres." Il s'approcha un peu plus de nous trois, avant de s'abaisser à notre niveau. Son chewing-gum sentait la menthe, enfin une odeur agréable ! Johnny se grattant toujours l'oreille et ne savant pas où regarder, Ted qui respirait toujours très fort et moi admirant le Sergent ED avec des yeux limite amoureux !
- "Ca sent pas bon, ça sent pas bon, ça sent pas bon les mecs..." dit Johnny, se grattant toujours !
Il était maintenant à notre niveau, il claquait sa bouche fortement et me fixait du regard. Je n'éprouvais alors aucune crainte envers lui, peut-être aurai-je dû ?!
- "Nous sommes en enfer sergent ! " lui dis-je en me demandant ce qu'il allait me faire.
- "L'enfer Théo...jamais tu ne le quitteras. Ton âme t?a déjà abandonnée, et elle est plutôt du genre tapette si tu vois ce que je veux dire ! Il ne te reste qu'une amie dans l'ombre, garde la près de toi, tu sais la manier, même mieux que ce qui fait de toi un homme. J'ai beaucoup apprécié Théo, ça m'a fait un effet assez spécial. J'avais déjà essayé des choses du même gabarit mais jamais je n'avais éprouvé un tel plaisir. Même avec ma femme vois-tu ?!"
Jo et Ted me regardaient bizarrement, ils n'étaient plus au stade de chercher à comprendre les délires du sergent. Cette fois ce n'était pas un délire, tout le monde l'avait compris. Le sergent se leva et se mis a crier :
- "Dites vite ! Qu?est-ce qui est plus puissant qu'une tempête mais moins destructeur que le déluge ?" Ses main vers le ciel (ou pointées sur la toiture) il attendait la réponse qui allait le délivrer. Les gars avaient arrêté de jouer aux cartes depuis le discours et regardaient le sergent en cherchant le mot, quand soudain : Pasti, le petit tout maigre, le muet du groupe avec ses lunettes bleue foncé leva la main (mais pas entièrement, trop timide pour se faire remarquer complètement).
Le sergent tourna alors doucement la tête vers Pasti, et étonné, il baissa le bras droit et le dirigea vers la direction du timide.
- "Je t'écoute Pasti. " Il restait la bouche entre ouverte, il allait entendre sa voix.
Pasti resta la main à moitié levée, et il bégaya :
- "U...uneuh, une to...to...torna...tornade ser?sergent. "
- "BINGOOOO !" cria le sergent ED, faisant sursauter le pauvre Pasti, qui remit ses lunettes correctement. "Une tornade, une ENOORME tornade ! J'ai joui comme si une tornade me rentrait dans le derch? !"
À ce moment, je n?éprouvais plus la moindre sympathie pour le sergent ED. Il m'avait dépucelé et je restai assis dans mon coin, écoutant les autres crier mon surnom nouvellement acquis : ThéoStorm.
Je venais de pénétré réellement dans mon enfer. Un enfer physique et mental, compliqué, morbide, angoissant et brulant. Les bridés ne sont rien comparé au sergent. Cet italien d'origine ne sera plus jamais sauvé par mon calibre que je sais manier mieux que quiconque. Je me bats pour moi même, pour sauver ce qui peut encore l'être. Il me reste encore un honneur, et je ne crains plus le feu.
Le sergent ED s'éloigna, je n'étais plus son protégé. Il avait complètement perdu les pédales. Je n'entendais plus sa bouche claquer c'était insupportable ! Je n'éprouvais pas le même désir que Ted à ce moment là, seulement l?envie de voir mon flingue toucher sa tempe et sentir son délicieux sang couler sur mon visage : une envie meurtrière ! Mais je l'écoutais toujours, le son de sa voix résonnait à travers l'abri, et bientôt il allait se mettre à nous conter une nouvelle poésie, écrite sur des feuilles tachées, qui s'envoleront loin de cet enfer, quand la Tornade passera par là...
Commentaires
- Bronks
16/09/2011 à 11:10:19
Merci
Oups, alors là je pensais mettre bien renseigné je me suis trompé bon et bien tant pis
Merci de l'info je ferai attention la prochaine fois ^^ - Magnificent
15/09/2011 à 18:25:48
Magnifique !
Mais le Vietnam en 1959...Entre 1964 et 1973 pour les troupes terrestres