Note de la fic : Non notée
OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!_-_Saison_II
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 51 : Place du biday
Publié le 19/08/2013 à 01:19:41 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre LI)
Il était 18H, l'opération allait commencer vers 1H du matin, et pour pas mentir, j'étais un peu crevé m'voyez ?
Nous décidâmes tous de dormir, même si la nuit avait été longue, fallait quand même prendre des forces. Nous mîmes donc un film (The Girl Next Door, excellent film au passage
) pour nous endormir, j'avais déjà vu le film plusieurs dizaines de fois, donc je regardais pas vraiment, je m'étais surtout occuper de ligoter Edouard, pour prévenir tout risque d'évasion m'voyez
Vers 21H, tout le monde dormait, sauf Xavier et moi, nous nous roulâmes ce qui serait peut-être notre dernier joint. Ca faisait quand même space de se dire ça, s'imaginer, qu'on allait peut-être mourir cette nuit. Faut dire qu'on s'embarquait dans une opération totalement suicidaire, les chances de réussites frôlaient le néant, c'en était carrément pentu vers le négatif, m'voyez ?
Après tout, on était condamnés à cavaler toutes nos vies, alors bon, c'pas comme si on allait passer à côté d'nos vies hein...
Je m'endormis vers 22H30, Xavier dormait déjà depuis une demi heure. Je vérifiai que les réveils étaient bien dormi, puis m'endormis, flippant quand même un peu pour demain (bah ouais, j'allais peut-être mourir quoi, faut pas déconner )... 
---------------------
-Ce gosse est complètement malade, vous vous rendez compte qu'il a tué son père ? Je vois pas pourquoi on nous l'envoie dans un centre de détention pour mineur, cet enfant est complètement fou, faut l'foutre en psychiatrie, pas là !
-Surtout comment il se comporte avec les autres gosses, rien qu'aujourd'hui il a crevé un oeil et manger le nez à deux gros qui voulaient le tabasser, on va pas pouvoir le garder ici, ça fait 4 mois et demi qu'il est là, va falloir lui trouver un véritable hosto, sinon on va bientôt se retrouver avec un cadavre sur les bras, il en a déjà blessé 15 depuis son arrivée ici, il est increvable et complètement taré...
-Monsieur le directeur, il faut faire quelque chose, c'est plus possible.
-... Je vois. Bien. Je vais contacter le Docteur Philibide, directeur de l'hôpital Ste Marie Mamelon-Crépu, il doit sûrement pouvoir nous... dépanner...
-J'espère, il est intenable...
*AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH
*
-Bah tenez, il est encore entrain de faire des siennes, qu'est ce que je vous disais...
-Bon on vous laisse, on va devoir s'en occuper, essayez vraiment de faire quelque chose, s'il vous plaît...
-Hum... je ferai mon possible...
-Au revoir monsieur le directeur.
-Au revoir.
-A plus tard.
-C'est cela, c'est cela...
--------------------------
Onche, je suis fatigué...
D'après le réveil de Paul, il était à peine 00H50. Pas moyen de me lever, j'étais ligoté, ils avaient pas voulus prendre le risque que je retourne à la boulangerie, ils avaient pas du aimer les pains au chocolat...
Plus qu'un quart d'heure à attendre avant que les autres se réveillent. Au fil du temps, je me rendais compte que je savais même pas ce qu'on allait faire, j'avais juste compris qu'il fallait se battre et bruler des gens, alors moi ça me branchait...
Paul m'a dit qu'on allait probablement crever, mais bon, mourir avec Dieu, ça m'était égal, puis bon, ça allait sûrement être drôle...
*DRIIIIIIIING*
Le réveil sonna, Paul, Xavier et Cécile se réveillèrent. J'avais dormi seul, sur le matelas de la soeur de paul, qu'on avait ramené dans sa chambre, Cécile et Xavier avait dormi à deux dans le lit de la mère de Paul. Cécile sortit de son lit, et alluma la lumière, elle était complètement à poil...
J'en profitai pour matter un peu, la regardant enfiler sa culotte, son t-shirt et des collants, pour l'occasion...
-ONCHE ONCHE KOM TU MEXIT
-... Je sais
-...
-...
))">
Quelle salope...
Enfin, elle était à Xavier, fallait pas rêver...
-Bon les mecs, et la fille, vous êtes prêts ?
-Ouaip
-Prête
-Onche
-Equipez vous, et assurez vous de ne rien oublier, on est pas sûr de revenir ici.
La nuit va être longue...
-Oh yeah
-J'espère
-Owii owii
-
Nous prîmes donc tout le nécessaire pour la nuit et sortîmes de chez moi. Ca faisait bizarre de se dire une nouvelle fois qu'on quittait sa maison pour ne probablement jamais y revenir...
La première fois, j'étais parti assez vite, et j'avais pas trop eu le temps d'y penser, mais là... Enfin, pas trop l'temps d'me lamenter, on avait un massacre à faire
Nous arrivâmes en bas de la rue où la vieille R5 était garée, montant dedans et nous mettant en route, direction la place du biday
Nous arrivâmes assez vite, aux alentours de 1H20, nous garant à proximité. La maison était assez immense, et le portail était gardé par une sorte de mastodonte en costard m'voyez
Pas de secret, pour entrer, faut tuer l'gardien, ça date pas d'hier. Nous avançâmes donc discrètement, accroupis, nous cachant derrière les voitures. Je dégainai un couteau, le lançai en direction du gardien qui se le prit en plein dans le coeur, titubant en arrière vers le mur derrière lui, et glissa jusqu'au sol comme une merde, crachant du sang. Quel tireur
Nous nous approchâmes, je récupérai mon couteau, ainsi que ses clés, sa matraque, et son 9mm. Je filai la matraque à Xavier et gardai le 9mm, ouvrant le portail. La route jusqu'à la maison était plutôt longue, une grande ligne droite, on aurait dit une piste de karting pour gamin de 7 ans m'voyez
Yavait environ 100mètres, elle amenait directement devant la porte de la maison, je la regardais quand soudain, idée de PGM
-Planquez vous, je reviens
Sans même leur laisser le temps de répondre, je filai en direction de la voiture, la démarrant, et roulant jusqu'aux portail.
-Commencez à avancer en vous planquant sur le côté, j'arrive de suite
-Paul, qu'est ce que tu...
J'accélérai à fond, faisant gronder le moteur, puis je démarrai en trombe comme dans les films d'action, renversant de l'huile sur les sièges et le sol de la voiture, grattant une dizaine d'allumette que je disposais en haut du siège passager, qui commença à prendre feu. A environ 20 mètres de la maison, j'ouvrai la portière et sautai de la voiture, dans l'herbe qui bordait la route. La voiture continua a filé comme une fusée, fracassant la porte d'entrée, pénétrant dans la maison, et explosant littéralement une fois à l'intérieur, faisant un bordel énorme et explosant plusieurs vitres qui volèrent en éclat vers l'extérieur.
-OMAGAD KOM C TRO D444444RRRRRRKKKK
-Putain mec, t'es complètement fou
-Je suis d'accord
-OSEBLA, profitons en pour faire le tour avant que la cavalerie n'arrive
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-Fol...
-Bon taggle
-D'accord
-... Vous êtes complètement tarés...
-Je suis d'accord
-J'en conviens
A peine arrivé, on avait déjà foutu un bordel pas possible, cette opération commençait vraiment bien
Chapitre LI)
Il était 18H, l'opération allait commencer vers 1H du matin, et pour pas mentir, j'étais un peu crevé m'voyez ?
Nous décidâmes tous de dormir, même si la nuit avait été longue, fallait quand même prendre des forces. Nous mîmes donc un film (The Girl Next Door, excellent film au passage
) pour nous endormir, j'avais déjà vu le film plusieurs dizaines de fois, donc je regardais pas vraiment, je m'étais surtout occuper de ligoter Edouard, pour prévenir tout risque d'évasion m'voyez Vers 21H, tout le monde dormait, sauf Xavier et moi, nous nous roulâmes ce qui serait peut-être notre dernier joint. Ca faisait quand même space de se dire ça, s'imaginer, qu'on allait peut-être mourir cette nuit. Faut dire qu'on s'embarquait dans une opération totalement suicidaire, les chances de réussites frôlaient le néant, c'en était carrément pentu vers le négatif, m'voyez ?
Après tout, on était condamnés à cavaler toutes nos vies, alors bon, c'pas comme si on allait passer à côté d'nos vies hein...
Je m'endormis vers 22H30, Xavier dormait déjà depuis une demi heure. Je vérifiai que les réveils étaient bien dormi, puis m'endormis, flippant quand même un peu pour demain (bah ouais, j'allais peut-être mourir quoi, faut pas déconner
)... ---------------------
-Ce gosse est complètement malade, vous vous rendez compte qu'il a tué son père ? Je vois pas pourquoi on nous l'envoie dans un centre de détention pour mineur, cet enfant est complètement fou, faut l'foutre en psychiatrie, pas là !
-Surtout comment il se comporte avec les autres gosses, rien qu'aujourd'hui il a crevé un oeil et manger le nez à deux gros qui voulaient le tabasser, on va pas pouvoir le garder ici, ça fait 4 mois et demi qu'il est là, va falloir lui trouver un véritable hosto, sinon on va bientôt se retrouver avec un cadavre sur les bras, il en a déjà blessé 15 depuis son arrivée ici, il est increvable et complètement taré...
-Monsieur le directeur, il faut faire quelque chose, c'est plus possible.
-... Je vois. Bien. Je vais contacter le Docteur Philibide, directeur de l'hôpital Ste Marie Mamelon-Crépu, il doit sûrement pouvoir nous... dépanner...
-J'espère, il est intenable...
*AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHH
*-Bah tenez, il est encore entrain de faire des siennes, qu'est ce que je vous disais...
-Bon on vous laisse, on va devoir s'en occuper, essayez vraiment de faire quelque chose, s'il vous plaît...
-Hum... je ferai mon possible...
-Au revoir monsieur le directeur.
-Au revoir.
-A plus tard.
-C'est cela, c'est cela...
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Onche, je suis fatigué...
D'après le réveil de Paul, il était à peine 00H50. Pas moyen de me lever, j'étais ligoté, ils avaient pas voulus prendre le risque que je retourne à la boulangerie, ils avaient pas du aimer les pains au chocolat...
Plus qu'un quart d'heure à attendre avant que les autres se réveillent. Au fil du temps, je me rendais compte que je savais même pas ce qu'on allait faire, j'avais juste compris qu'il fallait se battre et bruler des gens, alors moi ça me branchait...
Paul m'a dit qu'on allait probablement crever, mais bon, mourir avec Dieu, ça m'était égal, puis bon, ça allait sûrement être drôle...
*DRIIIIIIIING*
Le réveil sonna, Paul, Xavier et Cécile se réveillèrent. J'avais dormi seul, sur le matelas de la soeur de paul, qu'on avait ramené dans sa chambre, Cécile et Xavier avait dormi à deux dans le lit de la mère de Paul. Cécile sortit de son lit, et alluma la lumière, elle était complètement à poil...
J'en profitai pour matter un peu, la regardant enfiler sa culotte, son t-shirt et des collants, pour l'occasion...
-ONCHE ONCHE KOM TU MEXIT
-... Je sais
-...
-...
))"> Quelle salope...
Enfin, elle était à Xavier, fallait pas rêver...
-Bon les mecs, et la fille, vous êtes prêts ?
-Ouaip
-Prête
-Onche
-Equipez vous, et assurez vous de ne rien oublier, on est pas sûr de revenir ici.
La nuit va être longue...
-Oh yeah
-J'espère
-Owii owii
-
Nous prîmes donc tout le nécessaire pour la nuit et sortîmes de chez moi. Ca faisait bizarre de se dire une nouvelle fois qu'on quittait sa maison pour ne probablement jamais y revenir...
La première fois, j'étais parti assez vite, et j'avais pas trop eu le temps d'y penser, mais là... Enfin, pas trop l'temps d'me lamenter, on avait un massacre à faire
Nous arrivâmes en bas de la rue où la vieille R5 était garée, montant dedans et nous mettant en route, direction la place du biday
Nous arrivâmes assez vite, aux alentours de 1H20, nous garant à proximité. La maison était assez immense, et le portail était gardé par une sorte de mastodonte en costard m'voyez
Pas de secret, pour entrer, faut tuer l'gardien, ça date pas d'hier. Nous avançâmes donc discrètement, accroupis, nous cachant derrière les voitures. Je dégainai un couteau, le lançai en direction du gardien qui se le prit en plein dans le coeur, titubant en arrière vers le mur derrière lui, et glissa jusqu'au sol comme une merde, crachant du sang. Quel tireur
Nous nous approchâmes, je récupérai mon couteau, ainsi que ses clés, sa matraque, et son 9mm. Je filai la matraque à Xavier et gardai le 9mm, ouvrant le portail. La route jusqu'à la maison était plutôt longue, une grande ligne droite, on aurait dit une piste de karting pour gamin de 7 ans m'voyez
Yavait environ 100mètres, elle amenait directement devant la porte de la maison, je la regardais quand soudain, idée de PGM
-Planquez vous, je reviens
Sans même leur laisser le temps de répondre, je filai en direction de la voiture, la démarrant, et roulant jusqu'aux portail.
-Commencez à avancer en vous planquant sur le côté, j'arrive de suite
-Paul, qu'est ce que tu...
J'accélérai à fond, faisant gronder le moteur, puis je démarrai en trombe comme dans les films d'action, renversant de l'huile sur les sièges et le sol de la voiture, grattant une dizaine d'allumette que je disposais en haut du siège passager, qui commença à prendre feu. A environ 20 mètres de la maison, j'ouvrai la portière et sautai de la voiture, dans l'herbe qui bordait la route. La voiture continua a filé comme une fusée, fracassant la porte d'entrée, pénétrant dans la maison, et explosant littéralement une fois à l'intérieur, faisant un bordel énorme et explosant plusieurs vitres qui volèrent en éclat vers l'extérieur.
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A peine arrivé, on avait déjà foutu un bordel pas possible, cette opération commençait vraiment bien