Note de la fic : Non notée
OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!_-_Saison_II
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 47 : La loi, c'est moi
Publié le 19/08/2013 à 01:19:41 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre XLVII)
Je me réveillai, j'étais sur un lit d'hôpital, un bras menotté à mon lit. Il faisait nuit. J'avais du passer l'après-midi à dormir. Je me redressai, soulevai ma blouse et vis les cicatrices des deux balles que je m'étais prise dans le ventre tout à l'heure. Ca faisait quand même assez mal de se faire tirer dessus. Alors que je réalisais le merdier dans lequel je m'étais foutue, on ouvrit la porte. C'était le type craignos qui m'avait flingué dans l'aprem.
-Je vois que tu es réveillée, Abdenassad Layla.
-...
-Bon bon bon, voyons voir, tu veux que je te résume la liste de tes conneries peut-être ?
-...
-Je prends ça pour un oui silencieux. Alors, tu es née en Iran, d'un père iranais et d'une mère française, tu y as passé 5 ans avant de venir t'installer à Dunkerque avec tes parents. Tu as mystérieusement disparue pendant 4 ans, jusqu'à hier où tu as été aperçue, tournant dans les rues de Dunkerque où, apparemment, tu as buté ton père, puis la suite dans Paris, tu la connais.
-Si c'était pour me dire ça, le début j'le connais aussi...
-Joue pas à la plus maligne avec moi, pigé ?
-...
-Tu vois, ces 2 p'tits meurtres, j'en ai un peu rien à foutre, moi ce qui m'intéresse, c'est la voiture dans laquelle tu roulais. Tu peux m'expliquer où tu l'as eue ?
-...
-Ecoute, je vais t'expliquer la situation. Cette voiture a été utilisée par 4 malades mentaux qui se sont enfuis d'un hôpital psychiatrique, elle appartenait au directeur de l'établissement, établissement qu'ils ont fait sauter. Ils sont en cavale depuis 2 jours et se sont barrés avec CETTE voiture, alors j'aimerais comprendre comment tu l'as eue. Si ça peut t'aider, voilà leurs photos.
Je fixai les 4 photos que le commissaire venait de me donner ; c'était bien eux, les idiots paumés en forêt.
-...Je les ai vu, hier.
-Ah oui ? Vraiment ?
-Oui, dans une forêt, le long d'une route de campagne. Ils étaient perdus dans la forêt, je suis reparti en voiture avec l'un d'entre eux.
-Mais encore ?
-J'en ai laissé 3 inconscients dans la forêt hier, et le 4ème, je l'ai abandonné hier soir dans Dunkerque, c'est le gros blond.
-Parfait, parfait...
Tu peux me dire où se situe cette forêt ?
-Chépas, je sais juste qu'en continuant vers le Nord, on est passé devant un village, Falusdefair je crois. J'en sais pas plus.
-Oui, c'est déjà pas mal, merci.
-Et j'y gagne quoi à avoir témoigner ?
- Rien.
-Comment ça rien ?
-Tu t'attendais à quoi, une médaille en chocolat ? En témoignant, ça te permet juste de pas être arrêter pour entrave à la justice et que je ne te colle pas comme complice de l'explosion de leur hôpital et de leur fuite, alors tu peux t'estimer heureuse.
-Vous pouvez pas faire ça, ya des lois !
-Les lois ? La loi ici, c'est moi, tu piges... ?
-...
-Faut pas rêver, on est pas dans une série américaine, t'auras que dalle. Aller bonne nuit petite
-Espèce d'enculé...
-Pardon ?
Le commissaire fit volte-face d'un seul coup, et se rapprocha de moi.
-Répète un peu ?
-Enculé.
-J'ai pas bien entendu.
-Enculé !!
-Ose le répéter encore une fois ?
-ENCULEEE !!! (">
*SBAF*
Il me décolla une baffe énorme en plein dans la joue.
-Tu fais la maligne hein ? T'as pas écouté c'que j't'ai dit ? La loi, c'est moi, tu piges ? (">
-Fils de pute...
-Tu continues ? (">
Pas grave, je vais pas continuer à te frapper, ça serait pas drôle.
-Que..
Il me braqua un flingue sur la tempe, sans hésiter.
-On l'entend moins ta grande gueule hein, pétasse !
-...
Ce connard sorti en claquant la porte, il était complètement fou. Si les 4 branleurs se faisaient retrouver, ils avaient aucune chance de s'en sortir... Enfin, j'm'en foutais un peu, savoir ce qui leur était arrivé était le cadet de mes soucis...
-
Quelle conne...
Je marchais dans les couloirs, j'étais pas venus interroger quelqu'un à l'hôpital moi même depuis ce p'tit merdeux d'Allender. Je descendais les escaliers quand je croisai une personne que je n'avais pas vu depuis un moment.
-Docteur Ferrarpasser...
-Commissaire Tartopaume...
L'atmosphère était glacial, ce vieux con avait pas intérêt à jouer au plus fin avec moi s'il tenait à sa vie.
-Que nous vaut le plaisir de votre visite ?
-J'étais juste venu interroger quelqu'un, je m'éternise pas ici, vous inquiétez pas...
-Oh, interroger, un suspect, vous ?
Allender serait de retour dans l'hôpital ?
-Fermez la vot' grande gueule.
La prochaine fois qu'Allender passera ici, ça sera avec 4 balles dans le crâne que je lui y aurai moi même loger vous entendez ? (">
-Si vous l'dîtes...
-Bon, moi j'ai du boulot, j'me tire, bonjour chez vous
-C'est ça...
Quel emmerdeur celui là, pour qui il se prend ? (">
-
Toujours aussi nerveux celui là... S'il savait qu'Allender était passé ici il y a à peine 20H...
-
Nous avions roulé pendant je ne sais combien de temps, comme si un sac sur la tête, des menottes et un bâillon m'avait fait perdre toute notion du temps... Enfin, je pensais qu'on n'avait pas du rouler plus d'une heure... Soudain, je sentis qu'on ralentissait, la voiture tourna, se gara, et s'arrêta.
-On est arrivé p'tit branleur, j'peux te dire que tu vas regretter d'avoir voulu jouer ton malin... :sourois:
-Et pas qu'un peu, le boss plaisante pas avec ce genre de chose
Ils ouvrirent ma portière, et me descendirent de voiture, sans pour autant m'enlever le sac que j'avais sur la tête. Nous marchâmes pendant 10 bonnes minutes, je ne voyais rien, j'entendais des portes s'ouvrir, nous étions rentrés dans une maison, nous descendions des escaliers, plein d'escaliers, traversions 2 ou 3 couloirs, jusqu'au moment où nous nous arrêtâmes et qu'on ouvrit une énième porte. On m'enleva mes menottes, mon bâillon et mon sac, puis on me balança à l'intérieur dans chassé dans le dos, me faisant me ramasser sur le sol en pierre de la pièce.
C'était apparemment une sorte de cellule, et je n'étais pas seul dans la pièce. Nous étions une bonne quinzaine, 5 gitans, 1 personne venant des pays de l'est (comme moi), 4 latinos, 1 français, et 3 arabes.
L'un des latinos, environ la vingtaine, m'adressa la parole.
-Yo.
-S..Salut.
-Alors, t'es ici pour quoi toi ?
-Ouais raconte ! (repris un gitan)
-Aller balance ! (repris un arabe)
-..Bah je m'étais caché dans une caisse de sel pour l'Angleterre sur le port de Dunkerque et...
-Du seul !!
La salle éclata littéralement de rire, se foutant tous de moi.
-Oui... du sel...
-Si t'es ici, c'est que c'était pas du sel p'tit gars, à Dunkerque, on charge de la coc pour l'Angleterre, le sel ils en ont assez t'inquiètes pas
-Euh.. c'est quoi d'la coc ?
-... Ah ok. Tu débarques d'Antarctique toi ?
-Euh...
-On s'en fout, retiens juste que c'est une poudre blanche, et que ça vaut très cher.
-Ah ok...
-Au fait, c'quoi ton nom ?
-Nikolaï... Et vous.
-Okok. Alors eux là bas, c'est les tanj.
-On t'emmerde Nes !
-Je sais . Alors, de gauche à droite, Johan, Santana, Enzo, Shanoé et Chayanna.
-Salut
-Yo (lança Santana)
-Lu. (repris Enzo)
-Salut (répondit Shanoé)
-Hey (dit Chayanna)
Ils m'avaient tous répondus, sauf un seul, c'était le plus vieux, Johan. Ca semblait un peu être le leader de leur clan..;
-Après t'as les rebeus, Khaled, Mounir et Sofiane.
-Salut
-Wesh !
Les 3 avaient répondus la même chose en choeur, c'était des triplés...
-Ensuite, c'est Klavdia, la polak, elle se sentira moins seule avec toi
-Salut
-Bonjour
-On continue avec le français, (parce qu'il en faut bien un ), Freddy
-Salut
-...tations...
-...
-...
-Non Freddy, toujours pas... (lança Klavdia)
-Je pensais que cette blague la serait drôle...
-Nan, c'est pourrave, comme toutes les autres... (continua Klavdia)
-Tant pis...
-Ouais euh bref, pour finir, v'la Fernando, Béatriz et Filipe.
-Salut
-Hola (répondit Béatriz)
-Salut (lança Fernando)
-Buenos Dias (termina Filipe)
-Bon maintenant que les présentations sont faites, on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Nikolaï c'est ça ? Je n'te cache pas que tu arrives vraiment au bon moment, on s'évade dans pas longtemps.
Au fait, moi c'est Ernesto, mais tu peux m'appeler Nes
Chapitre XLVII)
Je me réveillai, j'étais sur un lit d'hôpital, un bras menotté à mon lit. Il faisait nuit. J'avais du passer l'après-midi à dormir. Je me redressai, soulevai ma blouse et vis les cicatrices des deux balles que je m'étais prise dans le ventre tout à l'heure. Ca faisait quand même assez mal de se faire tirer dessus. Alors que je réalisais le merdier dans lequel je m'étais foutue, on ouvrit la porte. C'était le type craignos qui m'avait flingué dans l'aprem.
-Je vois que tu es réveillée, Abdenassad Layla.
-...
-Bon bon bon, voyons voir, tu veux que je te résume la liste de tes conneries peut-être ?
-...
-Je prends ça pour un oui silencieux. Alors, tu es née en Iran, d'un père iranais et d'une mère française, tu y as passé 5 ans avant de venir t'installer à Dunkerque avec tes parents. Tu as mystérieusement disparue pendant 4 ans, jusqu'à hier où tu as été aperçue, tournant dans les rues de Dunkerque où, apparemment, tu as buté ton père, puis la suite dans Paris, tu la connais.
-Si c'était pour me dire ça, le début j'le connais aussi...
-Joue pas à la plus maligne avec moi, pigé ?
-...
-Tu vois, ces 2 p'tits meurtres, j'en ai un peu rien à foutre, moi ce qui m'intéresse, c'est la voiture dans laquelle tu roulais. Tu peux m'expliquer où tu l'as eue ?
-...
-Ecoute, je vais t'expliquer la situation. Cette voiture a été utilisée par 4 malades mentaux qui se sont enfuis d'un hôpital psychiatrique, elle appartenait au directeur de l'établissement, établissement qu'ils ont fait sauter. Ils sont en cavale depuis 2 jours et se sont barrés avec CETTE voiture, alors j'aimerais comprendre comment tu l'as eue. Si ça peut t'aider, voilà leurs photos.
Je fixai les 4 photos que le commissaire venait de me donner ; c'était bien eux, les idiots paumés en forêt.
-...Je les ai vu, hier.
-Ah oui ? Vraiment ?
-Oui, dans une forêt, le long d'une route de campagne. Ils étaient perdus dans la forêt, je suis reparti en voiture avec l'un d'entre eux.
-Mais encore ?
-J'en ai laissé 3 inconscients dans la forêt hier, et le 4ème, je l'ai abandonné hier soir dans Dunkerque, c'est le gros blond.
-Parfait, parfait...
Tu peux me dire où se situe cette forêt ?
-Chépas, je sais juste qu'en continuant vers le Nord, on est passé devant un village, Falusdefair je crois. J'en sais pas plus.
-Oui, c'est déjà pas mal, merci.
-Et j'y gagne quoi à avoir témoigner ?
- Rien.
-Comment ça rien ?
-Tu t'attendais à quoi, une médaille en chocolat ? En témoignant, ça te permet juste de pas être arrêter pour entrave à la justice et que je ne te colle pas comme complice de l'explosion de leur hôpital et de leur fuite, alors tu peux t'estimer heureuse.
-Vous pouvez pas faire ça, ya des lois !
-Les lois ? La loi ici, c'est moi, tu piges... ?
-...
-Faut pas rêver, on est pas dans une série américaine, t'auras que dalle. Aller bonne nuit petite
-Espèce d'enculé...
-Pardon ?
Le commissaire fit volte-face d'un seul coup, et se rapprocha de moi.
-Répète un peu ?
-Enculé.
-J'ai pas bien entendu.
-Enculé !!
-Ose le répéter encore une fois ?
-ENCULEEE !!! (">
*SBAF*
Il me décolla une baffe énorme en plein dans la joue.
-Tu fais la maligne hein ? T'as pas écouté c'que j't'ai dit ? La loi, c'est moi, tu piges ? (">
-Fils de pute...
-Tu continues ? (">
Pas grave, je vais pas continuer à te frapper, ça serait pas drôle.
-Que..
Il me braqua un flingue sur la tempe, sans hésiter.
-On l'entend moins ta grande gueule hein, pétasse !
-...
Ce connard sorti en claquant la porte, il était complètement fou. Si les 4 branleurs se faisaient retrouver, ils avaient aucune chance de s'en sortir... Enfin, j'm'en foutais un peu, savoir ce qui leur était arrivé était le cadet de mes soucis...
-
Quelle conne...
Je marchais dans les couloirs, j'étais pas venus interroger quelqu'un à l'hôpital moi même depuis ce p'tit merdeux d'Allender. Je descendais les escaliers quand je croisai une personne que je n'avais pas vu depuis un moment.
-Docteur Ferrarpasser...
-Commissaire Tartopaume...
L'atmosphère était glacial, ce vieux con avait pas intérêt à jouer au plus fin avec moi s'il tenait à sa vie.
-Que nous vaut le plaisir de votre visite ?
-J'étais juste venu interroger quelqu'un, je m'éternise pas ici, vous inquiétez pas...
-Oh, interroger, un suspect, vous ?
Allender serait de retour dans l'hôpital ?
-Fermez la vot' grande gueule.
La prochaine fois qu'Allender passera ici, ça sera avec 4 balles dans le crâne que je lui y aurai moi même loger vous entendez ? (">
-Si vous l'dîtes...
-Bon, moi j'ai du boulot, j'me tire, bonjour chez vous
-C'est ça...
Quel emmerdeur celui là, pour qui il se prend ? (">
-
Toujours aussi nerveux celui là... S'il savait qu'Allender était passé ici il y a à peine 20H...
-
Nous avions roulé pendant je ne sais combien de temps, comme si un sac sur la tête, des menottes et un bâillon m'avait fait perdre toute notion du temps... Enfin, je pensais qu'on n'avait pas du rouler plus d'une heure... Soudain, je sentis qu'on ralentissait, la voiture tourna, se gara, et s'arrêta.
-On est arrivé p'tit branleur, j'peux te dire que tu vas regretter d'avoir voulu jouer ton malin... :sourois:
-Et pas qu'un peu, le boss plaisante pas avec ce genre de chose
Ils ouvrirent ma portière, et me descendirent de voiture, sans pour autant m'enlever le sac que j'avais sur la tête. Nous marchâmes pendant 10 bonnes minutes, je ne voyais rien, j'entendais des portes s'ouvrir, nous étions rentrés dans une maison, nous descendions des escaliers, plein d'escaliers, traversions 2 ou 3 couloirs, jusqu'au moment où nous nous arrêtâmes et qu'on ouvrit une énième porte. On m'enleva mes menottes, mon bâillon et mon sac, puis on me balança à l'intérieur dans chassé dans le dos, me faisant me ramasser sur le sol en pierre de la pièce.
C'était apparemment une sorte de cellule, et je n'étais pas seul dans la pièce. Nous étions une bonne quinzaine, 5 gitans, 1 personne venant des pays de l'est (comme moi), 4 latinos, 1 français, et 3 arabes.
L'un des latinos, environ la vingtaine, m'adressa la parole.
-Yo.
-S..Salut.
-Alors, t'es ici pour quoi toi ?
-Ouais raconte ! (repris un gitan)
-Aller balance ! (repris un arabe)
-..Bah je m'étais caché dans une caisse de sel pour l'Angleterre sur le port de Dunkerque et...
-Du seul !!
La salle éclata littéralement de rire, se foutant tous de moi.
-Oui... du sel...
-Si t'es ici, c'est que c'était pas du sel p'tit gars, à Dunkerque, on charge de la coc pour l'Angleterre, le sel ils en ont assez t'inquiètes pas
-Euh.. c'est quoi d'la coc ?
-... Ah ok. Tu débarques d'Antarctique toi ?
-Euh...
-On s'en fout, retiens juste que c'est une poudre blanche, et que ça vaut très cher.
-Ah ok...
-Au fait, c'quoi ton nom ?
-Nikolaï... Et vous.
-Okok. Alors eux là bas, c'est les tanj.
-On t'emmerde Nes !
-Je sais . Alors, de gauche à droite, Johan, Santana, Enzo, Shanoé et Chayanna.
-Salut
-Yo (lança Santana)
-Lu. (repris Enzo)
-Salut (répondit Shanoé)
-Hey (dit Chayanna)
Ils m'avaient tous répondus, sauf un seul, c'était le plus vieux, Johan. Ca semblait un peu être le leader de leur clan..;
-Après t'as les rebeus, Khaled, Mounir et Sofiane.
-Salut
-Wesh !
Les 3 avaient répondus la même chose en choeur, c'était des triplés...
-Ensuite, c'est Klavdia, la polak, elle se sentira moins seule avec toi
-Salut
-Bonjour
-On continue avec le français, (parce qu'il en faut bien un ), Freddy
-Salut
-...tations...
-...
-...
-Non Freddy, toujours pas... (lança Klavdia)
-Je pensais que cette blague la serait drôle...
-Nan, c'est pourrave, comme toutes les autres... (continua Klavdia)
-Tant pis...
-Ouais euh bref, pour finir, v'la Fernando, Béatriz et Filipe.
-Salut
-Hola (répondit Béatriz)
-Salut (lança Fernando)
-Buenos Dias (termina Filipe)
-Bon maintenant que les présentations sont faites, on va pouvoir passer aux choses sérieuses. Nikolaï c'est ça ? Je n'te cache pas que tu arrives vraiment au bon moment, on s'évade dans pas longtemps.
Au fait, moi c'est Ernesto, mais tu peux m'appeler Nes