Note de la fic : Non notée
OMG_J__ai_tue_ma_grand-mere_!!!_-_Saison_II
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 55 : Stade 3
Publié le 19/08/2013 à 01:19:41 par Pseudo supprimé
OMG J'ai tué ma grand-mère !!!
Chapitre LV)
Ca devenait insupportable à voir. Kovalsky torturait Xavier des pires façons imaginables. Il avait des brulures, des bleus et saignait de partout, même pour moi c'était dur à regarder... Couteau, défibrillateur, batte de baseball ou matraque, tout y passait... Cécile était par terre, elle pleurait toute les larmes de son corps, elle d'habitude si calme et impassible, elle avait craqué, et je la comprenais.
-Bon, on a déjà atteint le Stade 3 depuis un moment non, qu'est ce que t'en dis ?
-... enfoiré...
-Ah oui je sais, je te comprends mon petit, mais bon... Quand on se frotte à moi, se sont des choses qui arrivent, vous vous êtes pas attaqué à la bonne personne, je vends de la drogue aux quatre coins de ce pays, j'en exporte vers l'Angleterre depuis Dunkerque, vers l'Afrique, l'Italie ou l'Espagne par Marseille, j'ai des hommes partout vous comprenez, partout ! Ceci dit, arriver jusqu'ici en vie était une belle prouesse, et vous avez quand même mis un sacré bordel... M'enfin...
Kovalsky se rapprocha du charriot et pris une balle qu'il mit dans le chargeur de son arme.
-Bon.. Auquel de tes membres est ce que tu veux renoncer ?
-
Nous avancions dans les escaliers immenses de la cave, il n'y avait pas grand monde au sous-sol, la majorité des gardes semblaient être à l'étage apparemment. Je suivais Klavdia de prêt, Freddy et Aymeric à côté de moi. C'était très stressant, j'avais du mal à réaliser que dans quelques minutes à peine, je serais à nouveau à libre. Nous arrivâmes à une porte, Nes l'ouvrit avec les clés. Nous continuions à avancer silencieusement, sans faire de bruit, armes en mains. Nous devions nous séparer dans la maison en groupe une fois arrivé au rez-de-chaussé, nous en étions proche. 1H25, Nes ouvrit la porte du RDC, dans lequel nous pénétrâmes, investissant le grand hall d'entrée de la maison, quand une voiture arriva en trombe et fracassa la porte. Elle continua sa course jusqu'au centre du hall où elle explosa tout simplement, sans que personne ne comprenne ce qui avait bien pu se passer.
-------
Je reprenais peu à peu conscience, je saignais de la tête, j'étais brûlé à de multiples endroit, et j'avais la main gauche totalement détruite, ma bombe lacrymogène m'ayant explosé dans la main suite à l'explosion. J'arrivai à me relever, sans trop de problèmes, j'étais dans l'herbe, j'avais atterri dans des buissons du jardin de la maison. J'étais... libre ? Je commençais à avancer, trouvant la maison, voyant une fenêtre explosée, j'avais du passer par celle là... Je passais à l'intérieur, c'était plus simple de ressortir par la porte que de faire le tour du jardin. Le hall était vide, enfin, remplis de cadavres carbonisés et de cendres. Je n'savais pas combien de temps j'étais resté évanoui. Tout ce que je savais, c'est que je devais m'enfuir, et vite...
J'entendais des bribes de conversations, venant d'une salle proche du hall, puis des coups de feu, des hurlements. Un type sorti entra dans la pièce, m'obligeant à me cacher sous le cadavres de mes compagnons. Il repassa, avec un charriot. Comme si c'était le moment de boire...
Je me relevai, profitant du vide de la pièce pour me diriger vers la sortie, je franchis la porte et commençai à descendre la route qui amenait jusqu'au portail, j'allais être libre, une fois de plus. J'avais fait à peine fait 10 mètres, qu'une douzaine de voitures de flics se gara devant le portail, hauts parleurs en main, tandis qu'une voiture avait commencé à remonter la route. Sans perdre de temps, je remontai la route et rentrai dans la maison me jetant au milieu des cadavres.
Qu'est ce que les flics pouvaient bien faire ici ?
*Ici le commissaire Tartopeaum, Kovalsky, Allender et les autres, la maison est cernée, sortez sans faire d'histoire !*
-
*Ici le commissaire Tartopaume, Kovalsky, Allender et les autres, la maison est cernée, sortez sans faire d'histoire !*
-Merde... Il manquait plus que ça...
-..Ah..hahaha..
Xavier ria, Kovalsky devint tout rouge, ça sentait pas bon...
-Ne vous imaginez pas que vous sortirez d'ici vivants... Nikoela, viens... Nikoela ?
Edouard avait disparu, comme à son habitude, sans que personne ne s'en rende compte.
-NIKOELA ? Où est il passé ? (">
-
J'étais allongé parmi les cadavres, la police allait débarquer d'une seconde à l'autre, j'allais finir en prison cette fois, j'étais fini...
-Nikolaï ?
-Nes ?
-T'es pas mort toi non plus à ce que je vois haha... Les flics sont devant la maison comme ça... Viens, on va aller sur le parking, suffit de traverser cette salle.
-Nes att...
Nes avait allumé son zippo et s'était levé d'un bond et avait filé dans la salle d'où venait les coups de feu, armé d'un fusil à pompe et d'une bombe lacrymogène, me jetant un pistolet dans les mains. Après tout... J'avais plus rien à perdre. Je le suivi, fonçant dans l'antichambre de la mort.
-
Kovalsky engueulait ses hommes pour avoir laissé Nikoela/Edouard sortir sans qu'ils ne s'en rendent compte, en descendant 1, 2, 3... il était devenu totalement fou, il buttait ses hommes un par un, et quelque chose me disait que notre tour était proche m'voyez.
Après que le dingue aie abattu son 4ème subalterne, un silence s'installa dans la pièce, silence qui fut rompu lorsque deux types pénétrèrent dans la pièce. L'un d'entre eux gaza la pièce avec une bombe lacrymogène et balança un zippo, provoquant une assez grosse explosion qui tua une bonne quinzaine d'homme posté à l'entrée dans la pièce. Ils commencèrent à tirer partout. L'un était armé d'un fusil à pompe, et l'autre d'un 9mm. Je rampai et me cachai derrière le charriot d'armes, ramassant des matraques, marteaux ou pieds de biches que je jetai sur les hommes de Kovalsky avec les forces qu'il me restait. Les deux malades mentaux furent abattu assez vite, après avoir tué 30 hommes au total. Celui armé d'un fusil à pompe fut criblé de balle dans le bide et le deuxième, quant à lui, était allongé au sol, agonisant comme un porc. Kovalsky l'avait abattu en personne. Il se leva et s'approcha de lui. Il fut frappé d'une stupeur effroyable, comme s'il avait flingué son fils.
-...N...Nikolaï ?
-P..papa ?
....
Pas possible. Qu'est ce que ce tas de graisse foutait là ? Lui qui nous avait abandonné dès notre deuxième jour de cavale. Lui qui nous avait tabassé pour filer avec sa pute. Lui, le fils de l'homme sur le point de tous nous tuer. Lui, étendu dans son sang : flingué par son père.
-... J'ai espéré pendant une brève seconde que tu sois ton frère. Tu m'auras déçu jusqu'au bout.
-Pap...
Ce type venait de butter son propre fils, et arrivait à sortir un truc pareil... Gerbant...
-Bon... Je vais pouvoir m'occuper de vous.
Kovalsky chargea son revolver et le braqua sur le front de Xavier.
-
-Commissaire, les environs sont bouclés, nous attendons vos ordres.
-... Quel est ton nom ?
-Sous-brigadier Morpeug, à vous ordres mon commissaire.
-Viens avec moi.
-Qu'est ce qu...
-La ferme, et suis moi.
Allender et Kovalsky était à l'intérieur, et pas question de les laisser s'entretuer, ils étaient pour moi. Je montai dans une voiture de police avec le gosse, il devait avoir 21 ans. Il aura son heure de gloire comme ça. Il s'assit sur le siège passager, et je démarrais, remontant la route vers la maison, me garant devant la porte. Je descendis de voiture avec le jeune, quand soudain... Il tomba au sol, le crâne fracassé par une brique.
Je n'eus même pas le temps de dégainer mon arme quand soudain...
-
-Onche KOM G BIEN VISE
Je sautai du porche de la maison, matraque en main, fracassant le crâne du second type de la bagnole. Sa tête éclata, je fus éclaboussé de son sang et de sa cervelle.
Je ramassai son arme et les clés de la voiture, m'asseyant sur le siège conducteur
J'avais une mission, et je devais la remplir ; je devais sauver Dieu
Je mis le contact et appuyai sur ce qui semblait être l'accélérateur, je touchai à peine les pédales, et avait du mal à regarder où je roulai en même temps, mais tant pis. Je traversai le hall d'entrée à fond, fracassant la porte du fond rentrant dans la salle d'où j'étais sorti par la fenêtre, commençant à en faire le tour et à écraser les subalternes de grand-père, c'était trop bieeeeeeeen
Les gens sautaient das tous les sens, plongeait partout, les balles traversaient le pare-brise en frôlant ma tête, c'était trop bon..
Une fois fini, j'avais fait un carnage, seul grand-père était toujours vivant, entouré de Dieu, Cécile et Xavier, suspendu au plafond. Même dans les pires moments, il faisait mumuse celui là...
Je sortis de la voiture, braquant grand-père avec mon arme.
-Nikoela !!! Qu'est ce que !!!??? (">
-Onche onche, c'est fini vieux con, lâche ton arme
Grand-père s'était retourné et riait comme un fou, se pétant littéralement de rire, sans que je comprenne trop pourquoi...
-Je vois vraiment pas ce qu'il y a de drôle le vieux
-Je pense juste que tu auras bien joué ton jeu mon petit, allant même jusqu'à rendre cul de jatte ton meilleur ami... Tu es vraiment bien le fils de ton père, mon digne héritier, fils...
-Euuh
Je suis juste ton petit fils, mon père, je l'ai tué de mes mains, noraj
-Non, fils, non... Tu es mon fils, le fils d'Aleksandr Kovalsky, tu es l'héritier de mon empire, tout ce que j'ai acquis. Tu auras tout ce que tu voudras, comme j'ai tout eu, jusqu'à la femme de mon propre fils, allant même jusqu'à lui faire un enfant. Tu obtiendras tout...
-...
T'as baisé maman ?
-Oui...
Edouard avait baissé les bras, choqué par ce qu'il venait d'entendre. Détail qui n'échappa pas à Kovalsky qui lui mis une balle dans le bide, utilisant son Desert Eagle pour un énième meurtre.
-Uuurgh...On..Onche.
Il s'apprêtait à terminer Edouard, quand je lui balançai son charriot dans la hanche d'un coup d'épaule, avec les quelques force qu'il me restait, le faisant tomber avec. Des couteaux tombèrent sur le sol. Cécile rampa vers les couteaux, Kovalsky ramassa son arme, se releva et me braque la tête avec.
-C'est fini, Allender.
Alors qu'il allait m'achever, une lame traversa son torse. Cécile, un couteau entre les dents, s'étaient levée et avait achevé Kovalsky.
Il lâcha son arme, tournant sa tête, nous fixant tous un par un, touchant sa plaie et contemplant sa main, pleine de sang. Puis il s'écroula, sur le dos, gisant dans une mare de sang. Notre mission était accomplie, mais à quel prix ? J'allais sans doute perdre mes jambes, Xavier était sur le point de mourir, torturer par un fou, Cécile avait été tabassée et Edouard s'était ramassé une balle dans le ventre, et pas n'importe laquelle.
La police investit le bâtiment et rentra dans la pièce, nous disant que nous étions en état d'arrestation, et nous portant à plusieurs pour nous amener jusqu'à des ambulances.
Attrapé une fois de plus, c'était bel et bien fini.
-
... Je me demandais ce qu'il pouvait bien se passer en ce moment. Il était 3H. J'étais très curieuse de savoir comment tout ça allait se terminer, le docteur Ferrarpasser était venu dans ma chambre, vers 1H45, alors que je faisais semblant de dormir. J'avais entendu la voix "d'Allender" dans le talkie walkie qui était dans poche, disant qu'ils étaient chez ce Kovalsky. Décidée à leur pourir la vie jusqu'au bout, j'avais demandé à parler au commissaire, disant que j'avais des infos très importantes à lui donner. Ce dingue c'est déplacé au bout milieu de la nuit, dès qu'il a entendu le nom d'Allender... Il m'avait même dit qu'avec cette info, il ferait tout pour que je prenne le minimum possible. J'espérais qu'il avait dit vrai et qu'il tiendrait sa parole....
Chapitre LV)
Ca devenait insupportable à voir. Kovalsky torturait Xavier des pires façons imaginables. Il avait des brulures, des bleus et saignait de partout, même pour moi c'était dur à regarder... Couteau, défibrillateur, batte de baseball ou matraque, tout y passait... Cécile était par terre, elle pleurait toute les larmes de son corps, elle d'habitude si calme et impassible, elle avait craqué, et je la comprenais.
-Bon, on a déjà atteint le Stade 3 depuis un moment non, qu'est ce que t'en dis ?
-... enfoiré...
-Ah oui je sais, je te comprends mon petit, mais bon... Quand on se frotte à moi, se sont des choses qui arrivent, vous vous êtes pas attaqué à la bonne personne, je vends de la drogue aux quatre coins de ce pays, j'en exporte vers l'Angleterre depuis Dunkerque, vers l'Afrique, l'Italie ou l'Espagne par Marseille, j'ai des hommes partout vous comprenez, partout ! Ceci dit, arriver jusqu'ici en vie était une belle prouesse, et vous avez quand même mis un sacré bordel... M'enfin...
Kovalsky se rapprocha du charriot et pris une balle qu'il mit dans le chargeur de son arme.
-Bon.. Auquel de tes membres est ce que tu veux renoncer ?
-
Nous avancions dans les escaliers immenses de la cave, il n'y avait pas grand monde au sous-sol, la majorité des gardes semblaient être à l'étage apparemment. Je suivais Klavdia de prêt, Freddy et Aymeric à côté de moi. C'était très stressant, j'avais du mal à réaliser que dans quelques minutes à peine, je serais à nouveau à libre. Nous arrivâmes à une porte, Nes l'ouvrit avec les clés. Nous continuions à avancer silencieusement, sans faire de bruit, armes en mains. Nous devions nous séparer dans la maison en groupe une fois arrivé au rez-de-chaussé, nous en étions proche. 1H25, Nes ouvrit la porte du RDC, dans lequel nous pénétrâmes, investissant le grand hall d'entrée de la maison, quand une voiture arriva en trombe et fracassa la porte. Elle continua sa course jusqu'au centre du hall où elle explosa tout simplement, sans que personne ne comprenne ce qui avait bien pu se passer.
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Je reprenais peu à peu conscience, je saignais de la tête, j'étais brûlé à de multiples endroit, et j'avais la main gauche totalement détruite, ma bombe lacrymogène m'ayant explosé dans la main suite à l'explosion. J'arrivai à me relever, sans trop de problèmes, j'étais dans l'herbe, j'avais atterri dans des buissons du jardin de la maison. J'étais... libre ? Je commençais à avancer, trouvant la maison, voyant une fenêtre explosée, j'avais du passer par celle là... Je passais à l'intérieur, c'était plus simple de ressortir par la porte que de faire le tour du jardin. Le hall était vide, enfin, remplis de cadavres carbonisés et de cendres. Je n'savais pas combien de temps j'étais resté évanoui. Tout ce que je savais, c'est que je devais m'enfuir, et vite...
J'entendais des bribes de conversations, venant d'une salle proche du hall, puis des coups de feu, des hurlements. Un type sorti entra dans la pièce, m'obligeant à me cacher sous le cadavres de mes compagnons. Il repassa, avec un charriot. Comme si c'était le moment de boire...
Je me relevai, profitant du vide de la pièce pour me diriger vers la sortie, je franchis la porte et commençai à descendre la route qui amenait jusqu'au portail, j'allais être libre, une fois de plus. J'avais fait à peine fait 10 mètres, qu'une douzaine de voitures de flics se gara devant le portail, hauts parleurs en main, tandis qu'une voiture avait commencé à remonter la route. Sans perdre de temps, je remontai la route et rentrai dans la maison me jetant au milieu des cadavres.
Qu'est ce que les flics pouvaient bien faire ici ?
*Ici le commissaire Tartopeaum, Kovalsky, Allender et les autres, la maison est cernée, sortez sans faire d'histoire !*
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*Ici le commissaire Tartopaume, Kovalsky, Allender et les autres, la maison est cernée, sortez sans faire d'histoire !*
-Merde... Il manquait plus que ça...
-..Ah..hahaha..
Xavier ria, Kovalsky devint tout rouge, ça sentait pas bon...
-Ne vous imaginez pas que vous sortirez d'ici vivants... Nikoela, viens... Nikoela ?
Edouard avait disparu, comme à son habitude, sans que personne ne s'en rende compte.
-NIKOELA ? Où est il passé ? (">
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J'étais allongé parmi les cadavres, la police allait débarquer d'une seconde à l'autre, j'allais finir en prison cette fois, j'étais fini...
-Nikolaï ?
-Nes ?
-T'es pas mort toi non plus à ce que je vois haha... Les flics sont devant la maison comme ça... Viens, on va aller sur le parking, suffit de traverser cette salle.
-Nes att...
Nes avait allumé son zippo et s'était levé d'un bond et avait filé dans la salle d'où venait les coups de feu, armé d'un fusil à pompe et d'une bombe lacrymogène, me jetant un pistolet dans les mains. Après tout... J'avais plus rien à perdre. Je le suivi, fonçant dans l'antichambre de la mort.
-
Kovalsky engueulait ses hommes pour avoir laissé Nikoela/Edouard sortir sans qu'ils ne s'en rendent compte, en descendant 1, 2, 3... il était devenu totalement fou, il buttait ses hommes un par un, et quelque chose me disait que notre tour était proche m'voyez.
Après que le dingue aie abattu son 4ème subalterne, un silence s'installa dans la pièce, silence qui fut rompu lorsque deux types pénétrèrent dans la pièce. L'un d'entre eux gaza la pièce avec une bombe lacrymogène et balança un zippo, provoquant une assez grosse explosion qui tua une bonne quinzaine d'homme posté à l'entrée dans la pièce. Ils commencèrent à tirer partout. L'un était armé d'un fusil à pompe, et l'autre d'un 9mm. Je rampai et me cachai derrière le charriot d'armes, ramassant des matraques, marteaux ou pieds de biches que je jetai sur les hommes de Kovalsky avec les forces qu'il me restait. Les deux malades mentaux furent abattu assez vite, après avoir tué 30 hommes au total. Celui armé d'un fusil à pompe fut criblé de balle dans le bide et le deuxième, quant à lui, était allongé au sol, agonisant comme un porc. Kovalsky l'avait abattu en personne. Il se leva et s'approcha de lui. Il fut frappé d'une stupeur effroyable, comme s'il avait flingué son fils.
-...N...Nikolaï ?
-P..papa ?
....
Pas possible. Qu'est ce que ce tas de graisse foutait là ? Lui qui nous avait abandonné dès notre deuxième jour de cavale. Lui qui nous avait tabassé pour filer avec sa pute. Lui, le fils de l'homme sur le point de tous nous tuer. Lui, étendu dans son sang : flingué par son père.
-... J'ai espéré pendant une brève seconde que tu sois ton frère. Tu m'auras déçu jusqu'au bout.
-Pap...
Ce type venait de butter son propre fils, et arrivait à sortir un truc pareil... Gerbant...
-Bon... Je vais pouvoir m'occuper de vous.
Kovalsky chargea son revolver et le braqua sur le front de Xavier.
-
-Commissaire, les environs sont bouclés, nous attendons vos ordres.
-... Quel est ton nom ?
-Sous-brigadier Morpeug, à vous ordres mon commissaire.
-Viens avec moi.
-Qu'est ce qu...
-La ferme, et suis moi.
Allender et Kovalsky était à l'intérieur, et pas question de les laisser s'entretuer, ils étaient pour moi. Je montai dans une voiture de police avec le gosse, il devait avoir 21 ans. Il aura son heure de gloire comme ça. Il s'assit sur le siège passager, et je démarrais, remontant la route vers la maison, me garant devant la porte. Je descendis de voiture avec le jeune, quand soudain... Il tomba au sol, le crâne fracassé par une brique.
Je n'eus même pas le temps de dégainer mon arme quand soudain...
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-Onche KOM G BIEN VISE
Je sautai du porche de la maison, matraque en main, fracassant le crâne du second type de la bagnole. Sa tête éclata, je fus éclaboussé de son sang et de sa cervelle.
Je ramassai son arme et les clés de la voiture, m'asseyant sur le siège conducteur
J'avais une mission, et je devais la remplir ; je devais sauver Dieu
Je mis le contact et appuyai sur ce qui semblait être l'accélérateur, je touchai à peine les pédales, et avait du mal à regarder où je roulai en même temps, mais tant pis. Je traversai le hall d'entrée à fond, fracassant la porte du fond rentrant dans la salle d'où j'étais sorti par la fenêtre, commençant à en faire le tour et à écraser les subalternes de grand-père, c'était trop bieeeeeeeen
Les gens sautaient das tous les sens, plongeait partout, les balles traversaient le pare-brise en frôlant ma tête, c'était trop bon..
Une fois fini, j'avais fait un carnage, seul grand-père était toujours vivant, entouré de Dieu, Cécile et Xavier, suspendu au plafond. Même dans les pires moments, il faisait mumuse celui là...
Je sortis de la voiture, braquant grand-père avec mon arme.
-Nikoela !!! Qu'est ce que !!!??? (">
-Onche onche, c'est fini vieux con, lâche ton arme
Grand-père s'était retourné et riait comme un fou, se pétant littéralement de rire, sans que je comprenne trop pourquoi...
-Je vois vraiment pas ce qu'il y a de drôle le vieux
-Je pense juste que tu auras bien joué ton jeu mon petit, allant même jusqu'à rendre cul de jatte ton meilleur ami... Tu es vraiment bien le fils de ton père, mon digne héritier, fils...
-Euuh
Je suis juste ton petit fils, mon père, je l'ai tué de mes mains, noraj
-Non, fils, non... Tu es mon fils, le fils d'Aleksandr Kovalsky, tu es l'héritier de mon empire, tout ce que j'ai acquis. Tu auras tout ce que tu voudras, comme j'ai tout eu, jusqu'à la femme de mon propre fils, allant même jusqu'à lui faire un enfant. Tu obtiendras tout...
-...
T'as baisé maman ?
-Oui...
Edouard avait baissé les bras, choqué par ce qu'il venait d'entendre. Détail qui n'échappa pas à Kovalsky qui lui mis une balle dans le bide, utilisant son Desert Eagle pour un énième meurtre.
-Uuurgh...On..Onche.
Il s'apprêtait à terminer Edouard, quand je lui balançai son charriot dans la hanche d'un coup d'épaule, avec les quelques force qu'il me restait, le faisant tomber avec. Des couteaux tombèrent sur le sol. Cécile rampa vers les couteaux, Kovalsky ramassa son arme, se releva et me braque la tête avec.
-C'est fini, Allender.
Alors qu'il allait m'achever, une lame traversa son torse. Cécile, un couteau entre les dents, s'étaient levée et avait achevé Kovalsky.
Il lâcha son arme, tournant sa tête, nous fixant tous un par un, touchant sa plaie et contemplant sa main, pleine de sang. Puis il s'écroula, sur le dos, gisant dans une mare de sang. Notre mission était accomplie, mais à quel prix ? J'allais sans doute perdre mes jambes, Xavier était sur le point de mourir, torturer par un fou, Cécile avait été tabassée et Edouard s'était ramassé une balle dans le ventre, et pas n'importe laquelle.
La police investit le bâtiment et rentra dans la pièce, nous disant que nous étions en état d'arrestation, et nous portant à plusieurs pour nous amener jusqu'à des ambulances.
Attrapé une fois de plus, c'était bel et bien fini.
-
... Je me demandais ce qu'il pouvait bien se passer en ce moment. Il était 3H. J'étais très curieuse de savoir comment tout ça allait se terminer, le docteur Ferrarpasser était venu dans ma chambre, vers 1H45, alors que je faisais semblant de dormir. J'avais entendu la voix "d'Allender" dans le talkie walkie qui était dans poche, disant qu'ils étaient chez ce Kovalsky. Décidée à leur pourir la vie jusqu'au bout, j'avais demandé à parler au commissaire, disant que j'avais des infos très importantes à lui donner. Ce dingue c'est déplacé au bout milieu de la nuit, dès qu'il a entendu le nom d'Allender... Il m'avait même dit qu'avec cette info, il ferait tout pour que je prenne le minimum possible. J'espérais qu'il avait dit vrai et qu'il tiendrait sa parole....