Note de la fic : Non notée
Entre_deux_mondes_:_la_quete_d__une_vie
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 1
Publié le 19/08/2013 à 01:11:33 par Pseudo supprimé
Méas...
Petit village paumé en pleine campagne.
Du genre petites maisons très rudimentaires faites de bois , rues en terre sèche, écoulement d'eau creusé à la pelle, et j'en passe des plus pitoyables. C'est sûr qu'on a pas de ça chez nous, quoique si, il y a bien un point de similitude, même dans nos grandes cités on trouve des excréments de clébards à tous les coins de rues. Ça ne me gêne pourtant pas de dire qu'à Méas il y en avait moins, normal, chez les péquenauds on mange n'importe quoi, même du chien quand on a très faim.
D'habitude j'aime pas vraiment ce genre de village, mais pour m'y être arrêté une fois, je peux dire que c'est assez sympa, c'est tranquille et les habitants vous parlent avec tout le respect qui vous est dû.
Faut pas croire que c'est une ville cachée du monde, non pas du tout. Aventuriers, marchands, nomades, brigands, simples voyageurs, toutes sortes de personnes y passent. Je prétends pas non plus à des déplacements de populations, mais il y a bien deux ou trois types qui s'y arrêtent de temps en temps avant d'aller crever dans la montagne. Et comme au passage, ils monnaient quelques pièces pour passer du bon temps en compagnie de jolies donzelles, cela fait d'une pierre deux coups, les voyageurs ont ce qu'ils veulent et le village se repeuple un peu avec les femmes qu'ils engrossent. Je suis certains qu'il y aurait moins de prostituées si les hommes du village n'étaient pas occupés aux champs, aux moulins, aux enclos, à garder la ville ou à picoler pour oublier leurs petits tracas. C'est un peu triste tout de même, mais c'est la dure réalité de la vie chez eux, et cela ne les empêche pas de sourire aux étrangers.
A dire vrai, s'il y a bien une catégorie de personne qui n'a aucune préoccupation, c'est celle des gosses. Chaque jours, ils se réunissent sur la grande place du village pour s'amuser, bataille de boule de neige en hiver, cache-cache et autres jeux vieux comme le monde en été. Dans ce village, cette place est leur terrain de jeu, c'est là qu'ils passent vraiment tout leur temps. C'est cela la belle vie, quand on est trop jeune pour souffrir aux champs ou pour accueillir les voyageurs, on joue, on va pas à l'école, on joue, tout simplement.
Je sais, vous trouvez ça chiant, mais il reste une chose dont je dois vous parler, c'est au sujet du village. Contrairement à ce que vous devez penser, Méas n'est pas faite que d'habitation, il y a aussi quelques coins incontournables pour les voyageurs de passage et les habitants. Prenez l'auberge par exemple, que serait un village sans une auberge ? En plus, la cuisine y a bon goût. Il y a aussi une boutique qui se fait réapprovisionner toutes les deux semaines sauf en hiver, car avec le froid il n'y a pas de récolte.
Je peux aussi parler de la mairie ou du bordel, mais je préfère arrêter de discuter de cela pour en venir directement au plus important. Le pilier du village :
L'église.
Cette saloperie d'église, j'y ai mis les pieds une fois dans ma vie et cela m'a passé l'envie d'être croyant.
Je vous jure, c'est ce jour là, que tout est arrivé.
Petit village paumé en pleine campagne.
Du genre petites maisons très rudimentaires faites de bois , rues en terre sèche, écoulement d'eau creusé à la pelle, et j'en passe des plus pitoyables. C'est sûr qu'on a pas de ça chez nous, quoique si, il y a bien un point de similitude, même dans nos grandes cités on trouve des excréments de clébards à tous les coins de rues. Ça ne me gêne pourtant pas de dire qu'à Méas il y en avait moins, normal, chez les péquenauds on mange n'importe quoi, même du chien quand on a très faim.
D'habitude j'aime pas vraiment ce genre de village, mais pour m'y être arrêté une fois, je peux dire que c'est assez sympa, c'est tranquille et les habitants vous parlent avec tout le respect qui vous est dû.
Faut pas croire que c'est une ville cachée du monde, non pas du tout. Aventuriers, marchands, nomades, brigands, simples voyageurs, toutes sortes de personnes y passent. Je prétends pas non plus à des déplacements de populations, mais il y a bien deux ou trois types qui s'y arrêtent de temps en temps avant d'aller crever dans la montagne. Et comme au passage, ils monnaient quelques pièces pour passer du bon temps en compagnie de jolies donzelles, cela fait d'une pierre deux coups, les voyageurs ont ce qu'ils veulent et le village se repeuple un peu avec les femmes qu'ils engrossent. Je suis certains qu'il y aurait moins de prostituées si les hommes du village n'étaient pas occupés aux champs, aux moulins, aux enclos, à garder la ville ou à picoler pour oublier leurs petits tracas. C'est un peu triste tout de même, mais c'est la dure réalité de la vie chez eux, et cela ne les empêche pas de sourire aux étrangers.
A dire vrai, s'il y a bien une catégorie de personne qui n'a aucune préoccupation, c'est celle des gosses. Chaque jours, ils se réunissent sur la grande place du village pour s'amuser, bataille de boule de neige en hiver, cache-cache et autres jeux vieux comme le monde en été. Dans ce village, cette place est leur terrain de jeu, c'est là qu'ils passent vraiment tout leur temps. C'est cela la belle vie, quand on est trop jeune pour souffrir aux champs ou pour accueillir les voyageurs, on joue, on va pas à l'école, on joue, tout simplement.
Je sais, vous trouvez ça chiant, mais il reste une chose dont je dois vous parler, c'est au sujet du village. Contrairement à ce que vous devez penser, Méas n'est pas faite que d'habitation, il y a aussi quelques coins incontournables pour les voyageurs de passage et les habitants. Prenez l'auberge par exemple, que serait un village sans une auberge ? En plus, la cuisine y a bon goût. Il y a aussi une boutique qui se fait réapprovisionner toutes les deux semaines sauf en hiver, car avec le froid il n'y a pas de récolte.
Je peux aussi parler de la mairie ou du bordel, mais je préfère arrêter de discuter de cela pour en venir directement au plus important. Le pilier du village :
L'église.
Cette saloperie d'église, j'y ai mis les pieds une fois dans ma vie et cela m'a passé l'envie d'être croyant.
Je vous jure, c'est ce jour là, que tout est arrivé.