Note de la fic : Non notée
Braver_l_interdit
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 6 : Une fille diabolique
Publié le 19/08/2013 à 01:11:32 par Pseudo supprimé
Et là j'ai compris que cette fille était diabolique. Même si je n'avais rien fait, elle inventerait quelque odieux pervers attouchement que je lui aurais destiné. Et même si j'avais démenti en prétextant que c'est elle qui était venu, elle qui avait insisté pour que je ne parte pas, elle qui m'avait attrapé la taille, ils ne me croiraient jamais. Ce serait elle qu'ils croirait. Comment penser qu'une jeune fille comme elle, si sensible et si fraîche, pouvait organiser quelque chose comme ça. Non seulement ils ne me croiraient pas, mais je serais vraiment la risée de la famille, considéré comme un détraqué sexuel peut-être même. Elle réfléchissait bien pour une fille de son âge.
"Tu ferais ça ?
- Bien sûr."
J'en doutais tout de même, fallait avoir un sacré courage pour dire quelque chose d'aussi grave à ses parents. Cependant je pouvais pas prendre de risque.
"D'accord je reste, mais tu me veux quoi ?
- Je sais que t'es amoureux de moi. A chaque fois que tu viens, tu me regardes tout le temps. Et dés que je te surprend, tu fais comme si tu me regardais pas."
Je savais qu'elle avait compris que je la regardais souvent. Je m'en doutais en tout cas, ça pouvait pas passer inaperçu. Mais elle pensait que j'étais amoureux d'elle... Elle savait pas ce que c'était l'amour. Je l'observais parce que je lui trouvais un visage charmant. Elle avait vraiment un visage de princesse, et elle le savait. Elle avait déjà compris que grâce à la beauté, à sa beauté, elle pouvait obtenir beaucoup. Mais voyant que je lui résistait, elle avait utilisé son esprit pervers.
Elle lisait en moi. J'étais à sa merci.
Elle s'est soudain retournée, et m'a placé comme elle le fut, adossée contre le mur. Nous avions changé de position, c'était moi maintenant qui était contre le mur. Elle a fait ça doucement, comme toujours, mais en me tenant bien les poignets, comme si elle avait voulu me coincer
"Embrasse-moi." elle m'a ordonné en changeant de tonalité, en passant du ton très rude de son dernier propos à un timbre de voix bien plus sensible, presque agréable.
Je ne l'ai pas vu quand je l'ai embrassé, puisqu'il faisait encore si sombre. Rien qu'en approchant mon visage du sien, j'ai senti sa petite odeur enivrante. Elle sentait comme sentent les femmes que l'on croise parfois dans la rue, n'ayant pu leur jeter qu'un regard, l'on s'aperçoit ensuite seulement, qu'elles rejetaient un parfum agréable, alors on se retourne mais l'adorée n'a pas daigné se retourner ; elle avait cette odeur des femmes de jamais, que l'on rêve secrètement sans jamais pouvoir les connaitre.
Je dois dire que l'idée seulement de l'embrasser me faisait palpiter le coeur de plus vive allure que jamais. Je n'attendais que ça, malgré l'interdiction fixée par la vie ; malgré son ton autoritaire pour lequel j'avais besoin d'être en contradiction afin de ne pas me sentir en position inférieure. Je ne voulais pas me faire dominer, j'étais bien plus âgé qu'elle, c'était qu'une fille, juste une fille. je n'avais pas à me sentir tyrannisé de la sorte. Et pourtant c'est ce qui arrivait.
Toi vouloir une suite?
OSEF je continue quand meme
"Tu ferais ça ?
- Bien sûr."
J'en doutais tout de même, fallait avoir un sacré courage pour dire quelque chose d'aussi grave à ses parents. Cependant je pouvais pas prendre de risque.
"D'accord je reste, mais tu me veux quoi ?
- Je sais que t'es amoureux de moi. A chaque fois que tu viens, tu me regardes tout le temps. Et dés que je te surprend, tu fais comme si tu me regardais pas."
Je savais qu'elle avait compris que je la regardais souvent. Je m'en doutais en tout cas, ça pouvait pas passer inaperçu. Mais elle pensait que j'étais amoureux d'elle... Elle savait pas ce que c'était l'amour. Je l'observais parce que je lui trouvais un visage charmant. Elle avait vraiment un visage de princesse, et elle le savait. Elle avait déjà compris que grâce à la beauté, à sa beauté, elle pouvait obtenir beaucoup. Mais voyant que je lui résistait, elle avait utilisé son esprit pervers.
Elle lisait en moi. J'étais à sa merci.
Elle s'est soudain retournée, et m'a placé comme elle le fut, adossée contre le mur. Nous avions changé de position, c'était moi maintenant qui était contre le mur. Elle a fait ça doucement, comme toujours, mais en me tenant bien les poignets, comme si elle avait voulu me coincer
"Embrasse-moi." elle m'a ordonné en changeant de tonalité, en passant du ton très rude de son dernier propos à un timbre de voix bien plus sensible, presque agréable.
Je ne l'ai pas vu quand je l'ai embrassé, puisqu'il faisait encore si sombre. Rien qu'en approchant mon visage du sien, j'ai senti sa petite odeur enivrante. Elle sentait comme sentent les femmes que l'on croise parfois dans la rue, n'ayant pu leur jeter qu'un regard, l'on s'aperçoit ensuite seulement, qu'elles rejetaient un parfum agréable, alors on se retourne mais l'adorée n'a pas daigné se retourner ; elle avait cette odeur des femmes de jamais, que l'on rêve secrètement sans jamais pouvoir les connaitre.
Je dois dire que l'idée seulement de l'embrasser me faisait palpiter le coeur de plus vive allure que jamais. Je n'attendais que ça, malgré l'interdiction fixée par la vie ; malgré son ton autoritaire pour lequel j'avais besoin d'être en contradiction afin de ne pas me sentir en position inférieure. Je ne voulais pas me faire dominer, j'étais bien plus âgé qu'elle, c'était qu'une fille, juste une fille. je n'avais pas à me sentir tyrannisé de la sorte. Et pourtant c'est ce qui arrivait.
Toi vouloir une suite?
OSEF je continue quand meme