Note de la fic : Non notée
Braver_l_interdit
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 5 : Les choses sérieuses commencent
Publié le 19/08/2013 à 01:11:32 par Pseudo supprimé
Lorsque l'on a entendu ce bruit, nos mains se sont rapprochées l'une de l'autre, nos corps se sont collés, et nous nous sommes adossés au mur. J'étais comme pétrifié, il y'avait forcément quelqu'un dans le couloir.
Pétrifié, je n'ai pas bougé. Elle s'est agitée à ma place pour nous tirer tout deux derrière la porte. Ainsi, si une personne entrait, voyant cette pièce, elle ne nous verrait pas.
Des pas se rapprochèrent, comme le scénario atroce que je n'osais imaginer. Et j'ai pu entendre mon frère appeler la fille blottie contre moi. Cette fois, nous n'avons pas bougé. J'étais bien contre elle. je sentais sa petite poitrine contre mon corps, c'était agréable. Agréable mais interdit.
Ce que je vivais là, si mon frère me voyait, je crois que ma vie de famille serait bonne pour la morgue. J'avais peur, elle semblait s'en foutre totalement, elle ne me serrait pas, contrairement à moi. Même si nous étions dans le noir complet, je sentais encore son regard posé sur moi. Et son corps, contre le mien. C'était on ne peut plus plaisant. j'aimais cette sensation.
Alors il est rentré. Quand je dis il, c'est mon frère. La lumière du couloir a fait sa réapparition, et il est entré. Puisque nous étions blottis dans le coin de la porte, il ne nous a pas vu. Il est entré si brusquement que la porte m'a touché le dos, ce qui m'a fait tenir encore plus fort celle qui était à mes côtés afin de ne pas tomber sur la beauté.
Nous n'avons pas fait de bruit. Et puis il est reparti, voyant que nous n'étions pas là, ou qu'elle n'était pas là. Quelle frayeur.
Alors j'ai pu à nouveau respirer normalement, relâcher la pression qui tenait ses bras, et me calmer.
J'aimais bien finalement avoir cette fille contre moi. Je n'étais finalement même plus pantois, j'étais bien, son corps contre le mien. Mais le temps pressait, il ne nous avait pas vu, il allait faire le tour de la maison, ne pas nous trouver, et se poser des questions. Il appellerait donc les parents, ou bien se recoucherait devant le film. L'une des deux hypothèse était flippante. Alors il fallait partir, revenir devant le film et lâcher cette fille. Il fallait lâcher cette fille si mignonne.
Mais vous vous figurez bien qu'elle ne m'a laissé partir, alors que je comptais le faire. Elle m'a retenu par le bras alors que j'étais en train de m'écarter.
"Tu fais quoi là ? elle m'a demandé.
- Il va revenir... il faut pas, tu comprends pas.. je peux pas, on peut pas".
Cette fois-ci encore, j'avais bredouillé quelques mots pour ne pas devenir immoral, ne pas dépasser les bornes. Je crois pourtant que je les avais déjà dépassé, à lui palper le corps comme je l'avais fais. Le mal était fait, mais je pouvais pas aller plus loin, j'avais fais le choix de ne pas écouter mon les désirs de mon organisme, je voulais rester rationnel. Ce qui peut sembler curieux chez certains, exemplaire pour d'autres.
Elle m'a quand-même emprisonné le bras avec sa main, et m'a dit avec son petit air narquois :
"De toute façon t'as pas le choix.
- Oui j'ai pas le choix, on va revenir dans le salon télé pour pas avoir de problèmes.
- Non t'as pas le choix parce que si tu pars, je dis aux parents ce que tu m'as fait."
Pétrifié, je n'ai pas bougé. Elle s'est agitée à ma place pour nous tirer tout deux derrière la porte. Ainsi, si une personne entrait, voyant cette pièce, elle ne nous verrait pas.
Des pas se rapprochèrent, comme le scénario atroce que je n'osais imaginer. Et j'ai pu entendre mon frère appeler la fille blottie contre moi. Cette fois, nous n'avons pas bougé. J'étais bien contre elle. je sentais sa petite poitrine contre mon corps, c'était agréable. Agréable mais interdit.
Ce que je vivais là, si mon frère me voyait, je crois que ma vie de famille serait bonne pour la morgue. J'avais peur, elle semblait s'en foutre totalement, elle ne me serrait pas, contrairement à moi. Même si nous étions dans le noir complet, je sentais encore son regard posé sur moi. Et son corps, contre le mien. C'était on ne peut plus plaisant. j'aimais cette sensation.
Alors il est rentré. Quand je dis il, c'est mon frère. La lumière du couloir a fait sa réapparition, et il est entré. Puisque nous étions blottis dans le coin de la porte, il ne nous a pas vu. Il est entré si brusquement que la porte m'a touché le dos, ce qui m'a fait tenir encore plus fort celle qui était à mes côtés afin de ne pas tomber sur la beauté.
Nous n'avons pas fait de bruit. Et puis il est reparti, voyant que nous n'étions pas là, ou qu'elle n'était pas là. Quelle frayeur.
Alors j'ai pu à nouveau respirer normalement, relâcher la pression qui tenait ses bras, et me calmer.
J'aimais bien finalement avoir cette fille contre moi. Je n'étais finalement même plus pantois, j'étais bien, son corps contre le mien. Mais le temps pressait, il ne nous avait pas vu, il allait faire le tour de la maison, ne pas nous trouver, et se poser des questions. Il appellerait donc les parents, ou bien se recoucherait devant le film. L'une des deux hypothèse était flippante. Alors il fallait partir, revenir devant le film et lâcher cette fille. Il fallait lâcher cette fille si mignonne.
Mais vous vous figurez bien qu'elle ne m'a laissé partir, alors que je comptais le faire. Elle m'a retenu par le bras alors que j'étais en train de m'écarter.
"Tu fais quoi là ? elle m'a demandé.
- Il va revenir... il faut pas, tu comprends pas.. je peux pas, on peut pas".
Cette fois-ci encore, j'avais bredouillé quelques mots pour ne pas devenir immoral, ne pas dépasser les bornes. Je crois pourtant que je les avais déjà dépassé, à lui palper le corps comme je l'avais fais. Le mal était fait, mais je pouvais pas aller plus loin, j'avais fais le choix de ne pas écouter mon les désirs de mon organisme, je voulais rester rationnel. Ce qui peut sembler curieux chez certains, exemplaire pour d'autres.
Elle m'a quand-même emprisonné le bras avec sa main, et m'a dit avec son petit air narquois :
"De toute façon t'as pas le choix.
- Oui j'ai pas le choix, on va revenir dans le salon télé pour pas avoir de problèmes.
- Non t'as pas le choix parce que si tu pars, je dis aux parents ce que tu m'as fait."