Note de la fic : Non notée
Publié le 19/08/2013 à 01:11:32 par Pseudo supprimé
Elle s'est collée à moi. La main qu'elle avait déposée sur la mienne s'est lentement décalée vers mon cou, d'une façon ô combien délicate. Elle avait sa tête elle aussi qui s'était rapprochée de mon cou, elle était appuyée sur mon épaule. Son autre main me serrait la taille.
J'étais terriblement excité, je désirais cette fille. En même temps j'avais honte. Je crois que je ne tremblais pas mais quand j'y pense, il est bien possible que je me sois mis à trembloter un petit peu, une fille splendide près de moi.
Alors que tout ça s'était fait dans le plus grand des silences, elle a décidé de le rompre en me demandant :
"Ca va ?".
Je n'avais pas vraiment de mot pour répondre à ça. En même temps ça allait mieux que jamais parce qu'une fille aguichante avait ses mains sur moi, et en même temps ça n'allait pas du tout parce que j'étais dans une situation fort gênante. Mon sens moral n'avait pas le droit de me quitter, je n'avais pas le droit de l'embrasser. Pas le droit de l'approcher, pas le droit de la toucher, c'était comme ça.
Puisqu'au bout de quelques secondes je ne répondais pas, ce qui du agacer son tempérament vif, elle m'a serré fort les hanches. Elle l'a fait avec une vitalité impressionnante, ça faisait du bien. Ca fait toujours du bien lorsqu'on est serré très fort par une fille.
Alors j'ai répondu :
"Je sais pas".
Quel idiot je faisais. J'aurais du lui dire que oui, que oui même avec la seule vraie fille que j'avais pourtant aimé longtemps, jamais je n'avais ressenti cette sensation aussi intense non pas de plaisir, mais de désir. Je n'avais jamais autant désiré un être. Pourtant j'étais toujours aussi désemparé par son âge, surtout par l'éthique que la société avait attaché au caractère de l'âge, qui me rendait donc incompétent et immobile devant elle.
J'ai senti ses cheveux sur mon épaule. qui bougeait un peu. Elle n'avait pas encore répondu. Elle laissait faire le temps. Ses cheveux bougeaient, elle me faisait une sorte de câlin étrange mais touchant sur mon épaule avec sa tête. Elle sentait bon, je crois que c'était ses cheveux. Je les ai imaginé, ses longs cheveux blonds ruisselants le long de son dos. Et puis j'ai imaginé sa poitrine qui était serrée contre moi. Sa poitrine mignonne et ses seins voluptueux agrippés à mon torse. J'ai imaginé ses longues jambes et je me suis imaginé les toucher. Je me suis imaginer y prendre du plaisir. Si je l'avais fait, j'aurais pris du plaisir à le faire. Mais je n'ai pas succombé.
Encore une fois elle a cassé le silence. Elle m'a ordonné :
"Tant pis, moi j'ai envie".
Envie de moi. Je l'avais compris. Alors de toutes mes forces j'ai répondu la chose qui me tenait le moins à coeur au monde d'une façon très vive.
"Tu es trop jeune, il faut pas...
- On s'en fout, laisse-moi faire."
Elle m'a embrassé dans le cou avec passion. Des baisers tendres issus d'une bouche tendre, de lèvres tendres, d'une fille tendre. Une fille parfaite qui était folle de moi et qui venait de réveiller en moi une fourmilière de bonheur. Elle m'a couvert de baisers. Pleins de petits touches un peu partout dans le cou. Si je devais comparer ça aujourd'hui, je crois que ce serait la même euphorie que lorsque l'on fait l'amour.
J'étais véritablement bien avec elle, là en ce moment. J'étais vraiment bien et j'aurais tout donné pour que ce moment dure encore plus longtemps. Que ses baisers ne cessent jamais. Que la puissance de l'amour, si c'est bien de l'amour, durerait toujours.
Mais j'ai entendu un bruit. Et elle a entendu un bruit. Un craquement.
PS:C'est la que la fic originale s'arrete,mais moi je vais la continuer,je ne vais quand meme pas laisser vot
J'étais terriblement excité, je désirais cette fille. En même temps j'avais honte. Je crois que je ne tremblais pas mais quand j'y pense, il est bien possible que je me sois mis à trembloter un petit peu, une fille splendide près de moi.
Alors que tout ça s'était fait dans le plus grand des silences, elle a décidé de le rompre en me demandant :
"Ca va ?".
Je n'avais pas vraiment de mot pour répondre à ça. En même temps ça allait mieux que jamais parce qu'une fille aguichante avait ses mains sur moi, et en même temps ça n'allait pas du tout parce que j'étais dans une situation fort gênante. Mon sens moral n'avait pas le droit de me quitter, je n'avais pas le droit de l'embrasser. Pas le droit de l'approcher, pas le droit de la toucher, c'était comme ça.
Puisqu'au bout de quelques secondes je ne répondais pas, ce qui du agacer son tempérament vif, elle m'a serré fort les hanches. Elle l'a fait avec une vitalité impressionnante, ça faisait du bien. Ca fait toujours du bien lorsqu'on est serré très fort par une fille.
Alors j'ai répondu :
"Je sais pas".
Quel idiot je faisais. J'aurais du lui dire que oui, que oui même avec la seule vraie fille que j'avais pourtant aimé longtemps, jamais je n'avais ressenti cette sensation aussi intense non pas de plaisir, mais de désir. Je n'avais jamais autant désiré un être. Pourtant j'étais toujours aussi désemparé par son âge, surtout par l'éthique que la société avait attaché au caractère de l'âge, qui me rendait donc incompétent et immobile devant elle.
J'ai senti ses cheveux sur mon épaule. qui bougeait un peu. Elle n'avait pas encore répondu. Elle laissait faire le temps. Ses cheveux bougeaient, elle me faisait une sorte de câlin étrange mais touchant sur mon épaule avec sa tête. Elle sentait bon, je crois que c'était ses cheveux. Je les ai imaginé, ses longs cheveux blonds ruisselants le long de son dos. Et puis j'ai imaginé sa poitrine qui était serrée contre moi. Sa poitrine mignonne et ses seins voluptueux agrippés à mon torse. J'ai imaginé ses longues jambes et je me suis imaginé les toucher. Je me suis imaginer y prendre du plaisir. Si je l'avais fait, j'aurais pris du plaisir à le faire. Mais je n'ai pas succombé.
Encore une fois elle a cassé le silence. Elle m'a ordonné :
"Tant pis, moi j'ai envie".
Envie de moi. Je l'avais compris. Alors de toutes mes forces j'ai répondu la chose qui me tenait le moins à coeur au monde d'une façon très vive.
"Tu es trop jeune, il faut pas...
- On s'en fout, laisse-moi faire."
Elle m'a embrassé dans le cou avec passion. Des baisers tendres issus d'une bouche tendre, de lèvres tendres, d'une fille tendre. Une fille parfaite qui était folle de moi et qui venait de réveiller en moi une fourmilière de bonheur. Elle m'a couvert de baisers. Pleins de petits touches un peu partout dans le cou. Si je devais comparer ça aujourd'hui, je crois que ce serait la même euphorie que lorsque l'on fait l'amour.
J'étais véritablement bien avec elle, là en ce moment. J'étais vraiment bien et j'aurais tout donné pour que ce moment dure encore plus longtemps. Que ses baisers ne cessent jamais. Que la puissance de l'amour, si c'est bien de l'amour, durerait toujours.
Mais j'ai entendu un bruit. Et elle a entendu un bruit. Un craquement.
PS:C'est la que la fic originale s'arrete,mais moi je vais la continuer,je ne vais quand meme pas laisser vot