Note de la fic : Non notée
Moi_Robin,_16_ans._Dans_la_merde.
Par : Pseudo supprimé
Genre : Inconnu
Statut : C'est compliqué
Chapitre 15 : Une jalousie qui créée des tensions.
Publié le 19/08/2013 à 01:11:21 par Pseudo supprimé
Voilà, Stella, Louis, Nathan et Antoine avaient entendus ce qu'ils voulaient entendre. J'ai entendu ce qui m'a tuée de l'intérieur. "J'ai fait tout ça pour les maintenir en vie avec moi, avec le coup du portail, j'ai.. j'ai fait ça pour nous. Mais quand nous sortirons d'ici, si nous sortons d'ici... Je serais seule. Et je ne mérite pas ça." J'avais complétement perdu la tête, et dans la chambre il y avait un silence religieux. J'étais détruite, je ne savais plus quoi faire, j'avais peur d'être seule, encore, ou de voir ma famille morte pour comprendre une bonne fois pour toute que je ne rêve pas. Mais il fallait faire quelque chose, alors j'ai juste dit : "On va y aller, maintenant." comme je le répète sans arrêt depuis ce matin. Le sourire aux lèvres, ils se préparèrent à descendre. Ils devaient tous penser que ma famille avait été évacuée elle aussi, ils étaient dans leur monde, et j'étais dans le mien : un monde différent du leur.
Je suis descendue la première avec la matraque de Stella pour massacrer les deux choses dans le balcon du dessous. Ils me suivèrent. Plus qu'un étage. Malheureusement en bas, il y en avait cinq. J'avais peur, alors je suis restée immobile, à regarder en bas.
- Alors qu'est-ce que tu fais ? Tu descends pas ? dit Louis.
- J'hésite. Le.. le truc, c'est que, tout comme vous, j'ai jamais eu de formation pour mener une équipe ETa maintenir en vie, qui plus est . Tu vois où je veux en venir ? Alors me farcir seule cinq zombies et risquer ma vie pour que vous puissiez retrouver vos familles et me laisser tomber après ça, ça me pose un peu problème, on va dire.
- ...
- Laissez tomber, je vais y aller..
- ...Ta famille n'a pas été secourue, Robin ? Dit Nathan.
- Laissez tomber j'ai dit. Filez moi l'éxtincteur.
J'ai jeté l'éxtincteur en bas et je suis descendue, j'avais peur. Je me suis accrochée à une pacerelle et j'ai poussé deux zombies hors du blacon, il n'en restait plus que trois, mais c'était impossible, j'allais tomber ou me faire manger, j'éxplosa le crâne d'une de ces choses, mais j'étais submergée par les deux autres. Je pensais alors que tout était perdu, quand Nathan a tué un zombie.. deux zombies. J'étais sauvée. Ils descendirent, et je remercia Nathan. Je m'excusa alors sincèrement auprès d'eux.
"- C'est nous qui nous excusons, on ne savait pas Robin, si on l'avait sû, on aurait pas réagi ainsi. Dit Louis.
- Je le sais, merci." Répondis-je.
On avait traversé une crise, une tension, on s'était réconciliés, on avait survécu et on était proches de la sortie. Et on avait de nouveau, sonné l'alerte.
Je suis descendue la première avec la matraque de Stella pour massacrer les deux choses dans le balcon du dessous. Ils me suivèrent. Plus qu'un étage. Malheureusement en bas, il y en avait cinq. J'avais peur, alors je suis restée immobile, à regarder en bas.
- Alors qu'est-ce que tu fais ? Tu descends pas ? dit Louis.
- J'hésite. Le.. le truc, c'est que, tout comme vous, j'ai jamais eu de formation pour mener une équipe ETa maintenir en vie, qui plus est . Tu vois où je veux en venir ? Alors me farcir seule cinq zombies et risquer ma vie pour que vous puissiez retrouver vos familles et me laisser tomber après ça, ça me pose un peu problème, on va dire.
- ...
- Laissez tomber, je vais y aller..
- ...Ta famille n'a pas été secourue, Robin ? Dit Nathan.
- Laissez tomber j'ai dit. Filez moi l'éxtincteur.
J'ai jeté l'éxtincteur en bas et je suis descendue, j'avais peur. Je me suis accrochée à une pacerelle et j'ai poussé deux zombies hors du blacon, il n'en restait plus que trois, mais c'était impossible, j'allais tomber ou me faire manger, j'éxplosa le crâne d'une de ces choses, mais j'étais submergée par les deux autres. Je pensais alors que tout était perdu, quand Nathan a tué un zombie.. deux zombies. J'étais sauvée. Ils descendirent, et je remercia Nathan. Je m'excusa alors sincèrement auprès d'eux.
"- C'est nous qui nous excusons, on ne savait pas Robin, si on l'avait sû, on aurait pas réagi ainsi. Dit Louis.
- Je le sais, merci." Répondis-je.
On avait traversé une crise, une tension, on s'était réconciliés, on avait survécu et on était proches de la sortie. Et on avait de nouveau, sonné l'alerte.