Note de la fic :
Publié le 24/04/2013 à 23:40:34 par Deck
Nous sommes de retour au camping aux alentours de 16h30. C'est idéal, j'ai le temps de me laver, de me changer et de pas courir comme un dératé dans tout le camping. Le temps de prendre quelques affaires aux tentes et je suis déjà sous l'eau, intrigué et un peu stressé par le rendez-vous mystère. Je suis presque certain que c'est Lucie qui m'attend à 17h mais pourquoi ? C'est bel et bien la question qui me turlupine. Je finis de me doucher, mine de rien cette sortie m'a vraiment revigoré et je me sens probablement plus serein que si j'avais dû tourner en rond toute la matinée à me questionner sans cesse. Bien que je ne pense pas spécialement à Morgane, je l'ai toujours dans un coin de ma tête, avec mon rêve d'hier soir. Je ne me presse pas, il est à peine 16h40, j'ai encore 20 bonnes minutes. Je retourne à la tente, je m'allonge. Still Alive me détend en fond sonore, c'est exactement ce qu'il me fallait pour me relaxer: &feature=youtube_gdata_player
Tout est calme, je souris malgré moi, quelques bruits aux alentours, ma soeur qui joue à Nintendogs à côté, mes parents qui discutent, quelques rires d'enfants au loin, un oiseau qui chantonne, le vent qui fait vibrer nonchalamment ma tente... je me laisse transporter par la musique et je somnole. Quoiqu'il arrive, je serai prêt à y faire face sans stress, sans tension. Le soleil pointe avec l'énergie qu'il lui reste à travers ma tente. Je me concentre sur mes sensations en fermant les paupières et je m'étire de tout mon long, inspirant et expirant de longs souffles d'air chaud. La température est idéale, une fin d'après-midi douce avec un soleil présent mais pas trop violent. Alors que la musique s'achève, je sombre quelques minutes.
Je me réveille comme une fleur à 16h55, le temps de reprendre mes esprits et je me lève. Je sors, je dis quelques mots à mon père qui lit le Figaro sur une des chaises pliantes et je prends la route de l'emplacement indiqué sur le message. À cette heure, tout le monde a l'air de profiter de ce temps agréable: deux enfants se chamaillent gentiment près d'un camping-car, un couple joue au badminton, c'est jour de fête au coin pétanque avec Gégé et une dizaine d'hommes qui rigolent forts et boivent des bières. Je me sens vraiment bien et en confiance. Pour éviter de croiser malencontreusement Morgane, je fais un détour en tournant à droite peu avant son camping-car et je remonte tranquillement le chemin qui me mène à Lucie. J'arrive à la rangée 6. Là-aussi quelques personnes prennent l'air sur des chaises longues ou discutent autour d'un apéro. Je suis arrivé du mauvais côté et je dois donc me faire les 40 emplacements de la rangée pour arriver au numéro 2. Malgré toute la tension que j'ai pu évacuer en randonnée, je peux pas m'empêcher de ressentir une pointe d'appréhension en me rapprochant au fur et à mesure.
Finalement, j'y suis. Aucun signe extérieure de vie. Le mobilum, lui, a sa porte entrouverte. Je m'avance, à l'affût, je jette un rapide coup d'oeil par une des fenêtres mais rien à faire, c'est trop sombre. Je prends mon courage à deux mains et j'entrebaille encore plus la porte. À l'intérieur, silence. Je déglutis malgré tout et je m'avance à l'aveuglette dans la pénombre de l'endroit, cherchant Lucie ou un signe de vie. Je commence à me poser des questions, si c'est du foutage de gueule ou pas, si c'est le bon emplacement et toutes sortes de questions du même style. Je vérifie ma montre, 17h. Je tente un appel peu rassuré:
" ... Lucie ? "
Je n'ai pas de réponse. J'arrive dans le couloir qui a l'air de mener aux chambres, toujours dans le noir. Mon portable en lampe torche, j'entre dans une des trois pièces qui se présentent.
" Lucie, t'es là ? "
J'entends un léger bruit qui provient de la chambre d'à côté. Toujours peu rassuré je sors de la chambre et je pénètre à pas de loup dans celle voisine. J'arrive au niveau du lit, je rallumme l'écran de mon portable et j'entends la porte se fermer derrière moi. Putain, merde merde merde. Presque paniqué, je me retourne tout d'un coup et la lumière s'allumme totalement dans la pièce. Encore en stress, je cligne des yeux et je reconnais Lucie, dos à la porte, inexpressive. Je commence:
" Woaw, tu m'as foutue la trouille...
- C'était le but.
- Pourquoi ?
- J'avais envie.
- Ok... "
Elle se rapproche de moi, je remarque tout à coup qu'elle est en culotte. Oh nom d'un chien de what the fuck de merde. Après la trouille, c'est la trique qui me vient instantanément.
" Euh, Lucie...
- Chut. "
Elle me fait asseoir sur le lit, elle s'assied à côté, et en poussant une mèche de cheveux hors de son visage, elle me regarde droit dans les yeux et me dit dans sa voix grave si particulière:
" Je te plais ?
- Euh, eh bien... " je balbutie en guise de réponse, ayant du mal à réaliser ce qu'il se passe. Je cligne rapidement des yeux pour me réveiller mais tout a l'air réel. Elle rapproche son visage du mien, je sens le souffle de sa bouche contre la mienne et elle répète encore plus faiblement:
" Je te plais... ?
- O... Oui... "
Elle colle presque ses lèvres contre mes lèvres, juste après ma réponse. Mon coeur bat de plus en plus vite. Le puceau mode s'active et je me dis que ça y est, le grand jour est arrivé. Je continue à la regarder, elle commence à m'embrasser la joue, puis à côté de la bouche. Je deviens chaud bouillant, je me laisse faire les bras balants, alors qu'elle met une main sur mon épaule gauche et l'autre derrière ma nuque. Son souffle chaud continue à me titiller alors que son regard est d'un érotisme à tuer mon innocence. Elle commence à me mordiller la lèvre supérieure, lentement, je sens mon z se durcir alors quelle a enlevé sa main de derrière ma nuque pour me caresser la cuisse lentement. Je finis par entrer dans son jeu et je lui caresse à mon tour la cuisse en remontant jusqu'aux fesses. Sa culotte en dentelle noire m'excite terriblement et elle commence à me "smacker" la lèvre, la titillant avec l'extremité de sa langue, que je sens chaude. Je n'en peux plus, je suis prêt à prendre les choses en main. Je me rapproche de ses lèvres alors qu'elle s'était légèrement éloigné et...
Tout est calme, je souris malgré moi, quelques bruits aux alentours, ma soeur qui joue à Nintendogs à côté, mes parents qui discutent, quelques rires d'enfants au loin, un oiseau qui chantonne, le vent qui fait vibrer nonchalamment ma tente... je me laisse transporter par la musique et je somnole. Quoiqu'il arrive, je serai prêt à y faire face sans stress, sans tension. Le soleil pointe avec l'énergie qu'il lui reste à travers ma tente. Je me concentre sur mes sensations en fermant les paupières et je m'étire de tout mon long, inspirant et expirant de longs souffles d'air chaud. La température est idéale, une fin d'après-midi douce avec un soleil présent mais pas trop violent. Alors que la musique s'achève, je sombre quelques minutes.
Je me réveille comme une fleur à 16h55, le temps de reprendre mes esprits et je me lève. Je sors, je dis quelques mots à mon père qui lit le Figaro sur une des chaises pliantes et je prends la route de l'emplacement indiqué sur le message. À cette heure, tout le monde a l'air de profiter de ce temps agréable: deux enfants se chamaillent gentiment près d'un camping-car, un couple joue au badminton, c'est jour de fête au coin pétanque avec Gégé et une dizaine d'hommes qui rigolent forts et boivent des bières. Je me sens vraiment bien et en confiance. Pour éviter de croiser malencontreusement Morgane, je fais un détour en tournant à droite peu avant son camping-car et je remonte tranquillement le chemin qui me mène à Lucie. J'arrive à la rangée 6. Là-aussi quelques personnes prennent l'air sur des chaises longues ou discutent autour d'un apéro. Je suis arrivé du mauvais côté et je dois donc me faire les 40 emplacements de la rangée pour arriver au numéro 2. Malgré toute la tension que j'ai pu évacuer en randonnée, je peux pas m'empêcher de ressentir une pointe d'appréhension en me rapprochant au fur et à mesure.
Finalement, j'y suis. Aucun signe extérieure de vie. Le mobilum, lui, a sa porte entrouverte. Je m'avance, à l'affût, je jette un rapide coup d'oeil par une des fenêtres mais rien à faire, c'est trop sombre. Je prends mon courage à deux mains et j'entrebaille encore plus la porte. À l'intérieur, silence. Je déglutis malgré tout et je m'avance à l'aveuglette dans la pénombre de l'endroit, cherchant Lucie ou un signe de vie. Je commence à me poser des questions, si c'est du foutage de gueule ou pas, si c'est le bon emplacement et toutes sortes de questions du même style. Je vérifie ma montre, 17h. Je tente un appel peu rassuré:
" ... Lucie ? "
Je n'ai pas de réponse. J'arrive dans le couloir qui a l'air de mener aux chambres, toujours dans le noir. Mon portable en lampe torche, j'entre dans une des trois pièces qui se présentent.
" Lucie, t'es là ? "
J'entends un léger bruit qui provient de la chambre d'à côté. Toujours peu rassuré je sors de la chambre et je pénètre à pas de loup dans celle voisine. J'arrive au niveau du lit, je rallumme l'écran de mon portable et j'entends la porte se fermer derrière moi. Putain, merde merde merde. Presque paniqué, je me retourne tout d'un coup et la lumière s'allumme totalement dans la pièce. Encore en stress, je cligne des yeux et je reconnais Lucie, dos à la porte, inexpressive. Je commence:
" Woaw, tu m'as foutue la trouille...
- C'était le but.
- Pourquoi ?
- J'avais envie.
- Ok... "
Elle se rapproche de moi, je remarque tout à coup qu'elle est en culotte. Oh nom d'un chien de what the fuck de merde. Après la trouille, c'est la trique qui me vient instantanément.
" Euh, Lucie...
- Chut. "
Elle me fait asseoir sur le lit, elle s'assied à côté, et en poussant une mèche de cheveux hors de son visage, elle me regarde droit dans les yeux et me dit dans sa voix grave si particulière:
" Je te plais ?
- Euh, eh bien... " je balbutie en guise de réponse, ayant du mal à réaliser ce qu'il se passe. Je cligne rapidement des yeux pour me réveiller mais tout a l'air réel. Elle rapproche son visage du mien, je sens le souffle de sa bouche contre la mienne et elle répète encore plus faiblement:
" Je te plais... ?
- O... Oui... "
Elle colle presque ses lèvres contre mes lèvres, juste après ma réponse. Mon coeur bat de plus en plus vite. Le puceau mode s'active et je me dis que ça y est, le grand jour est arrivé. Je continue à la regarder, elle commence à m'embrasser la joue, puis à côté de la bouche. Je deviens chaud bouillant, je me laisse faire les bras balants, alors qu'elle met une main sur mon épaule gauche et l'autre derrière ma nuque. Son souffle chaud continue à me titiller alors que son regard est d'un érotisme à tuer mon innocence. Elle commence à me mordiller la lèvre supérieure, lentement, je sens mon z se durcir alors quelle a enlevé sa main de derrière ma nuque pour me caresser la cuisse lentement. Je finis par entrer dans son jeu et je lui caresse à mon tour la cuisse en remontant jusqu'aux fesses. Sa culotte en dentelle noire m'excite terriblement et elle commence à me "smacker" la lèvre, la titillant avec l'extremité de sa langue, que je sens chaude. Je n'en peux plus, je suis prêt à prendre les choses en main. Je me rapproche de ses lèvres alors qu'elle s'était légèrement éloigné et...