Note de la fic :
Publié le 25/08/2012 à 13:44:45 par Leyoh
19 Janvier 2019, 14h49. Les 6 ados étaient prêt de la porte, et se préparait déjà à sortir en courant.
- A trois, on sort. s'exprima George, tremblant légèrement de peur.
Il compta jusqu'à trois, puis ouvrit rapidement la porte et s'engouffra dans le couloir tout aussi vite, avant de s'arrêter net, le visage blanc et choqué. Tous le suivirent rapidement, et tous eurent la même réaction. Le couloir était devenu couleur sang, les murs étaient désormais tapissés de chair et de sang, des cadavres déchiquetés gisaient sur le sol. Le silence régnait, et l'ambiance était lourde, très lourde. George finit par reprendre ses esprits, et se dirigea vers les escaliers, et commença à descendre, avant de s'arrêter, et de se tourner vers nous, toujours immobiles.
- Il faut pas rester là, dit-il en hurlant, venez vite !
Nous ne nous firent pas prier, et nous le suivirent rapidement. Une fois de plus, nous descendions d'un étage, bien qu'il fallait qu'on s'en aille. Pourquoi George n'avait tout simplement pas fait demi-tour ? Il voulait passer par la grande porte ? Je n'en avais pas la moindre idée, je m'empressai alors de lui demander.
- George, on devait pas partir ?
- Tu crois qu'on fait quoi, abruti ?
- Pourquoi ne pas faire demi-tour ?
- Parce que. On va passer par une fenêtre, ça sera plus simple.
- Et si on tombe encore sur quelque chose ?
George n'eut pas le temps de me répondre, que déjà nous étions à l'étage inférieur. Le couloir était très clair, on y voyait bien, comme si c'était le soleil qui l'éclairer. Cependant, il n'y avait aucune source de lumière, et seul le couloir était éclairer, les escaliers, quant à eux, étaient sombre comme la nuit. Je regarda à droite, puis à gauche - sans rien voir - puis de nouveau à droite, et c'est à ce moment là que je cru que mon cœur allait s'arrêter.
Là, devant nous, se dressait Mister Jack, vêtu de sa tenue de Magicien : Veste et pantalon de smoking, cravate, grande cape et chapeau de forme noir. Une baguette à la main, il nous regardait fixement, d'un air terrifiant.
- Que faites vous ici, chez moi, jeunes gens... dit-il d'une voix calme et posée.
- Nous... Nous cherchions juste nos parents... lui répondit Valentine.
- Ils ne sont plus de ce monde... Je suis navré...
- Pourquoi ? lui demanda Brice, tandis que Valentine était déjà en larmes.
- Vous n'aurez qu'à leur demander, une fois que vous les aurez rejoints. répondit Jack, en se tournant et en disparaissant dans une épaisse fumée noir.
Soudain, des cris retentirent. Nous nous retournons, et découvrons avec stupeur une bête haute de 2m, à l'apparence plus ou moins humaine. Ses deux bras étaient du même côté, et elle n'avait pas de cou. Ses jambes étaient couverte de visage humains, ainsi que son torse. Elle s'approchait de nous en hurlant. Paralysés par la peur, nous regardions cette chose s'approcher dangereusement de nous, sans rien pouvoir faire. Je pensais déjà au pire. C'était réellement la fin.
Mais soudain, alors nous pensions mourir dans d'atroces souffrances, la bêtes aux lames surgit de nul part, et s'attaqua au monstre. Elle était grande, et avait une apparence humaine. Chacun de ses bras et de ses jambes étaient remplacés par deux grands Katana, couverts de sang. Sa peau étaient gris par endroits, verte à d'autres. Sa tête ressemblait à une petite pyramide, avec un unique œil en son centre. En quelques secondes, elle terrassa la bête, la tranchant de tous les côtés. Elle se tourna vers nous, et s'approcha lentement, faisant claquer ses lames contre le sol, et ses "bras" contre le mur.
- Fuyez... Ne restez pas ici... Ou vous mourrez...
- Mais... Qui êtes vous ? osais-je dire
- Je suis... Le gardien... De ce manoir... Tout ici est faux... Même vous... Vous n'existez pas... Rien n'existe dans... Ce manoir...
- Vous voulez dire qu'à partir du moment où on est entrés ici, nous avons étés effacés de la réalité ? demande Jules.
- C'est en quelques sortes... Exact...
La bête se mit alors à me regarder droit dans les yeux, me glaçant ainsi le sang. Elle tendit ses lames vers moi, et j'aperçus une petit collier au bout de celles-ci. Je le pris.
- Garde ça... Avec toi... Il te donnera... Une seconde chance...
- Et nous alors ? répliqua Brice.
La bête ne répondit pas, et s'enfuit alors au fond du couloir interminable. On ne la voyait rapidement plus.
Alors que tout cela devenait incompréhensible, je regarda le collier. Un bijoux y était accroché, il s'agissait de la tête miniature de la bête. Je décida alors de me le mettre autour du cou, puis commença à m'engouffrer dans le couloir pour descendre à l'étage inférieur.
- Qu'est-ce tu fou ? cria Marwan
- Je descend ! Je dois buter cet enfoiré de merde !
- Non ! On doit partir ! Reviens ! me répondit-il
- Vous partez ! Moi, j'ai une revanche à prendre !
- A trois, on sort. s'exprima George, tremblant légèrement de peur.
Il compta jusqu'à trois, puis ouvrit rapidement la porte et s'engouffra dans le couloir tout aussi vite, avant de s'arrêter net, le visage blanc et choqué. Tous le suivirent rapidement, et tous eurent la même réaction. Le couloir était devenu couleur sang, les murs étaient désormais tapissés de chair et de sang, des cadavres déchiquetés gisaient sur le sol. Le silence régnait, et l'ambiance était lourde, très lourde. George finit par reprendre ses esprits, et se dirigea vers les escaliers, et commença à descendre, avant de s'arrêter, et de se tourner vers nous, toujours immobiles.
- Il faut pas rester là, dit-il en hurlant, venez vite !
Nous ne nous firent pas prier, et nous le suivirent rapidement. Une fois de plus, nous descendions d'un étage, bien qu'il fallait qu'on s'en aille. Pourquoi George n'avait tout simplement pas fait demi-tour ? Il voulait passer par la grande porte ? Je n'en avais pas la moindre idée, je m'empressai alors de lui demander.
- George, on devait pas partir ?
- Tu crois qu'on fait quoi, abruti ?
- Pourquoi ne pas faire demi-tour ?
- Parce que. On va passer par une fenêtre, ça sera plus simple.
- Et si on tombe encore sur quelque chose ?
George n'eut pas le temps de me répondre, que déjà nous étions à l'étage inférieur. Le couloir était très clair, on y voyait bien, comme si c'était le soleil qui l'éclairer. Cependant, il n'y avait aucune source de lumière, et seul le couloir était éclairer, les escaliers, quant à eux, étaient sombre comme la nuit. Je regarda à droite, puis à gauche - sans rien voir - puis de nouveau à droite, et c'est à ce moment là que je cru que mon cœur allait s'arrêter.
Là, devant nous, se dressait Mister Jack, vêtu de sa tenue de Magicien : Veste et pantalon de smoking, cravate, grande cape et chapeau de forme noir. Une baguette à la main, il nous regardait fixement, d'un air terrifiant.
- Que faites vous ici, chez moi, jeunes gens... dit-il d'une voix calme et posée.
- Nous... Nous cherchions juste nos parents... lui répondit Valentine.
- Ils ne sont plus de ce monde... Je suis navré...
- Pourquoi ? lui demanda Brice, tandis que Valentine était déjà en larmes.
- Vous n'aurez qu'à leur demander, une fois que vous les aurez rejoints. répondit Jack, en se tournant et en disparaissant dans une épaisse fumée noir.
Soudain, des cris retentirent. Nous nous retournons, et découvrons avec stupeur une bête haute de 2m, à l'apparence plus ou moins humaine. Ses deux bras étaient du même côté, et elle n'avait pas de cou. Ses jambes étaient couverte de visage humains, ainsi que son torse. Elle s'approchait de nous en hurlant. Paralysés par la peur, nous regardions cette chose s'approcher dangereusement de nous, sans rien pouvoir faire. Je pensais déjà au pire. C'était réellement la fin.
Mais soudain, alors nous pensions mourir dans d'atroces souffrances, la bêtes aux lames surgit de nul part, et s'attaqua au monstre. Elle était grande, et avait une apparence humaine. Chacun de ses bras et de ses jambes étaient remplacés par deux grands Katana, couverts de sang. Sa peau étaient gris par endroits, verte à d'autres. Sa tête ressemblait à une petite pyramide, avec un unique œil en son centre. En quelques secondes, elle terrassa la bête, la tranchant de tous les côtés. Elle se tourna vers nous, et s'approcha lentement, faisant claquer ses lames contre le sol, et ses "bras" contre le mur.
- Fuyez... Ne restez pas ici... Ou vous mourrez...
- Mais... Qui êtes vous ? osais-je dire
- Je suis... Le gardien... De ce manoir... Tout ici est faux... Même vous... Vous n'existez pas... Rien n'existe dans... Ce manoir...
- Vous voulez dire qu'à partir du moment où on est entrés ici, nous avons étés effacés de la réalité ? demande Jules.
- C'est en quelques sortes... Exact...
La bête se mit alors à me regarder droit dans les yeux, me glaçant ainsi le sang. Elle tendit ses lames vers moi, et j'aperçus une petit collier au bout de celles-ci. Je le pris.
- Garde ça... Avec toi... Il te donnera... Une seconde chance...
- Et nous alors ? répliqua Brice.
La bête ne répondit pas, et s'enfuit alors au fond du couloir interminable. On ne la voyait rapidement plus.
Alors que tout cela devenait incompréhensible, je regarda le collier. Un bijoux y était accroché, il s'agissait de la tête miniature de la bête. Je décida alors de me le mettre autour du cou, puis commença à m'engouffrer dans le couloir pour descendre à l'étage inférieur.
- Qu'est-ce tu fou ? cria Marwan
- Je descend ! Je dois buter cet enfoiré de merde !
- Non ! On doit partir ! Reviens ! me répondit-il
- Vous partez ! Moi, j'ai une revanche à prendre !