Note de la fic :
Publié le 21/05/2012 à 22:19:33 par Leyoh
19 Janvier 2019, 13h15. Notre héros est au sol, à la merci d'une bête effroyable.
Pris par la terreur, je ferma mes yeux. Au bout de quelques instants, je sentis quelque chose m'attraper le bras et me trainer. Je me disais que c'était la fin, que je ne reverrais plus jamais ma famille, que j'allais mourir. Mais, en ouvrant les yeux, je remarqua que c'était seulement quelqu'un qui me tirait, avec une force assez inouï je dois l'avouer. Je pensais d'abords qu'il s'agissait de George. Seul lui m'aurait sauver. C'est seulement lorsqu'une fois ce qui paraissait être une chambre atteint, après que l'on ai bien fermé et verrouiller la porte, que je pus enfin me relever que je me rendis compte que c'était Mister Badass - Brice pour ceux qui auraient Alzheimer - qui m'avait trainer jusqu'ici. Je n'en revenais pas que ce soit lui qui m'ai sauvé. Je le remercia, vivement, mais c'était déjà ça.
Il m'expliqua que, lorsque j'étais tombé, ils pensaient tous que je m'étais évanoui et, pris de panique, m'avait trainer sans vraiment chercher à comprendre, et laissant la torche dans le couloir. Je leur demanda s'ils avaient vu la bête, ils me répondirent que non. J'étais, d'un côté déçu, d'un autre soulagé de ne pas m'être fait attraper. Qui sait comment j'aurais pu finir ? Enfin, après tout, on était pas dans un film d'horreur, ce genre de bestioles n'existait pas. Enfin, une fois de plus, c'est ce que je pensais.
On hésita lentement à allumer la lumière de la chambre. Finalement, j'appuya sur l'interrupteur, me disant qu'au mieux, on trouverais une femme à demie-nue, et qu'au pire, un vieux gars en train de se masturber. C'était déjà mieux que de rester dans le noir, ou même dans le couloir. Finalement, je tomba à peu près sur ce que j'avais imaginé. La lumière, en illuminant de ses milles feux la grande chambre, nous éblouissa quelques seconde, avant de nous révéler un spectacle digne des plus grands films d'épouvante. En effet, au dessus de chacun des trois lits, se trouvaient des personnes pendus par ce qui semblait être leurs propres tripes. Du sang ruisselait de leur corps, montrant bien que cela n'avait pas été fait il y a bien longtemps. Valentine tourna la tête, et Alexandra, ainsi que Jules, vomirent sur le sol. L'odeur de vomi vint donc se mêler à celle de la chair éventré de nos amis les cadavres. Je m'approchais, à moitié fasciné par le travail de l'artiste, à moitié choqué par cette œuvre du démon. En effet, ils semblaient n'être blessés qu'uniquement au ventre, et leur visage exprimait une telle souffrance qu'on jurerais qu'ils en succombèrent. La position de leur tête, de leur corps ne pouvait pas laisser supposer que c'était la pendaison qui les avait tué.
Les trois lits étaient côte à côte. Tout à gauche, était pendu une belle jeune femme bien formée, très bien formée, même, blonde. Au centre, une autre femme, cette fois-ci bien en forme et moins bien formée, mais, elle devait être agréable à regarder, de son vivant, notamment grâce à ses beaux et longs cheveux bruns. Finalement, à droite, c'était un vieil homme qui était pendu, assez gras, et peu membré - quoi que privé de son sang, il était difficile de juger à ce sujet - . Tous étaient dénudés, ce qui rendait la scène encore plus étrange. Marwan s'approcha à son tour. Il prit du temps à le dire, mais finalement, il finit par y arriver.
"Mais... C'est ta famille..."
Je ria, avant de pâlir subitement. C'est là que, effectivement, je reconnu ma famille - J'avais d'ailleurs bien maté ma propre défunte sœur, et je crois que c'était cela qui me dégouta le plus - et que je compris que plus rien ne serait comme avant. Je tomba à genoux, en larmes. Je ne pu retenir mes sanglots, je ne pouvais pas croire à cela. Qui aurait pu tuer ma famille ainsi, de sang froid, ma belle petite famille qui ne demandait jamais rien à personne, qui n'avait jamais eu de problèmes avec quiconque - Je me souviens même de mon père qui répétait sans cesse "Jamais un PV ! Jamais !" - qui n'avait pas même eu le moindre retard de paiement de leurs obligations, par respect pour les fonctionnaires.
Marwan posa une main sur mon épaule. J'entendais les larmes de mes amis derrière. De mes amis, et aussi de mes ennemis. Apparemment, ils étaient tous choqué, peut-être pas autant que moi, mais il l'étaient. Au bout d'une dizaines de minutes, je me releva rapidement, et fit demi-tour. Je m'approcha de la porte, et tenta de l'ouvrir. Elle était bloqué de l'extérieur. Je me tourna vers Brice, qui avait déjà attrapé une chaise. Je me poussa de la porte, et il mit un grand coup de chaise dans la porte qui ne branla même pas. Il répéta son action plusieurs fois, avant de se rendre compte que c'était inutile.
Il jeta la chaise à travers la pièce, et chercha autre chose. Pendant que Valentine tapait contre la porte en hurlant des "Laissez nous sortir !", j'entendis un bruit. C'était la bête. Elle s'approchait de plus en plus de la porte. J'attrapa Valentine par l'épaule, et la tira vers moi. Au même instant, deux longues lames finement aiguisés traversèrent la porte, puis en ressortirent aussi vite qu'elles n'étaient entrées. Un hurlement retentit. Je ne pensais pas réchapper vivant de cette aventure.
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Désolé de pas avoir sweeter ce week-end, j'étais, comment dire... Dans l'incapacité de le faire.
Pris par la terreur, je ferma mes yeux. Au bout de quelques instants, je sentis quelque chose m'attraper le bras et me trainer. Je me disais que c'était la fin, que je ne reverrais plus jamais ma famille, que j'allais mourir. Mais, en ouvrant les yeux, je remarqua que c'était seulement quelqu'un qui me tirait, avec une force assez inouï je dois l'avouer. Je pensais d'abords qu'il s'agissait de George. Seul lui m'aurait sauver. C'est seulement lorsqu'une fois ce qui paraissait être une chambre atteint, après que l'on ai bien fermé et verrouiller la porte, que je pus enfin me relever que je me rendis compte que c'était Mister Badass - Brice pour ceux qui auraient Alzheimer - qui m'avait trainer jusqu'ici. Je n'en revenais pas que ce soit lui qui m'ai sauvé. Je le remercia, vivement, mais c'était déjà ça.
Il m'expliqua que, lorsque j'étais tombé, ils pensaient tous que je m'étais évanoui et, pris de panique, m'avait trainer sans vraiment chercher à comprendre, et laissant la torche dans le couloir. Je leur demanda s'ils avaient vu la bête, ils me répondirent que non. J'étais, d'un côté déçu, d'un autre soulagé de ne pas m'être fait attraper. Qui sait comment j'aurais pu finir ? Enfin, après tout, on était pas dans un film d'horreur, ce genre de bestioles n'existait pas. Enfin, une fois de plus, c'est ce que je pensais.
On hésita lentement à allumer la lumière de la chambre. Finalement, j'appuya sur l'interrupteur, me disant qu'au mieux, on trouverais une femme à demie-nue, et qu'au pire, un vieux gars en train de se masturber. C'était déjà mieux que de rester dans le noir, ou même dans le couloir. Finalement, je tomba à peu près sur ce que j'avais imaginé. La lumière, en illuminant de ses milles feux la grande chambre, nous éblouissa quelques seconde, avant de nous révéler un spectacle digne des plus grands films d'épouvante. En effet, au dessus de chacun des trois lits, se trouvaient des personnes pendus par ce qui semblait être leurs propres tripes. Du sang ruisselait de leur corps, montrant bien que cela n'avait pas été fait il y a bien longtemps. Valentine tourna la tête, et Alexandra, ainsi que Jules, vomirent sur le sol. L'odeur de vomi vint donc se mêler à celle de la chair éventré de nos amis les cadavres. Je m'approchais, à moitié fasciné par le travail de l'artiste, à moitié choqué par cette œuvre du démon. En effet, ils semblaient n'être blessés qu'uniquement au ventre, et leur visage exprimait une telle souffrance qu'on jurerais qu'ils en succombèrent. La position de leur tête, de leur corps ne pouvait pas laisser supposer que c'était la pendaison qui les avait tué.
Les trois lits étaient côte à côte. Tout à gauche, était pendu une belle jeune femme bien formée, très bien formée, même, blonde. Au centre, une autre femme, cette fois-ci bien en forme et moins bien formée, mais, elle devait être agréable à regarder, de son vivant, notamment grâce à ses beaux et longs cheveux bruns. Finalement, à droite, c'était un vieil homme qui était pendu, assez gras, et peu membré - quoi que privé de son sang, il était difficile de juger à ce sujet - . Tous étaient dénudés, ce qui rendait la scène encore plus étrange. Marwan s'approcha à son tour. Il prit du temps à le dire, mais finalement, il finit par y arriver.
"Mais... C'est ta famille..."
Je ria, avant de pâlir subitement. C'est là que, effectivement, je reconnu ma famille - J'avais d'ailleurs bien maté ma propre défunte sœur, et je crois que c'était cela qui me dégouta le plus - et que je compris que plus rien ne serait comme avant. Je tomba à genoux, en larmes. Je ne pu retenir mes sanglots, je ne pouvais pas croire à cela. Qui aurait pu tuer ma famille ainsi, de sang froid, ma belle petite famille qui ne demandait jamais rien à personne, qui n'avait jamais eu de problèmes avec quiconque - Je me souviens même de mon père qui répétait sans cesse "Jamais un PV ! Jamais !" - qui n'avait pas même eu le moindre retard de paiement de leurs obligations, par respect pour les fonctionnaires.
Marwan posa une main sur mon épaule. J'entendais les larmes de mes amis derrière. De mes amis, et aussi de mes ennemis. Apparemment, ils étaient tous choqué, peut-être pas autant que moi, mais il l'étaient. Au bout d'une dizaines de minutes, je me releva rapidement, et fit demi-tour. Je m'approcha de la porte, et tenta de l'ouvrir. Elle était bloqué de l'extérieur. Je me tourna vers Brice, qui avait déjà attrapé une chaise. Je me poussa de la porte, et il mit un grand coup de chaise dans la porte qui ne branla même pas. Il répéta son action plusieurs fois, avant de se rendre compte que c'était inutile.
Il jeta la chaise à travers la pièce, et chercha autre chose. Pendant que Valentine tapait contre la porte en hurlant des "Laissez nous sortir !", j'entendis un bruit. C'était la bête. Elle s'approchait de plus en plus de la porte. J'attrapa Valentine par l'épaule, et la tira vers moi. Au même instant, deux longues lames finement aiguisés traversèrent la porte, puis en ressortirent aussi vite qu'elles n'étaient entrées. Un hurlement retentit. Je ne pensais pas réchapper vivant de cette aventure.
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Désolé de pas avoir sweeter ce week-end, j'étais, comment dire... Dans l'incapacité de le faire.