Note de la fic :
Publié le 27/05/2012 à 19:12:44 par Leyoh
19 Janvier 2019, 13h38. La porte a été transpercé de deux lames tranchantes.
Alors que Valentine était dans mes bras, pleurante, sans aucun doute terrifiée, je blêmis de terreur, en imaginant quel monstre pouvait avoir fait ça. George, quant à lui, s'était empressé, à l'aide de Mister Badass de déplacer des meubles pour les mettre devant la porte, et ainsi donc empêcher la chose d'entrer dans la pièce, pour nous faire subir le même sort qu'à ma famille. La porte fut donc bloqué par une grande commode assez imposante, marrons, et un peu brillante. Mais, ce n'est guère important. Marwan m'attrapa et me fit reculer. Valentine retira ainsi donc son étreinte, ce qui me déplu quelques peu, mais, je le cacha. Après tout, c'était pas vraiment le moment le plus approprié pour penser à ça. George nous indiqua qu'il y avait une salle de bain, à côté. On s'y réfugia. Elle était plutôt grande. George prit soin d'éteindre la lumière de la chambre, et n'alluma pas celle de la salle de bain, ce qui fit qu'on ne pu qu'apercevoir l'entrée de celle-ci. Elle semblait luxueuse. Il ferma la porte, et déplaça une autre petite commode contre la porte, "au cas où". Il nous fit taire. Notre silence fut d'un ennuie à tuer un mort. Il n'y avait pas un son, mise à part nos respirations saccadées. On entendit les fameux bruits métalliques, qui étaient de moins en moins fort. On en conclut que la bête s'était finalement enfuie.
Après une bonne vingtaine de minutes, George nous fit sortir de la salle de bain. Avec Brice, ils déplacèrent l'armoire, en essayant d'être discret. La porte avait disparu, et la lampe torche que j'avais tombé était là, devant, posé. Je m'empressai de la récupérer, avant que l'autre brute ne me l'arrache des mains. Il me dit qu'ainsi, il y avait moins de risques qu'on la perde. Il éclaira le couloir. Il n'y avait rien, mise à part des tapis, couvrant le sol. Ils étaient toujours là, et il n'y avait pas la moindre trace de pas, mise à part les nôtres. Tous s'engouffrèrent dans le couloir, tandis que je jeta un dernier regard à ma famille, nue comme des vers, pendu comme des chiens. Une dernière larme coula, et je suivis mes compères.
Nous avancions sans un bruit, tous prit de panique qu'un quelconque monstre nous tombe au coin de la figure. Là, on découvrit un escalier qui menait à l'étage inférieur. Je m'agrippa à la rambarde, et commença à descendre, en suivant le reste du groupe. Arrivé à mi-étage, on s'arrêta brusquement. Quelqu'un nous attendait, à l'étage d'en bas. La lumière n'était pas allumé, mais Brice l'éclair de la lampe. La personne ne bougeait pas, et, je n'arrivais pas à bien la voir. Brice semblait terrorisé. Quelle petite nature. Alexandra s'avança un peu, et commença à faire ses excuses.
"On... On est désolé... dit-elle, On s'inquiétait juste de ne plus voir nos parents, et..."
La personne ne laissa pas la pauvre finir que déjà elle se mit à hurler à se jeter à son coup, en lui dévorant la carotide. Du sang giclait de partout, et Alexandra hurlait de douleur. Personne ne comprenait rien à ce qu'il venait de se passer. George attrapa la mag-light, et mit un violent coup sur le crâne de notre amie cannibale. La personne, qui semblait être une femme, à première vu, tomba, et glissa le long des escaliers, accompagné de sa victime, qui pleurait encore toutes les larmes de son corps. Nous descendîmes rapidement les escaliers, pour lui porter secours. Brice éclata le crâne de ce qu'il appela plus tard le "zombie", afin "d'en finir une bonne fois pour toute de cette saloperie".
Alexandra se vidait de son sang, et nous fûmes contrarié de constaté que sa vie s'achèverait aujourd'hui, faut de capacités à la soigner. Trois minutes passées, et elle était morte. Valentine pleura sa défunte amie pendant une dizaine de minutes, avant que les collègue de notre amie cannibale rappliquent. Ils étaient une bonne dizaine, et semblait désira notre viande. J'attrapa le bras de Valentine, la releva, et commença à courir dans le sens opposé. Les autres me suivirent. Les "zombies" aussi. Sauf qu'ils s'arrêtèrent au niveau du corps d'Alexandra, dans le but de la dévorer entièrement. Nous avions un peu de répits, mais forcé de constaté que, leur repas n'était pas bien gras, et ils allaient rapidement le finir, pour finalement vouloir s'en prendre à nous.
Alors que Valentine était dans mes bras, pleurante, sans aucun doute terrifiée, je blêmis de terreur, en imaginant quel monstre pouvait avoir fait ça. George, quant à lui, s'était empressé, à l'aide de Mister Badass de déplacer des meubles pour les mettre devant la porte, et ainsi donc empêcher la chose d'entrer dans la pièce, pour nous faire subir le même sort qu'à ma famille. La porte fut donc bloqué par une grande commode assez imposante, marrons, et un peu brillante. Mais, ce n'est guère important. Marwan m'attrapa et me fit reculer. Valentine retira ainsi donc son étreinte, ce qui me déplu quelques peu, mais, je le cacha. Après tout, c'était pas vraiment le moment le plus approprié pour penser à ça. George nous indiqua qu'il y avait une salle de bain, à côté. On s'y réfugia. Elle était plutôt grande. George prit soin d'éteindre la lumière de la chambre, et n'alluma pas celle de la salle de bain, ce qui fit qu'on ne pu qu'apercevoir l'entrée de celle-ci. Elle semblait luxueuse. Il ferma la porte, et déplaça une autre petite commode contre la porte, "au cas où". Il nous fit taire. Notre silence fut d'un ennuie à tuer un mort. Il n'y avait pas un son, mise à part nos respirations saccadées. On entendit les fameux bruits métalliques, qui étaient de moins en moins fort. On en conclut que la bête s'était finalement enfuie.
Après une bonne vingtaine de minutes, George nous fit sortir de la salle de bain. Avec Brice, ils déplacèrent l'armoire, en essayant d'être discret. La porte avait disparu, et la lampe torche que j'avais tombé était là, devant, posé. Je m'empressai de la récupérer, avant que l'autre brute ne me l'arrache des mains. Il me dit qu'ainsi, il y avait moins de risques qu'on la perde. Il éclaira le couloir. Il n'y avait rien, mise à part des tapis, couvrant le sol. Ils étaient toujours là, et il n'y avait pas la moindre trace de pas, mise à part les nôtres. Tous s'engouffrèrent dans le couloir, tandis que je jeta un dernier regard à ma famille, nue comme des vers, pendu comme des chiens. Une dernière larme coula, et je suivis mes compères.
Nous avancions sans un bruit, tous prit de panique qu'un quelconque monstre nous tombe au coin de la figure. Là, on découvrit un escalier qui menait à l'étage inférieur. Je m'agrippa à la rambarde, et commença à descendre, en suivant le reste du groupe. Arrivé à mi-étage, on s'arrêta brusquement. Quelqu'un nous attendait, à l'étage d'en bas. La lumière n'était pas allumé, mais Brice l'éclair de la lampe. La personne ne bougeait pas, et, je n'arrivais pas à bien la voir. Brice semblait terrorisé. Quelle petite nature. Alexandra s'avança un peu, et commença à faire ses excuses.
"On... On est désolé... dit-elle, On s'inquiétait juste de ne plus voir nos parents, et..."
La personne ne laissa pas la pauvre finir que déjà elle se mit à hurler à se jeter à son coup, en lui dévorant la carotide. Du sang giclait de partout, et Alexandra hurlait de douleur. Personne ne comprenait rien à ce qu'il venait de se passer. George attrapa la mag-light, et mit un violent coup sur le crâne de notre amie cannibale. La personne, qui semblait être une femme, à première vu, tomba, et glissa le long des escaliers, accompagné de sa victime, qui pleurait encore toutes les larmes de son corps. Nous descendîmes rapidement les escaliers, pour lui porter secours. Brice éclata le crâne de ce qu'il appela plus tard le "zombie", afin "d'en finir une bonne fois pour toute de cette saloperie".
Alexandra se vidait de son sang, et nous fûmes contrarié de constaté que sa vie s'achèverait aujourd'hui, faut de capacités à la soigner. Trois minutes passées, et elle était morte. Valentine pleura sa défunte amie pendant une dizaine de minutes, avant que les collègue de notre amie cannibale rappliquent. Ils étaient une bonne dizaine, et semblait désira notre viande. J'attrapa le bras de Valentine, la releva, et commença à courir dans le sens opposé. Les autres me suivirent. Les "zombies" aussi. Sauf qu'ils s'arrêtèrent au niveau du corps d'Alexandra, dans le but de la dévorer entièrement. Nous avions un peu de répits, mais forcé de constaté que, leur repas n'était pas bien gras, et ils allaient rapidement le finir, pour finalement vouloir s'en prendre à nous.