Note de la fic : 
Publié le 18/05/2012 à 21:41:15 par Leyoh
19 Janvier 2019, 12h30. Le ciel est couvert par d'épais nuages noir, la pluie n'est pas forte, mais l'orage est bien présent.
Tous se figèrent, en voyant ces deux yeux brillants. Sauf Valentine, qui s'extasia, et se mit accroupie, en lâchant des petits "Minou minou !". Les yeux vinrent vers nous, le "monstre" sortit par la trappe, et sauta sur les genoux de Valentine en ronronnant. C'est simplement un chat. Un chat qui nous avait totalement terrorisé... On se regarda, tous, et certains se sentaient ridicule. Non, nous nous sentions tous ridicules. Le chat finit par s'en aller, après que Valentine l'est poussé un peu, et soit descendu la première dans la trappe. Elle poussa un cri de terreur. On sauta tous dans le grenier, et... Rien. Valentine était morte de rire. Elle s'était foutue de nous. Une fois de plus...
Après que l'on se soit remis de nos émotions, on décida de regarder un peu plus en profondeur ce grenier. Des cartons étaient empilés de partout, des vieux, des moins vieux. George trouva même une guitare électrique, une Gibson. Moi je trouva juste ce qu'il nous fallait : Une lampe torche. C'est vrai qu'on avait pas pensé à en prendre une, en partant, elle pourrait nous être utile. Marwan trouva des bibelots, Luc quelques bijoux, et Alexandra trouva des livres de rituels sataniques. On les ouvrit. Les pages étaient toutes vierges. Jules nous expliqua que, dans les légendes, il fallait réciter une formule satanique pour pouvoir lire ce genre de livres sacrés, et écrit par Satan lui même. Les autres n'étant que des faux, des imitations. Je trouvais ça drôle et inquiétant à la fois. Valentine trouva même quelques livres de magies, expliquant les tours en détails, ainsi que des accessoires.
Marwan fit remarquer que, étrangement, on entendait aucun son provenant de la maison. Il était vrai que l'on avait rien entendu à part nos voix et notre brouhaha. Je me disais qu'après tout, le manoir était très grand, et que cela pouvait être tout à fait normal s'ils étaient au rez de chaussé. Je ne chercha pas à me poser plus de question, et je m'empressa de chercher comment descendre dans le manoir, sortir du grenier, en quelques sortes. Et, fort heureusement, ce ne fut pas long avant que je découvre la petite trappe - Ce manoir devait en être infesté - permettant de redescendre à l'étage. Je m'approcha d'elle, et tendis la main vers la poignée. Je me stoppa net.
Soudain, un bruit étrange me terrifia. Des bruits de pas, de quelqu'un, ou plutôt quelque chose, qui courrait, à l'étage. Ça ne pouvait pas être un chat, un chien, ou un quelconque animal, cette fois-ci. C'était un son métallique qui frappait contre du bois. Une petite clochette raisonnée dans tout l'étage. Ce ne pouvait pas être un chat, c'était trop rapide et trop irrégulier pour que ce soit le cas. J'osa à peine me retourner pour regarder les autres. Ils étaient tout autant terrifiés que moi ?
"C'était quoi, ça ? lâcha Alexandra
- Aucune idée, lui répondis-je, mais on va bien finir par le savoir."
J'ouvris lentement la trappe. Je me rendis compte qu'il fallait, une fois de plus, se laisser tomber pour passer à l'étage inférieur. L'étage n'était pas éclairé, ce qui rendait la chose encore plus effrayante. Il n'y avait pas un bruit. Je pris ma lampe torche, et pointa la lampe vers le bas. J'hésita quelques secondes à appuyer sur le bouton. Je tremblais beaucoup. Finalement, j'osa presser le petit bouton. La lumière était tellement forte que je fus moi même éblouit. Je crois que j'avais une Mag-Light dans les mains, et pas seulement une lampe torche pour gamin de 6 ans et demi. Une fois mes yeux habitués, je me rendis compte qu'il n'y avait rien, absolument rien. Les autres s'approchèrent de moi, et nous descendirent un à un, chacun notre tour, à l'étage. J'éclaira rapidement celui ci. Nous étions dans un long couloir, où le sol était en bois, ainsi que les murs. Cependant, de longs tapis recouvraient le sol. Comment la chose auraient pu faire ainsi ces bruits de pas sur le sol ? Cela voudrait-il dire que la chose marchait sur les murs ?
Je n'eu pas le temps de trop réfléchir à la question, que déjà un bruit strident et terrifiant retentit au bout du couloir. On aurait dit un cri de bête, même si je n'avais jamais entendu ce son auparavant. Je ne pris même pas la peine d'éclairer, que déjà nous prenions la fuite du côté opposé du cri, en courant, en pleurant, pour la plupart. Nous étions tous terrorisés. Les étranges bruits de pas nous suivaient. La bête était des fois proche, des fois plus éloignés. Il y avait toujours cette étrange irrégularité, qui était des plus horrifiante.
J'avais un bon rythme de course, et, j'étais devant, je me croyais en sécurité, car je me disais que la bête attraperait le plus lent d'entre nous. Malheureusement, je glissa sur un tapis qui était sans doute mal placé, et je tomba de tout mon long. La lampe rebondit deux fois sur le sol avant de rouler, éclairant du côté de la bête. Je me tourna, et j'entendis les pas se rapprocher de plus en plus vite. Mon c½ur battait de plus en plus fort, et je pensais que, aujourd'hui, ce serait mon dernier jour de vie.
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Pour les ignorants, voici une mag-light : http://2.bp.blogspot.com/-y0wzXenjBnY/TwQ4h2z2NwI/AAAAAAAABBU/_XtwzClCtUM/s1600/Maglight.JPG
Tous se figèrent, en voyant ces deux yeux brillants. Sauf Valentine, qui s'extasia, et se mit accroupie, en lâchant des petits "Minou minou !". Les yeux vinrent vers nous, le "monstre" sortit par la trappe, et sauta sur les genoux de Valentine en ronronnant. C'est simplement un chat. Un chat qui nous avait totalement terrorisé... On se regarda, tous, et certains se sentaient ridicule. Non, nous nous sentions tous ridicules. Le chat finit par s'en aller, après que Valentine l'est poussé un peu, et soit descendu la première dans la trappe. Elle poussa un cri de terreur. On sauta tous dans le grenier, et... Rien. Valentine était morte de rire. Elle s'était foutue de nous. Une fois de plus...
Après que l'on se soit remis de nos émotions, on décida de regarder un peu plus en profondeur ce grenier. Des cartons étaient empilés de partout, des vieux, des moins vieux. George trouva même une guitare électrique, une Gibson. Moi je trouva juste ce qu'il nous fallait : Une lampe torche. C'est vrai qu'on avait pas pensé à en prendre une, en partant, elle pourrait nous être utile. Marwan trouva des bibelots, Luc quelques bijoux, et Alexandra trouva des livres de rituels sataniques. On les ouvrit. Les pages étaient toutes vierges. Jules nous expliqua que, dans les légendes, il fallait réciter une formule satanique pour pouvoir lire ce genre de livres sacrés, et écrit par Satan lui même. Les autres n'étant que des faux, des imitations. Je trouvais ça drôle et inquiétant à la fois. Valentine trouva même quelques livres de magies, expliquant les tours en détails, ainsi que des accessoires.
Marwan fit remarquer que, étrangement, on entendait aucun son provenant de la maison. Il était vrai que l'on avait rien entendu à part nos voix et notre brouhaha. Je me disais qu'après tout, le manoir était très grand, et que cela pouvait être tout à fait normal s'ils étaient au rez de chaussé. Je ne chercha pas à me poser plus de question, et je m'empressa de chercher comment descendre dans le manoir, sortir du grenier, en quelques sortes. Et, fort heureusement, ce ne fut pas long avant que je découvre la petite trappe - Ce manoir devait en être infesté - permettant de redescendre à l'étage. Je m'approcha d'elle, et tendis la main vers la poignée. Je me stoppa net.
Soudain, un bruit étrange me terrifia. Des bruits de pas, de quelqu'un, ou plutôt quelque chose, qui courrait, à l'étage. Ça ne pouvait pas être un chat, un chien, ou un quelconque animal, cette fois-ci. C'était un son métallique qui frappait contre du bois. Une petite clochette raisonnée dans tout l'étage. Ce ne pouvait pas être un chat, c'était trop rapide et trop irrégulier pour que ce soit le cas. J'osa à peine me retourner pour regarder les autres. Ils étaient tout autant terrifiés que moi ?
"C'était quoi, ça ? lâcha Alexandra
- Aucune idée, lui répondis-je, mais on va bien finir par le savoir."
J'ouvris lentement la trappe. Je me rendis compte qu'il fallait, une fois de plus, se laisser tomber pour passer à l'étage inférieur. L'étage n'était pas éclairé, ce qui rendait la chose encore plus effrayante. Il n'y avait pas un bruit. Je pris ma lampe torche, et pointa la lampe vers le bas. J'hésita quelques secondes à appuyer sur le bouton. Je tremblais beaucoup. Finalement, j'osa presser le petit bouton. La lumière était tellement forte que je fus moi même éblouit. Je crois que j'avais une Mag-Light dans les mains, et pas seulement une lampe torche pour gamin de 6 ans et demi. Une fois mes yeux habitués, je me rendis compte qu'il n'y avait rien, absolument rien. Les autres s'approchèrent de moi, et nous descendirent un à un, chacun notre tour, à l'étage. J'éclaira rapidement celui ci. Nous étions dans un long couloir, où le sol était en bois, ainsi que les murs. Cependant, de longs tapis recouvraient le sol. Comment la chose auraient pu faire ainsi ces bruits de pas sur le sol ? Cela voudrait-il dire que la chose marchait sur les murs ?
Je n'eu pas le temps de trop réfléchir à la question, que déjà un bruit strident et terrifiant retentit au bout du couloir. On aurait dit un cri de bête, même si je n'avais jamais entendu ce son auparavant. Je ne pris même pas la peine d'éclairer, que déjà nous prenions la fuite du côté opposé du cri, en courant, en pleurant, pour la plupart. Nous étions tous terrorisés. Les étranges bruits de pas nous suivaient. La bête était des fois proche, des fois plus éloignés. Il y avait toujours cette étrange irrégularité, qui était des plus horrifiante.
J'avais un bon rythme de course, et, j'étais devant, je me croyais en sécurité, car je me disais que la bête attraperait le plus lent d'entre nous. Malheureusement, je glissa sur un tapis qui était sans doute mal placé, et je tomba de tout mon long. La lampe rebondit deux fois sur le sol avant de rouler, éclairant du côté de la bête. Je me tourna, et j'entendis les pas se rapprocher de plus en plus vite. Mon c½ur battait de plus en plus fort, et je pensais que, aujourd'hui, ce serait mon dernier jour de vie.
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