Note de la fic :
Publié le 08/05/2012 à 21:51:21 par WhatCanIDo
Salut chers lecteurs, vous avez décidé de continuer l'aventure et ne pas faire vos fiottes après avoir lu le prologue, j'en suis heureux. Maintenant, trêve de conneries, passons à l'histoire.
Je vais mimer ça à la façon d'une pièce de théâtre, ne me demandez pas pourquoi. Aussi, je n'ai pas changé de style d'écriture, juste de la façon dont je joue le narrateur, comme si j'étais un de vos proches. Enfin, ça on s'en fout, maintenant je vous présente les acteurs.
La scène, alors essayez de l'imaginer, c'est une salle de classe d'un lycée n'étant pas du tout moderne. Le lycée Ynoga, vieux de trois-quatre siècles. Certes les salles ont été aménagées mais l'endroit est très spacieux, on se perd ultra-facilement dans ce bahut. Son allure sombre fait même penser à un manoir hanté, rien d'enthousiasme pour les nouveaux-arrivants.
Bref, et dans cette salle de classe, je vais maintenant me mettre à la place du professeur principal, monsieur Gilbert (ouais j'ai pas trouvé mieux comme nom de famille..). Il est prof de maths et enseigne cette matière depuis des lustres. Chaque jour il pense à sa retraite bien méritée.. Il a une très bonne réputation dans le lycée, car c'est lui qui a pu emmener énormément d'élèves en S, alors qu'ils pataugeaient à 6 de moyenne maximum. Un bon gars, exigeant, mais cool.
Désormais, je suis dans son esprit et la narration se fera à partir de son cerveau, pas du mien.
" Oh putain la vache.. Ils ont vraiment des sales gueules eux. Un peu moins de quarante ballets que j'enseigne, j'en ai jamais vu des pareils, non mais c'est aberrant, le lycée accepte n'importe qui, enfin plutôt n'importe quoi de nos jours.. Ils pensent pas à leur avenir les gosses.. Bordel, mais qu'est-ce qu'elle fait elle au fond avec ses allures de pute.. On dirait vraiment des terroristes les gosses. Si je prends la parole, l'un deux va sortir un colt.. Bon je fais quoi, ça fait cinq minutes qu'ils me regardent attendant que je les salue et que je me mette à genoux. Jamais j'ai connu une situation si embarrassante. A ceux qui m'écoutent, ne devenez jamais professeur, ça peut vous réserver des surprises inimaginables.. Bon allez je me lance.. On y va..
Je toussote pour dégager les saloperies qu'il y a dans ma gorge, puis prends la parole, après tout c'est moi le boss ici, ils vont pas m'emmerder..
- Bonjour tout le monde, je suis votre P.P, monsieur Gilbert, enchanté.
Et là, des regards atroces, froids. Juste un p'tit lèche-cul à lunettes au premier rang qui me fixe depuis le début de l'heure et qui a hurlé de toutes ses forces : " Bonjour monsieur ! " pour bien qu'on le reconnaisse. C'que je déteste ce genre de mecs.. Cette classe a tout pour déplaire. La moitié endormis au fond de la classe, l'autre mongole d'hyper-actif qui dans trente minutes cirera mes pompes, la salope, les mécheux mi-homme mi-femme, le bourge.. On va s'amuser cette année putain. Bref, je leur distribue pleins de paperasses qui sert à rien, leur emploi du temps (bien pourri au passage) et leur énonce les règles du lycée, qu'ici on est dans la cour des grands, etc etc.. La plupart n'écoute clairement pas et préfère se foutre de ma gueule, je les vois d'ici. Pressé de rentrer chez moi et me poser devant la télé, ils m'ont déjà saoulé, or j'ai pas encore acheté ma p'tite bouteille de vodka..
Je me demande bien ce qu'ils pensent actuellement.
Ah cette seconde 4, la galère ultime..
Je vais mimer ça à la façon d'une pièce de théâtre, ne me demandez pas pourquoi. Aussi, je n'ai pas changé de style d'écriture, juste de la façon dont je joue le narrateur, comme si j'étais un de vos proches. Enfin, ça on s'en fout, maintenant je vous présente les acteurs.
La scène, alors essayez de l'imaginer, c'est une salle de classe d'un lycée n'étant pas du tout moderne. Le lycée Ynoga, vieux de trois-quatre siècles. Certes les salles ont été aménagées mais l'endroit est très spacieux, on se perd ultra-facilement dans ce bahut. Son allure sombre fait même penser à un manoir hanté, rien d'enthousiasme pour les nouveaux-arrivants.
Bref, et dans cette salle de classe, je vais maintenant me mettre à la place du professeur principal, monsieur Gilbert (ouais j'ai pas trouvé mieux comme nom de famille..). Il est prof de maths et enseigne cette matière depuis des lustres. Chaque jour il pense à sa retraite bien méritée.. Il a une très bonne réputation dans le lycée, car c'est lui qui a pu emmener énormément d'élèves en S, alors qu'ils pataugeaient à 6 de moyenne maximum. Un bon gars, exigeant, mais cool.
Désormais, je suis dans son esprit et la narration se fera à partir de son cerveau, pas du mien.
" Oh putain la vache.. Ils ont vraiment des sales gueules eux. Un peu moins de quarante ballets que j'enseigne, j'en ai jamais vu des pareils, non mais c'est aberrant, le lycée accepte n'importe qui, enfin plutôt n'importe quoi de nos jours.. Ils pensent pas à leur avenir les gosses.. Bordel, mais qu'est-ce qu'elle fait elle au fond avec ses allures de pute.. On dirait vraiment des terroristes les gosses. Si je prends la parole, l'un deux va sortir un colt.. Bon je fais quoi, ça fait cinq minutes qu'ils me regardent attendant que je les salue et que je me mette à genoux. Jamais j'ai connu une situation si embarrassante. A ceux qui m'écoutent, ne devenez jamais professeur, ça peut vous réserver des surprises inimaginables.. Bon allez je me lance.. On y va..
Je toussote pour dégager les saloperies qu'il y a dans ma gorge, puis prends la parole, après tout c'est moi le boss ici, ils vont pas m'emmerder..
- Bonjour tout le monde, je suis votre P.P, monsieur Gilbert, enchanté.
Et là, des regards atroces, froids. Juste un p'tit lèche-cul à lunettes au premier rang qui me fixe depuis le début de l'heure et qui a hurlé de toutes ses forces : " Bonjour monsieur ! " pour bien qu'on le reconnaisse. C'que je déteste ce genre de mecs.. Cette classe a tout pour déplaire. La moitié endormis au fond de la classe, l'autre mongole d'hyper-actif qui dans trente minutes cirera mes pompes, la salope, les mécheux mi-homme mi-femme, le bourge.. On va s'amuser cette année putain. Bref, je leur distribue pleins de paperasses qui sert à rien, leur emploi du temps (bien pourri au passage) et leur énonce les règles du lycée, qu'ici on est dans la cour des grands, etc etc.. La plupart n'écoute clairement pas et préfère se foutre de ma gueule, je les vois d'ici. Pressé de rentrer chez moi et me poser devant la télé, ils m'ont déjà saoulé, or j'ai pas encore acheté ma p'tite bouteille de vodka..
Je me demande bien ce qu'ils pensent actuellement.
Ah cette seconde 4, la galère ultime..