Note de la fic :
Death in space
Par : xtremD4rk
Genre : Science-Fiction, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 6 : Nouvelle identité
Publié le 27/05/2012 à 18:46:52 par xtremD4rk
Nous étions sur la route depuis un bon bout de temps à présent. Elle commence à avoir faim et elle me le fait bien ressentir. Je m'arrête au bord de la route. J'ouvre le coffre et je lui donne quelques petits trucs à grignoter. J'entends un petits soupir laissant prétendre que c'est un merci.
Je commence à être complétement crevé moi. Il faut trouver un abris afin que je puisse dormir et elle aussi. Je connais un motel pas loin d'ici, quand avant je faisais le trajet afin d'aller retrouver émilie, je passais par ce petit motel.
Nous sommes arrivés à ce fameux motel. Je prend mon arme, au cas où. J'ouvre la porte doucement, un automate s'approche de nous en nous disant merci d'avoir choisi d'être venu ici et blablabla. Apparemment nous sommes seuls. Je rentre mon emprunte digitale à coté de la chambre que j'ai choisi, une chambre à 4, vaut mieux avoir beaucoup d?espace.
On monte les escaliers, en restant sur nos gardes. C'est parfait ici. J'ouvre la porte, mais j'entends un bruit suspects à l'intérieur. Sarah me prend par la main. Je lui fait signe de ne pas avoir peur et je rentre furtivement dans la chambre. C'est juste un corbeau. Qui a fait tomber l'armoire. Je ferme la porte à double tour, et ont vas tout les deux se coucher, chacun dans notre lit. Elle me dit bonne nuit et rentre dans sa chambre.
Je m'endort directement. Avec une fatigue pareille, personne ne peut tenir plus d'une heure.
Je rêve... Je rêve d'elle. Le temps où nous nous aimions, le temps où j'étais vraiment heureux. Comment oublier quelque chose d'inoubliable? Je n'ai jamais trouver la solution à cette question.
J'ouvre les yeux. Mon propre pistolet se trouve sur ma tempe. J'entends une voix féminine me disant:
"Maintenant je vais partir, avec tout ce que tu as. Ta voiture, ton arme. Je préfère te dire que ce soir tu vas mourir. Mais avant il faut que je te dise quelque chose. Je n'ai jamais vu un mec aussi con, pommé et naïf que toi. Je tenais vraiment à te le dire."
Elle essaye d'appuyer sur la détente. Mais je sent bien qu'elle à beaucoup de mal de ce faire à l'idée qu'elle vas tuer quelqu'un. J'en profite pour lui enlever son arme des mains. Je lui dit:
----Alors maintenant c'est qui, qui va mourir ce soir?
Prend la chaise derrière toi et assis toi dessus.
Je l'attache à l'aide d'une corde que j'avais pris, aux cas où, on aurait eu le besoin de sortir par la fenêtre. Je m'assois sur le lit en fasse d'elle.
"Je ne te cache pas que tu vas mourir ce soir. A oui, aussi je voulais te dire que je n'ai jamais vu une femme aussi pommé, conne et naïf comme toi."
Je m'approche d'elle lentement, je sent bien qu'elle est paniqué, mais elle ne peut rien dire, grâce à cette fabuleuse invention nommée ruban adhésif. Je lui enfonce lentement le couteau dans le ventre. Elle essaye de crier, mais elle ne peut pas. Je m'assois en face d'elle et je la regarde s'éteindre, une mort lente et douloureuse. C'est étrange mais j'aime ça... Chaque larme, chaque cris me procure un tel plaisir... Peut être que je devient fou mais c'est tellement jouissif. Mais je ne vais pas m’arrêter là... Je reprend ce couteau, que je rappelle non laser, et je lui coupe un doigt, l'index précisément. Je vois sa bave à travers le scoth. Le sang coule de partout. Je lui coupe chaque doigts de la main, en prenant soin de ne pas le faire trop rapidement. Après quelques minutes de torture, elle meurt enfin.
Je souffle un bon coup. Déjà ça, c'est fait. Le soleil commence à se lever. Heureusement que le dôme nous protège de se soleil meurtrier.
Soudain, j'entends plusieurs hurlements dehors. Je regarde par la fenêtre. Ils y en as des dizaines, qui se dirigent tous vers le motel...
Je commence à être complétement crevé moi. Il faut trouver un abris afin que je puisse dormir et elle aussi. Je connais un motel pas loin d'ici, quand avant je faisais le trajet afin d'aller retrouver émilie, je passais par ce petit motel.
Nous sommes arrivés à ce fameux motel. Je prend mon arme, au cas où. J'ouvre la porte doucement, un automate s'approche de nous en nous disant merci d'avoir choisi d'être venu ici et blablabla. Apparemment nous sommes seuls. Je rentre mon emprunte digitale à coté de la chambre que j'ai choisi, une chambre à 4, vaut mieux avoir beaucoup d?espace.
On monte les escaliers, en restant sur nos gardes. C'est parfait ici. J'ouvre la porte, mais j'entends un bruit suspects à l'intérieur. Sarah me prend par la main. Je lui fait signe de ne pas avoir peur et je rentre furtivement dans la chambre. C'est juste un corbeau. Qui a fait tomber l'armoire. Je ferme la porte à double tour, et ont vas tout les deux se coucher, chacun dans notre lit. Elle me dit bonne nuit et rentre dans sa chambre.
Je m'endort directement. Avec une fatigue pareille, personne ne peut tenir plus d'une heure.
Je rêve... Je rêve d'elle. Le temps où nous nous aimions, le temps où j'étais vraiment heureux. Comment oublier quelque chose d'inoubliable? Je n'ai jamais trouver la solution à cette question.
J'ouvre les yeux. Mon propre pistolet se trouve sur ma tempe. J'entends une voix féminine me disant:
"Maintenant je vais partir, avec tout ce que tu as. Ta voiture, ton arme. Je préfère te dire que ce soir tu vas mourir. Mais avant il faut que je te dise quelque chose. Je n'ai jamais vu un mec aussi con, pommé et naïf que toi. Je tenais vraiment à te le dire."
Elle essaye d'appuyer sur la détente. Mais je sent bien qu'elle à beaucoup de mal de ce faire à l'idée qu'elle vas tuer quelqu'un. J'en profite pour lui enlever son arme des mains. Je lui dit:
----Alors maintenant c'est qui, qui va mourir ce soir?
Prend la chaise derrière toi et assis toi dessus.
Je l'attache à l'aide d'une corde que j'avais pris, aux cas où, on aurait eu le besoin de sortir par la fenêtre. Je m'assois sur le lit en fasse d'elle.
"Je ne te cache pas que tu vas mourir ce soir. A oui, aussi je voulais te dire que je n'ai jamais vu une femme aussi pommé, conne et naïf comme toi."
Je m'approche d'elle lentement, je sent bien qu'elle est paniqué, mais elle ne peut rien dire, grâce à cette fabuleuse invention nommée ruban adhésif. Je lui enfonce lentement le couteau dans le ventre. Elle essaye de crier, mais elle ne peut pas. Je m'assois en face d'elle et je la regarde s'éteindre, une mort lente et douloureuse. C'est étrange mais j'aime ça... Chaque larme, chaque cris me procure un tel plaisir... Peut être que je devient fou mais c'est tellement jouissif. Mais je ne vais pas m’arrêter là... Je reprend ce couteau, que je rappelle non laser, et je lui coupe un doigt, l'index précisément. Je vois sa bave à travers le scoth. Le sang coule de partout. Je lui coupe chaque doigts de la main, en prenant soin de ne pas le faire trop rapidement. Après quelques minutes de torture, elle meurt enfin.
Je souffle un bon coup. Déjà ça, c'est fait. Le soleil commence à se lever. Heureusement que le dôme nous protège de se soleil meurtrier.
Soudain, j'entends plusieurs hurlements dehors. Je regarde par la fenêtre. Ils y en as des dizaines, qui se dirigent tous vers le motel...