Note de la fic : 
Publié le 04/06/2012 à 03:01:32 par Eos
« Han... Mais ou est-ce que j'ai atterrit ?... »
C'est à plusieurs kilomètres de nos quatre naufragés que cette question fut posée par une pauvre âme perdue. Il s’agissait d’une jeune fille qui se dandinait dans le sable, avec une démarche quelque peu comique. Ses vêtement étaient dans un état lamentable, du fait de l'affrontement avec un lapin –adulte- qui avait eut lieu auparavant dans une oasis. Notre nouvelle amie errait sans but évident dans le désert, attendant que la mort vienne la délivrer de sa prison sans mur, et avec du sable.
Au campement des perdants, tout le monde était levé, sauf Emeline. Alexis et Ina voulaient la réveiller, mais ViNs pratiquait un blocus stratégique de l'ouverture, pour la seule et unique raison qu'il fallait...
« La laisser dormir, après elle va pas être de bonne humeur ! Cria-t-il sans se rendre compte que le ton qu'il avait adopté aurait suffit à la réveiller 15 fois.
- Mais elle va cuire là dedans ! La tente va devenir un four avec le soleil qui commence à taper... répliqua Ina.
- Et puis justement, il faut profiter de la fraîcheur du désert pour avancer plus rapidement, protesta l'oriental.
- Vous ne passerez pas, il s'agît d'Emeline, et vous la laisserez récupérer aussi longtemps qu'elle le souhaitera ! S'entêtait ViNs.
- Allez, bouge de là...
- Tu vas tâter de mon épée, MÉCRÉANT !
- Laissez-moi sortir ! S'étouffait Emeline, du fond de son abri.»
ViNs s'écarta, en riant nerveusement, puis commença à ranger les tentes avec Alexis. Emeline et Ina mangèrent, et ce qui devait arriver arriva. En laissant à Emeline le soin de rationner la nourriture, ils n'avaient déjà presque plus rien à manger. ViNs laissa sa part aux autres. Il regarda son téléphone afin d'avoir l'heure, mais il fut très étonné quand ce dernier indiquait trois heures quatorze.
« Voilà qui est intéressant...
- De quoi ? Demanda Emeline.
- Vous avez quelle heure, vous ?
Moi j'ai... trois heures et quart du matin. Annonça Alexis.
Pareil pour moi, continua Emeline, puis Ina par la suite.
Voilà pourquoi la journée d'hier nous a paru longue. On ne peut pas se fier à nos portables. Tant qu'à faire, éteignez les... »
Ils s'exécutèrent, rangèrent leurs sacs et reprirent la marche. Ils voyagèrent toute la journée sans trop d'incidents, à l'exception de la rencontre d'Emeline avec un scorpion, où ViNs dût s'interposer avant que la bête ne soit blessée d'un coup d'épée maladroit de la part de la demoiselle en détresse.
Le soir s'approchait de plus en plus, le groupe était fatigué, ViNs et Alexis reprirent leur installation du campement aux alentours de 19h. Ils étaient rassemblés sur grande dune en face de leurs abris, Alors qu'une violente tempête de sable apparu soudainement.
« Quel est le connard qui nous a fait s'installer ici ? Questionna Alexis.
C'est toi, il me semble, répondit Emeline.
Allez, tous aux tentes, vite ! Termina ViNs. »
Nos quatre amis, dans la plus grande anarchie, entrèrent en catastrophe dans leurs abris de tissu. C'est alors qu'ils s'aperçurent qu'il n'y avait pas trop de fuites, et qu'ils n'étaient pas très bien répartis, ViNs se retrouvait avec Ina. D'ailleurs. Ils décidèrent de passer la nuit ainsi, ne souhaitant pas retourner dans leurs tentes respectives, parce que leurs narines étaient déjà pleines de grains de sable.
« Je me demande vraiment dans quel coin du monde on s'est retrouvés... se questionnait Ina.
- Moi, ça me ferait presque penser à quelque chose mais...
- Ca te fait penser à quoi ?
- Nan, c'est pas possible en fait, ce doit être quelques coïncidences.
- Ah.
- J'ai besoin de dormir... Ou alors ce doit être le soleil.
- Tu veux que je te laisse dormir ?
- Non, tu ne me déranges pas. De toute façon je n'ai pas sommeil. »
La discussion tournait au bide, et ils s'endormirent peu à peu. La nuit fut des plus calmes, si ce n'est qu'au petit matin, ViNs s'était réveillé bien avant les autres. Il sortît de sa tente, à moitié ensablée et monta sur un petit monticule, juste derrière. Il se mit à hurler, afin de réveiller ses compagnons.
Après plusieurs essais, il laissa tomber. Tout le monde dormait encore, il s'éloigna donc du campement, alors que la clarté du matin commençait à peine à se manifester. Il profitait de la fraîcheur matinale pour observer au loin s'il ne voyait pas un point d'eau. Alors qu'il scrutait les environs, un étrange point dont la couleur était différente du blanc-jaune du sable vint à attirer son attention. En effet, l'imprudente déambulant la veille était arrivée jusque là, sans bien faire exprès. C'est uniquement grâce à la chance qu'elle n'allait pas mourir de soif. ViNs descendit pour voir cela de plus prêt. Il s’agissait d’une charmante créature brune aux cheveux un peu ondulés, aux formes alléchante au moins de dos, et fine comme une pizza. En s’approchant, le maître nageur reconnut une amie. Il la remonta au campement, tant bien que mal. Elle s’appelait Victoria.
[c]_________[/c]
Nous voici arrivés au chapitre 5, et je lance un sondage pour savoir si la suite de cette histoire vous intéresse.
Je me répète, mais il s'agit d'une histoire que j'écris pour m'amuser, et dont je ne consacre pas tant d'effort que pour Vordurald, un autre histoire que j'ai posté ici.
Si la suite intéresse assez de monde, je continuerai à la poster, et ferai un sondage tous les 5 chapitres.
Si ce n'est pas le cas, je continuerai là ou je me suis arrêté (au chapitre 15, jusqu'au 27 dans un premier temps) pour mes amis, qui eux sont intéressés depuis le début !
Bonne soirée !
C'est à plusieurs kilomètres de nos quatre naufragés que cette question fut posée par une pauvre âme perdue. Il s’agissait d’une jeune fille qui se dandinait dans le sable, avec une démarche quelque peu comique. Ses vêtement étaient dans un état lamentable, du fait de l'affrontement avec un lapin –adulte- qui avait eut lieu auparavant dans une oasis. Notre nouvelle amie errait sans but évident dans le désert, attendant que la mort vienne la délivrer de sa prison sans mur, et avec du sable.
Au campement des perdants, tout le monde était levé, sauf Emeline. Alexis et Ina voulaient la réveiller, mais ViNs pratiquait un blocus stratégique de l'ouverture, pour la seule et unique raison qu'il fallait...
« La laisser dormir, après elle va pas être de bonne humeur ! Cria-t-il sans se rendre compte que le ton qu'il avait adopté aurait suffit à la réveiller 15 fois.
- Mais elle va cuire là dedans ! La tente va devenir un four avec le soleil qui commence à taper... répliqua Ina.
- Et puis justement, il faut profiter de la fraîcheur du désert pour avancer plus rapidement, protesta l'oriental.
- Vous ne passerez pas, il s'agît d'Emeline, et vous la laisserez récupérer aussi longtemps qu'elle le souhaitera ! S'entêtait ViNs.
- Allez, bouge de là...
- Tu vas tâter de mon épée, MÉCRÉANT !
- Laissez-moi sortir ! S'étouffait Emeline, du fond de son abri.»
ViNs s'écarta, en riant nerveusement, puis commença à ranger les tentes avec Alexis. Emeline et Ina mangèrent, et ce qui devait arriver arriva. En laissant à Emeline le soin de rationner la nourriture, ils n'avaient déjà presque plus rien à manger. ViNs laissa sa part aux autres. Il regarda son téléphone afin d'avoir l'heure, mais il fut très étonné quand ce dernier indiquait trois heures quatorze.
« Voilà qui est intéressant...
- De quoi ? Demanda Emeline.
- Vous avez quelle heure, vous ?
Moi j'ai... trois heures et quart du matin. Annonça Alexis.
Pareil pour moi, continua Emeline, puis Ina par la suite.
Voilà pourquoi la journée d'hier nous a paru longue. On ne peut pas se fier à nos portables. Tant qu'à faire, éteignez les... »
Ils s'exécutèrent, rangèrent leurs sacs et reprirent la marche. Ils voyagèrent toute la journée sans trop d'incidents, à l'exception de la rencontre d'Emeline avec un scorpion, où ViNs dût s'interposer avant que la bête ne soit blessée d'un coup d'épée maladroit de la part de la demoiselle en détresse.
Le soir s'approchait de plus en plus, le groupe était fatigué, ViNs et Alexis reprirent leur installation du campement aux alentours de 19h. Ils étaient rassemblés sur grande dune en face de leurs abris, Alors qu'une violente tempête de sable apparu soudainement.
« Quel est le connard qui nous a fait s'installer ici ? Questionna Alexis.
C'est toi, il me semble, répondit Emeline.
Allez, tous aux tentes, vite ! Termina ViNs. »
Nos quatre amis, dans la plus grande anarchie, entrèrent en catastrophe dans leurs abris de tissu. C'est alors qu'ils s'aperçurent qu'il n'y avait pas trop de fuites, et qu'ils n'étaient pas très bien répartis, ViNs se retrouvait avec Ina. D'ailleurs. Ils décidèrent de passer la nuit ainsi, ne souhaitant pas retourner dans leurs tentes respectives, parce que leurs narines étaient déjà pleines de grains de sable.
« Je me demande vraiment dans quel coin du monde on s'est retrouvés... se questionnait Ina.
- Moi, ça me ferait presque penser à quelque chose mais...
- Ca te fait penser à quoi ?
- Nan, c'est pas possible en fait, ce doit être quelques coïncidences.
- Ah.
- J'ai besoin de dormir... Ou alors ce doit être le soleil.
- Tu veux que je te laisse dormir ?
- Non, tu ne me déranges pas. De toute façon je n'ai pas sommeil. »
La discussion tournait au bide, et ils s'endormirent peu à peu. La nuit fut des plus calmes, si ce n'est qu'au petit matin, ViNs s'était réveillé bien avant les autres. Il sortît de sa tente, à moitié ensablée et monta sur un petit monticule, juste derrière. Il se mit à hurler, afin de réveiller ses compagnons.
Après plusieurs essais, il laissa tomber. Tout le monde dormait encore, il s'éloigna donc du campement, alors que la clarté du matin commençait à peine à se manifester. Il profitait de la fraîcheur matinale pour observer au loin s'il ne voyait pas un point d'eau. Alors qu'il scrutait les environs, un étrange point dont la couleur était différente du blanc-jaune du sable vint à attirer son attention. En effet, l'imprudente déambulant la veille était arrivée jusque là, sans bien faire exprès. C'est uniquement grâce à la chance qu'elle n'allait pas mourir de soif. ViNs descendit pour voir cela de plus prêt. Il s’agissait d’une charmante créature brune aux cheveux un peu ondulés, aux formes alléchante au moins de dos, et fine comme une pizza. En s’approchant, le maître nageur reconnut une amie. Il la remonta au campement, tant bien que mal. Elle s’appelait Victoria.
[c]_________[/c]
Nous voici arrivés au chapitre 5, et je lance un sondage pour savoir si la suite de cette histoire vous intéresse.
Je me répète, mais il s'agit d'une histoire que j'écris pour m'amuser, et dont je ne consacre pas tant d'effort que pour Vordurald, un autre histoire que j'ai posté ici.
Si la suite intéresse assez de monde, je continuerai à la poster, et ferai un sondage tous les 5 chapitres.
Si ce n'est pas le cas, je continuerai là ou je me suis arrêté (au chapitre 15, jusqu'au 27 dans un premier temps) pour mes amis, qui eux sont intéressés depuis le début !
Bonne soirée !
