Note de la fic :
Publié le 27/01/2009 à 16:37:05 par joejojochba2
-Merde! Combien? S'exclama Vito.
-Deux fourgons du GIGN et de la BRI!
Vito pris un air résigné, il se tourna vers nous:
-Partez! Partez vite!
-Mais...Vito, on vas pas vous laisser comme ça! S'exclama mon père
Vito avait fait comme si il n'avait pas entendu puis il dit à Bruno:
-Bruno! pars avec eux! On vous couvre, prenez la voiture dans le garage! Puis il arracha la mitraillette des mains d'Aldo.
-Vito...Dit mon père
-Ecoute, les deux femmes que j'ai le plus aimées au monde sont mortes ici, je vais les rejoindre, il y a tres longtemps que j'attendais ce moment, je vais mourrir en soldat, c'est mon destin.
Bruno nous emmenat mon Père, Aldo Philipo et moi dans le garage tandis que Vito et ses hommes rechargèrent leurs armes.
Nous arrivâmes devant un Audi Break, nous y montâmes puis Aldo démarat en trombe.
-Je vais nous emmener à l'hotêl que tient ma cousine, vous inquiétez pas.
Tandis que nous nous éloignâmes de la propriété, je regardai la somptueuse villa , soudain une explosion me fit sursauter, les hommes en noir pénétraient dans le jardin, Vito ne tira pas, il attendais, 2 de ses hommes étaient déja au tapis, puis quand les agents s'approchèrent de lui, il les visas, 2 détonations le firent chuter, un empereur venait de tomber. La voiture s'eloignat et la maison disparut dérrière une montagne.
Je me levai vers 10 heures le lendemain, je n'etais pas encore tout à fait remis des évènements de la veille, je vis le journal du matin posé sur ma table basse, je le pris. Sur la premiere page, on pouvait lire ceci:
2 FUSILLADES ENTRE LES FORCES DE L'ORDRE ET DES MALFAITEURS FONT 3 MORTS ET 1 BLESSE.
Hier au soir aux envirrons de 20 heures 30, l'hopital central de Bastia à été le theatre d'une violente fusillade qui à continué jusqu'a St Florent ou elle s'est achevée dramatiquement à 21 heures.
Tout à commencé quand un commando armé s'est infiltré dans l'hopital afin de délivrer Philipo Alandini, membre important du groupuscule nationaliste Corsica Nazionale, qui était intérné pour une durée de 3 semaine après s'est grievement bléssé en manipulant des explosifs. Les hommes, vraisemblablement 3 dont un chauffeur qui attendait dans un véhicule non identifié, auraient assomé un gendarme qui était en surveillance devant la porte de la chambre d'Alandini.
S'en est suivi un violente fusillade qui ont opposé les forces de l'ordre aux malfaiteurs armés de pistolets mitrailleurs, qui a bléssé grievement un gendarme, ses jours ne sont pas en danger.
Une incroyable course poursuite a alors donné lieu à 2 carambolages de voitures de police après avoir été mitraillées par un des hommes, sans faire de bléssés.
L'escapade à duré jusqu'a St Florent ou les membres du GIGN et de la BRI ont mené une opération conjointe dans la propriété de Vito Trapani, 84 ans, préjujé "Parrain" d'un des plus grands clan mafieux Corse, la Famiglia de la Cruz, anciennement dirigée par son meilleur ami, Don Leandri, retrouvé mort criblé de balles en 1954. Les circonstances n'ont toujours pas été définies à ce jour.
Les membres des équipes d'intervention se sont retrouvés face à une farouche résistance, 3 hommes ont été abbatus par les forces de l'ordre, dont Vito Trapani.
4 personnes ont été apréhendées, Philipo Alandini et ses "ravisseurs" n'ont toujours pas été retrouvés.
La question est maintenant: Qui a fait évadé Philipo, ou se trouve t-il et surtout, qui l'a sorti de l'hopital: Mafieux ou Nationalistes?
-Deux fourgons du GIGN et de la BRI!
Vito pris un air résigné, il se tourna vers nous:
-Partez! Partez vite!
-Mais...Vito, on vas pas vous laisser comme ça! S'exclama mon père
Vito avait fait comme si il n'avait pas entendu puis il dit à Bruno:
-Bruno! pars avec eux! On vous couvre, prenez la voiture dans le garage! Puis il arracha la mitraillette des mains d'Aldo.
-Vito...Dit mon père
-Ecoute, les deux femmes que j'ai le plus aimées au monde sont mortes ici, je vais les rejoindre, il y a tres longtemps que j'attendais ce moment, je vais mourrir en soldat, c'est mon destin.
Bruno nous emmenat mon Père, Aldo Philipo et moi dans le garage tandis que Vito et ses hommes rechargèrent leurs armes.
Nous arrivâmes devant un Audi Break, nous y montâmes puis Aldo démarat en trombe.
-Je vais nous emmener à l'hotêl que tient ma cousine, vous inquiétez pas.
Tandis que nous nous éloignâmes de la propriété, je regardai la somptueuse villa , soudain une explosion me fit sursauter, les hommes en noir pénétraient dans le jardin, Vito ne tira pas, il attendais, 2 de ses hommes étaient déja au tapis, puis quand les agents s'approchèrent de lui, il les visas, 2 détonations le firent chuter, un empereur venait de tomber. La voiture s'eloignat et la maison disparut dérrière une montagne.
Je me levai vers 10 heures le lendemain, je n'etais pas encore tout à fait remis des évènements de la veille, je vis le journal du matin posé sur ma table basse, je le pris. Sur la premiere page, on pouvait lire ceci:
2 FUSILLADES ENTRE LES FORCES DE L'ORDRE ET DES MALFAITEURS FONT 3 MORTS ET 1 BLESSE.
Hier au soir aux envirrons de 20 heures 30, l'hopital central de Bastia à été le theatre d'une violente fusillade qui à continué jusqu'a St Florent ou elle s'est achevée dramatiquement à 21 heures.
Tout à commencé quand un commando armé s'est infiltré dans l'hopital afin de délivrer Philipo Alandini, membre important du groupuscule nationaliste Corsica Nazionale, qui était intérné pour une durée de 3 semaine après s'est grievement bléssé en manipulant des explosifs. Les hommes, vraisemblablement 3 dont un chauffeur qui attendait dans un véhicule non identifié, auraient assomé un gendarme qui était en surveillance devant la porte de la chambre d'Alandini.
S'en est suivi un violente fusillade qui ont opposé les forces de l'ordre aux malfaiteurs armés de pistolets mitrailleurs, qui a bléssé grievement un gendarme, ses jours ne sont pas en danger.
Une incroyable course poursuite a alors donné lieu à 2 carambolages de voitures de police après avoir été mitraillées par un des hommes, sans faire de bléssés.
L'escapade à duré jusqu'a St Florent ou les membres du GIGN et de la BRI ont mené une opération conjointe dans la propriété de Vito Trapani, 84 ans, préjujé "Parrain" d'un des plus grands clan mafieux Corse, la Famiglia de la Cruz, anciennement dirigée par son meilleur ami, Don Leandri, retrouvé mort criblé de balles en 1954. Les circonstances n'ont toujours pas été définies à ce jour.
Les membres des équipes d'intervention se sont retrouvés face à une farouche résistance, 3 hommes ont été abbatus par les forces de l'ordre, dont Vito Trapani.
4 personnes ont été apréhendées, Philipo Alandini et ses "ravisseurs" n'ont toujours pas été retrouvés.
La question est maintenant: Qui a fait évadé Philipo, ou se trouve t-il et surtout, qui l'a sorti de l'hopital: Mafieux ou Nationalistes?