Note de la fic :
Publié le 27/01/2009 à 16:34:16 par joejojochba2
Chapitre 10: Bruno
Il faisait froid ce matin de Novembre.
Il était envirron 7 heures, nous étions 3, Mon père Aldo et moi, dans la audi break qui qu'Aldo conduisait vers Marseille, nous avions déja atteind l'Allier, nous étions au milieu du voyage.
Ce voyage de nuit avait été éprouvant, une berline noire nous avait suivis une bonne partie du trajet, jusqu'a ce qu'Aldo réussisse à les semer.
-On fait quoi arrivés à Marseille ? Dis-je
-On prend le bateau pour la Corse au port. Arrivés la bas on ira chez Vito qui nous a laissé des armes au chaud, nous nous reposerons et en fin d'apres midi, Aldo ira rendre une petite visite à son frère à l'hopital de Bastia...
Dis mon père
-Ok, moi j'vais essayer de dormir
-Debout! Allez réveilles toi!
J'ouvris un oeil, puis deux, je vis mon père me secouer, nous étions au port de Marseille, juste devant le bateau qui allait nous amener à St Florent, ou vivait Vito.
-Allez! On part dans 10 minutes!
-Quoi? Deja?
-Ouis, il est 12h20, sors.
Je m'executas et montat à bord du navire.
J'alla sur le pont du bateau au Aldo et mon père buvaient un whisky.
-Tu connais Vito? Dis-je à Aldo
-Oui, j'ai eu la chance de le rencontrer il y a quelques années, c'est un privilege tu sais, je suis devenu son garde du corp, jusqu'a cette nuit la...
-Quelle nuit?
Mon père, qui avait entendu Aldo, lui demandat des details.
-Un soir, Vito qui était malade était parti se coucher vers 22 heures, la nuit était bien tombée, moi j'etais dans le jardin, je montais la garde avec un autre type, Bruno, un bon gars, la femme de Vito sirotait un casa en discutant avec sa fille, Mélinda. Elle parlait de ses études avec sa mere, elles avaient de bon rapports, c'etait une famille unie. Il n'aurat fallu qu'une seconde...Des assassins de Feloni défoncèrent la grille avec un 4x4 puis jetèrent une grenade fumigène, puis ils ont pris leurs AK et ont arrosé la terrasse, un vase m'a explosé à la gueule, ,ce qui me vaut quelques cicatrices sur mon visage, Bruno pris une balle dans le bras, mais Melinda et le femme de Vito ont eu moins de chance. Quand j'ai retrouvé mes esprits, j'ai vu Vito qui tenait les 2 femmes de sa vie dans ses bras, elle baignaient dans leur sang, elles avaient reçu un vingtaine de balles de 7.65. Apres, Vito n'a jamais été le même, et moi j'ai voulu partir sur Paris, dans une autre branche de la famille...
Ce récit laissat place à un grand silence, un long silence, un lourd silence...
-St-Florent! On arrive!
Nous avions mis 5 heures pour venir, il ne fallait pas perdre de temps.
Dans le prot, un homme de Vito nous attendais devant une Mazerati.
-Don Leandri?
-Oui c'est moi. répondit mon père
-Benvenuto, je suis Bruno.
-Bruno...
-Oui Aldo, je savais que ce serait toi, Don, Vito est impatient de vous voir.
Il posa ses levres sur la chevaliere de mon pere
-Allons y. Dit fermement mon père
Quelle Ile magnifique, je n'etais pas retourné dans la région depuis que j'avais 5 ans et j'avais oublié la beauté des décors, le soleil, la mer
Apres 10 minutes de trajet, nous arrivâmes devant une grande villa.
La propriété était gardée par 2 hommes armés de mp5 à l'entrée, 2 patrouilles de 2 hommes faisaient le tou de la maison avec des fusils à pompe et un autre sur le toit avec un dragunov, le tout servi d'une ribambelle de caméras.
Un homme d'environ 80 ans de petite taille mais trapu nous accueillit, il dégageaitun tres fort charisme.
Il avancait vers nous les bras grands ouverts.
-Entrez, entrez, je vous en prie, je suis si heureux de vous voir, venez mes fils, buongiorno Aldo.
Fils? Il devait vraiment être comme un frere pour Don Leandri.
-Padre...Dit mon père en s'inclinant tres respectueusement, mais Vito le redressa aussitôt.
-Ca suffit mon garçon, c'est moi qui devrait m'incliner devant le nouveau Don. Venez, entrez, vous prendrez bien un casa, j'ai aussi une tres bonne liqueur de chataigne.
Nous entrâmes dans un véritable palace, 2 fauteuils en cuir blanc devant une télé 117 cm
Nous arrivâmes sur la terasse ou des bouteilles nous attendaient ainsi que 4 verres et des glaçons, posés sur une belle table en verre, je m'assis entre mon père et Vito.
-Allez y, servez vous. Un homme montait la garde dérrière Vito.
-Marco? Quelle heure est-il?
-18h32 Monsieur.
-Bene, bene, vous avez une demie heure, il faudrat être sur les lieux à 20 heures. Allez y servez vous.
-Merci Vito. Dit mon père en prenant la bouteille de casa.
Il faisait froid ce matin de Novembre.
Il était envirron 7 heures, nous étions 3, Mon père Aldo et moi, dans la audi break qui qu'Aldo conduisait vers Marseille, nous avions déja atteind l'Allier, nous étions au milieu du voyage.
Ce voyage de nuit avait été éprouvant, une berline noire nous avait suivis une bonne partie du trajet, jusqu'a ce qu'Aldo réussisse à les semer.
-On fait quoi arrivés à Marseille ? Dis-je
-On prend le bateau pour la Corse au port. Arrivés la bas on ira chez Vito qui nous a laissé des armes au chaud, nous nous reposerons et en fin d'apres midi, Aldo ira rendre une petite visite à son frère à l'hopital de Bastia...
Dis mon père
-Ok, moi j'vais essayer de dormir
-Debout! Allez réveilles toi!
J'ouvris un oeil, puis deux, je vis mon père me secouer, nous étions au port de Marseille, juste devant le bateau qui allait nous amener à St Florent, ou vivait Vito.
-Allez! On part dans 10 minutes!
-Quoi? Deja?
-Ouis, il est 12h20, sors.
Je m'executas et montat à bord du navire.
J'alla sur le pont du bateau au Aldo et mon père buvaient un whisky.
-Tu connais Vito? Dis-je à Aldo
-Oui, j'ai eu la chance de le rencontrer il y a quelques années, c'est un privilege tu sais, je suis devenu son garde du corp, jusqu'a cette nuit la...
-Quelle nuit?
Mon père, qui avait entendu Aldo, lui demandat des details.
-Un soir, Vito qui était malade était parti se coucher vers 22 heures, la nuit était bien tombée, moi j'etais dans le jardin, je montais la garde avec un autre type, Bruno, un bon gars, la femme de Vito sirotait un casa en discutant avec sa fille, Mélinda. Elle parlait de ses études avec sa mere, elles avaient de bon rapports, c'etait une famille unie. Il n'aurat fallu qu'une seconde...Des assassins de Feloni défoncèrent la grille avec un 4x4 puis jetèrent une grenade fumigène, puis ils ont pris leurs AK et ont arrosé la terrasse, un vase m'a explosé à la gueule, ,ce qui me vaut quelques cicatrices sur mon visage, Bruno pris une balle dans le bras, mais Melinda et le femme de Vito ont eu moins de chance. Quand j'ai retrouvé mes esprits, j'ai vu Vito qui tenait les 2 femmes de sa vie dans ses bras, elle baignaient dans leur sang, elles avaient reçu un vingtaine de balles de 7.65. Apres, Vito n'a jamais été le même, et moi j'ai voulu partir sur Paris, dans une autre branche de la famille...
Ce récit laissat place à un grand silence, un long silence, un lourd silence...
-St-Florent! On arrive!
Nous avions mis 5 heures pour venir, il ne fallait pas perdre de temps.
Dans le prot, un homme de Vito nous attendais devant une Mazerati.
-Don Leandri?
-Oui c'est moi. répondit mon père
-Benvenuto, je suis Bruno.
-Bruno...
-Oui Aldo, je savais que ce serait toi, Don, Vito est impatient de vous voir.
Il posa ses levres sur la chevaliere de mon pere
-Allons y. Dit fermement mon père
Quelle Ile magnifique, je n'etais pas retourné dans la région depuis que j'avais 5 ans et j'avais oublié la beauté des décors, le soleil, la mer
Apres 10 minutes de trajet, nous arrivâmes devant une grande villa.
La propriété était gardée par 2 hommes armés de mp5 à l'entrée, 2 patrouilles de 2 hommes faisaient le tou de la maison avec des fusils à pompe et un autre sur le toit avec un dragunov, le tout servi d'une ribambelle de caméras.
Un homme d'environ 80 ans de petite taille mais trapu nous accueillit, il dégageaitun tres fort charisme.
Il avancait vers nous les bras grands ouverts.
-Entrez, entrez, je vous en prie, je suis si heureux de vous voir, venez mes fils, buongiorno Aldo.
Fils? Il devait vraiment être comme un frere pour Don Leandri.
-Padre...Dit mon père en s'inclinant tres respectueusement, mais Vito le redressa aussitôt.
-Ca suffit mon garçon, c'est moi qui devrait m'incliner devant le nouveau Don. Venez, entrez, vous prendrez bien un casa, j'ai aussi une tres bonne liqueur de chataigne.
Nous entrâmes dans un véritable palace, 2 fauteuils en cuir blanc devant une télé 117 cm
Nous arrivâmes sur la terasse ou des bouteilles nous attendaient ainsi que 4 verres et des glaçons, posés sur une belle table en verre, je m'assis entre mon père et Vito.
-Allez y, servez vous. Un homme montait la garde dérrière Vito.
-Marco? Quelle heure est-il?
-18h32 Monsieur.
-Bene, bene, vous avez une demie heure, il faudrat être sur les lieux à 20 heures. Allez y servez vous.
-Merci Vito. Dit mon père en prenant la bouteille de casa.