Note de la fic :
Publié le 27/01/2009 à 16:26:39 par joejojochba2
Chapitre 8: les Feloni
2 semaines plus tard...
Mon père entrat dans ma chambre, je jouais avec le 38 spécial et m'amusant à fermer et ouvrir le barillet
-Je viens de recevoir un mot comme quoi tu as séché 3 jours de cours!
-On s'en cogne, quest ce que j'ai besoin d'y aller, si je vais en cours, c'est pour trouver un boulot mal payé plus tard, la je fais un boulot super bien payé, j'ai le respect, regarde, en 2 semaine tous les contacts que j'ai, j'ai plus confiance en moi qu'avant, je suis utile quand je reste à la maison
-C'est une question de principes!
A ce moemnt la Luigi entrat, l'ai toujours calme mais un peu embété
-Don, M. Bonnet viens d'appeler, il voudrait vous voir.
Nous allames dans la voiture, il n'y avait que Mickey au volant, Aldo était parti en Corse voir sa famille, son frère s'etait arraché un bras à cause d'une meche de dynamite trop courte
Aujourd'hui, nous avions opté pour la rolls, tout simplement superbe.
Nous arrivâmes devant le restaurant voyant le gros lard qui nous attendais, l'air nerveux, il avait 2 cotons dans le nez.
-Don! Vous êtes enfin la, regardez ce que les Feloni ont fait à mon restaurant, il est dévasté, mes clients de reviendrons jamais plus
En effet, la vitrine était cassée et à l'interieur j'apercevais des plats et des tables renversés, le maitre d'hotel avait un pansement sur l'arcade sourciliere.
-Je n'aurais jamais du vous écouter, je suis ruiné RUINE!
-Calme toi, CALME TOI!
-Oui mais...
-Tu sais qui a fait ça?
-Oui, ce sont des petits casseurs engagés par les Feloni, des petites frappes qu'ils payent de temps en temps pour frapper des gens et faire peur.
-Files moi leurs noms, on va te rendre justice ok?
-Oui Don, mais Padrino, c'est qu'il y aurat des représailles
-Avec ce qu'on va leur mettre, tu n'aurais plus aucun problème...
Ils s'appelaient Mickael et Kevin, c'etaient des petites racailles connues pour vol, voie de fait et vandalisme, ils habitaient aux abords du 93.
Nous attendîmes dans un fourgon noir, mon Pere, Mickey et moi.
Soudain, ils sortirent, nous nous empressâmes d'enfiler nos cagoules puis sortîmes vite de la voiture.
En 10 secondes, ils etaient ligotés et baillonés...
2 semaines plus tard...
Mon père entrat dans ma chambre, je jouais avec le 38 spécial et m'amusant à fermer et ouvrir le barillet
-Je viens de recevoir un mot comme quoi tu as séché 3 jours de cours!
-On s'en cogne, quest ce que j'ai besoin d'y aller, si je vais en cours, c'est pour trouver un boulot mal payé plus tard, la je fais un boulot super bien payé, j'ai le respect, regarde, en 2 semaine tous les contacts que j'ai, j'ai plus confiance en moi qu'avant, je suis utile quand je reste à la maison
-C'est une question de principes!
A ce moemnt la Luigi entrat, l'ai toujours calme mais un peu embété
-Don, M. Bonnet viens d'appeler, il voudrait vous voir.
Nous allames dans la voiture, il n'y avait que Mickey au volant, Aldo était parti en Corse voir sa famille, son frère s'etait arraché un bras à cause d'une meche de dynamite trop courte
Aujourd'hui, nous avions opté pour la rolls, tout simplement superbe.
Nous arrivâmes devant le restaurant voyant le gros lard qui nous attendais, l'air nerveux, il avait 2 cotons dans le nez.
-Don! Vous êtes enfin la, regardez ce que les Feloni ont fait à mon restaurant, il est dévasté, mes clients de reviendrons jamais plus
En effet, la vitrine était cassée et à l'interieur j'apercevais des plats et des tables renversés, le maitre d'hotel avait un pansement sur l'arcade sourciliere.
-Je n'aurais jamais du vous écouter, je suis ruiné RUINE!
-Calme toi, CALME TOI!
-Oui mais...
-Tu sais qui a fait ça?
-Oui, ce sont des petits casseurs engagés par les Feloni, des petites frappes qu'ils payent de temps en temps pour frapper des gens et faire peur.
-Files moi leurs noms, on va te rendre justice ok?
-Oui Don, mais Padrino, c'est qu'il y aurat des représailles
-Avec ce qu'on va leur mettre, tu n'aurais plus aucun problème...
Ils s'appelaient Mickael et Kevin, c'etaient des petites racailles connues pour vol, voie de fait et vandalisme, ils habitaient aux abords du 93.
Nous attendîmes dans un fourgon noir, mon Pere, Mickey et moi.
Soudain, ils sortirent, nous nous empressâmes d'enfiler nos cagoules puis sortîmes vite de la voiture.
En 10 secondes, ils etaient ligotés et baillonés...