Note de la fic : :noel: :noel: :noel:

[fic] bras droit de la Mafia


Par : joejojochba2
Genre : Action
Statut : C'est compliqué



Chapitre 17


Publié le 27/01/2009 à 16:47:05 par joejojochba2

Chapitre 14: Robert...



Dix minutes...Dix minutes que cet enfoiré en prennait plein la gueule, Tony avait bientot fini de creuser, ce porc était attaché à un arbre, il saignait de partout, son t shirt était maculé de sang, ce n'etait plus un homme, simplement un plaie géante.
-Aaa...Libérez moi...Arretez.
-C'est ce qu'elle te disaient les gamines que t'as violées hein enfoiré, on récolte toujours ce que l'on seme.
J'etais trempé de sueur, mes poings étaient à vif, j'allais tourner de l'oeil quand Tony m'interpelat.
-C'est bon.
Je me tournai vers lui et hocha la tête.
-Ok.
Je pris mon HK Mark 23 puis l'armai puis je détachat Robert et le jeta dans sa tombe.
-Si tu implores le pardon, tu ne souffriras plus, sinon on te recouvre la gueule de terre et tu meurs entéré vivant.
-Non! Non! :snif2: Pardon, Pardon, ne me tuez pas, je quitterai le pays!
Sans écouter ses jérémiades, je lui collai une balle en pleine tête.




Sur le trajet du retour, ni Tony ni moi ne disions mot.



De retour chez Mr Sofim, nous lui expliquâmes en details la situation, il semblait appaisé, heureux même...

Le soir, je me sentais oppréssé, j'avais la tête qui tournait, un sentiment de remord, oui, il le méritait, mais voir cet homme hurler à la mort, torturé jusqu'au bout de son ame était assez frustrant, d'autant plus que c'est moi seul qui m'etait acharné. J'avais besoin d'air.
-Je descend!
-Tu vas ou?
-Prendre l'air :content:
-Dépèche, la pisze (pizza mais faut bien faire l'accent :noel: ) est bientot prete.
-Ok :ok:

Je pris l'acenceur et descendis les 4 étages puis pris l'air sur le trottoir, puis apres 5 minutes, je'ouvris la porte du hall de l'immeuble, alors qu'elle se refermait, j'entendis une voiture s'arreter derrière moi puis un bruit metalique.

Tout allat très vite, j'eu à peine le temps d'entendre les rafales du skorpio qui me progeta à terre, je sentais l'ignoble douleur des balles brulantes qui me perforaient la peau de part en part, le dos, les bras, les épaules, j'etais déchiré de partout, combien en avais-je pris de balles, 4? 5?

apres une longue projection, je tomba lourdement à terre, la face dans mon proproe sang, toutes les fenetres avaient explosé, je gisait dans mon sang, je ne pouvais plus bouger, il fallait tenir, réster éveillé, tenir...


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