Note de la fic :
Publié le 27/01/2009 à 16:54:15 par joejojochba2
Chapitre 17: Vendetta
Aldo me ramena chez moi, ma jambe me faisait souffrir, c'etait abominable, ma plaie s'etait reouverte, je voyais du sang s'etaler sur mon jean, je serra puis avec ma ceinture je fis un garot.
-Desolé, on n'a pas été discrets. Dit Aldo.
-J'prefere mille fois etre tricard dans le quartier plutot que de me faire lyncher merci
Nous arrivames devant notre batiment, je monta en boitillant puis racontai tout à mon père.
-Je vais leur envoyer des types, t'aurais du m'en parler l'autre jour.
-Bah je pensait que ça serait suffisant
-Bon, j'ai eu des nouvelles d'un de mes indicts, demain il y aurat deux grosses transactions de came pour les Feloni, une en banlieue dans un parking à 5 heures du mat et l'autre peu apres en plein centre de Paris mais dans une petite rue du 3eme arrondissement. Le frere d'Aldo nous a fait livrer des armes l'autre jour, je t'en ai pas parlé car c'etait pas encore sur, vas chercher ton équipement au parking ce soir.
-Putain je pourrai pas me reposer un peu? Fis-je fatigué.
-Si on fait ça ce sera tout benef, et t'auras une belle récompense
Je descendit dans le parking souterrain ou m'attendaient Bruno et un autre homme typé Corse avec des lunnetes de soleil, il se présentat brievement.
-Je suis Jaques, un cousin d'Aldo, c'est toi Joe? Viens, suis moi.
Nous arrivâmes devant le coffre de sa voiture, un berline Américaine des années 50, puis il l'ouvrit, un lot d'armes se présentait à moi, des fusils d'assaut et des mitrailletes.
-Elles sont propres? Demandais-je.
-Ca dépend, mais aucunes n'ont étés impliquées dans un meurtre.
Je vis un Fusil d'Assaut Leger parachutiste, un arme Belge, j'avais entendu beaucoup de bien du FAL para qui était un modèle un peu vieux mais fiable.
-Celui-la? Dis-je.
-Un braco mais il n'a jamais tiré, tu vas le dépuceler demain si tu le prends
Je fis mon choix: le FAL, un 11.43 et une grenade défensive.
En remontant à l'appartement je questionnai Bruno:
-Tu viens demain?
-Non, juste toi, ton père, Aldo et Jean.
Je ne connaissait pas beaucoup Jean, mais il travaillait avec Aldo depuis pas mal de temps, agé d'environ 25 ans et bossait pour la famille depuis qu'il avait 18 ans, il avait un physique Méditéranéen.
3h30 le lendemain, je n'ai quasiment pas dormi de la nuit, passant mon temps à vérifier mes armes, j'avais 5 chargeurs de 7.65 en plus de celui qui était dedans, mon Père avait un fusil à pompe Mosberg et un magnum, Jean un uzi et un glock avec deux grenades et Aldo un m16 avec un 38 spécial.
4h00, Nous entrons dans la voiture n°1, un Ford Mondeo noire avec mon père pour attaquer les traficants de face a travers le parking de l'intermarché tandis qu'Aldo et Jean nous appuiraient sur la droite, l'objectif était simple: tuer les hommes des Feloni, qui étaient environ 5 et les deux dealers et leurs guetteurs, au nombre indeterminé, en gros: ça allait chier.
La route pme parut longue. Sur le périfhérique, il n'y avait quasiment personne et il faisait encore nuit noire quoique l'aube commençait à se lever derriere nous, nous arrivâmes aux abords dur parking vers 4h45, l'heure idéale pour nous mettre en position, il y avait un grand nombre de voitures garées, surement des riverains des alentours et le décor me rappelait étrangement celui du film "ma 6t va cracker" au moment de la fusillade de la boite de nuit.
4h55.
3 hommes arrivent, l'un à un mac 10, les deux autres doivent avoir leurs armes à la ceinture, deux blacks et un arabe, ce sont les dealers et leur unique(?) guetteur, 5 minutes plus tard, 5 hommes descendent d'un SUV noir aux vitres teintées, ils n'ont pas d'armes apparentes mais surement des revolvers et pistolets dans leus holsters, les deux groupes parlent en faisant de grands gestes.
Mon père se tient à coté de moi, il observe, c'est lui qui doit donner le signal, apparement il a repéré le lieutenant Feloni il met le groupe de ritals en joue:
-Je prend celui du milieu, il a une gueule de meneur, faut que je m'approche, couvre moi.
L'homme en cagoule qui se tenait à me droite et qui allait tuer un homme était mon père.
Il avançat avec son fusil dérrière un autre voiture, il étati à une dizaine de metres de nos ennemis, j'avais mis en joue le guetteur armé du pistolet mitrailleur, soudain, a quelques metres de vant mooi, mon père sortit de l'ombre et se levat complètement, les 8 hommes firent une tête de détérés et ouvrirent grand la bouche, puis mon père tirat une charge de chevrotine, sa cible s'ecroula sans avoir eu le temps de comprendre quoi que ce soit, puis avant que les hommes n'eurent le temps de reprendre leurs esprits, je lachai une rafale de trois balles dans le ventre du guetteur qui s'ecroula à son tour sur le bitume, puis Aldo et Jean tirèrent à leur tour ce qui blessat un des dealers au bras et tua un mafieux, nos ennemis se mirent à couvert et dégainèrent en tirant sur tous ce qui bougeait, tout le monde vidait ses chargeurs, les vitres des voitures explosèrent, je me cachai derriere une voiture dont le pare brise se fissurat, puis des étincelles laissèrent place à des impacts sur la carrosserie, on me tirait dessus avec acharnement, je ripostai en restant à couvert, laissant seulement dépasser le haut de ma tête pour viser, je distinguait une silhouette armée d'un 9mm qui me metait en joue, mais je tirai le premier, il s'ecroulat en se tenant le ventre. Aldo avait avancé avec mon père, explosant tout sur son passage avec son m16, les vitres des voitures explosèrents, les portieres et les capots étaient percés de partout, les rétroviseurs eclataient, nos ennemis devaient etre littéralement allongés, c'etait un véritable baptême du feu.
Jean se tenait dérrière moi, mitraillant régulièrement un des dealers qui se cachait dérrière une camionette, soudain, j'entendis des bruits de pas dérrière lui.
-Jean! Derrière!
Une guetteur était caché dans le parking, il nous avait pris a revers, il tira une balle de Walther p22 dans l'epaule de Jean qui le mitraillat en tombant au sol, le gueteur vait pris plusieurs rafales de balles dans le torse, mais était toujours vivant, Jean n'ayant plus de munitions, je dégainai mon 11.43 puis tira une balle en pleine tête de notre assaillant qui poussat un soupir avant de mourir.
J'allai voir Jean qui était mal en point et le ramenai à sa voiture, Aldo couvrait notre retraite, il ne restait plus qu'une dealer bléssé et un mafieux, les autres ayant étés tués pas mon père et Aldo.
Le dealer mourrut de ses blessures apres avoir saigné abondament, on grosse flaque s'etendait autours de lui, le mafioso se lavat et tira, malheureusement pour lui a vide, un coup de chevrotine lui déchira le ventre, mon père avait fait mouche.
Nous allâmes à nos véhicules.
-On fait quoi? On continue? Demandai-je
-Bien sur, si tu crois que c'est ça qui va m'arreter! Cria Jean.
Le soleil se levait, la fusillade avait au moins duré 5 minutes, la police allait arriver d'un instant à l'autre.
-Bon on continue, faut pas perdre de temps, Jean passe chez toi, c'est sur la route avant de nous rejoindre dans le 3eme arrondissement, t'as 3 heures.
-Ok, Aldo tu me ramènes?
-Ouai, on sera à l'heure.
7h30, le jour s'est levé, nous sommes à quelques rues de mon lycée, une lourd pluie tombe dehors, les caniveaux sont pleins d'eau, les rares persones qui passent courent sous leurs parapluies, l'objectif est simple: dans une petite rue à sens unique se trouve une boutique fermée depuis des lustres qui sert de fabrique de faux billets, comme chaque semaine, un lieutenant Feloni viens inspecter sa petite "usine", la mission est de le tuer, lui et son escorte, la dificulté: nous sommes juste en face, à quelques metres du magasin, seule la rue nous sépare, Jean et Aldo viendront en camionette, on pourrat s'y abriter.
7h45, Aldo et Jean arrivent, Jean a un pansement sommaire et il souffre, j'espere qu'il n'y aurat pas trop d'ennemis, et une fusillade au petit matin en plein Paris est d'autant plus dangereuse vis a vis des flics qu'en pleine nuit en banlieue...
8h00 précises, une mercedes noire se gare en face de nous, Aldo et mon père sont assis cotés passager et conducteur tandis que Jean et moi sommes à l'arrière, le chauffeur sort et ouvre la porte à un homme agé d'une cinquantaine d'années et son garde du corp.
Aldo, assis coté conducteur baisse la vitre, les trois hommes font une tête ébahie en voyant l'homme encagoulé tendre un pistolet mitrailleur vers eux, le garde du corp saute sur son chef pour le mettre à l'abris juste avant qu'Aldo ne les arrose, ce qui tue le chauffeur d'une rafale en plein visage
Nous descendîmes de la camionnette, je mis en joue et arrosa la façade du magasin dont les vitres s'etoilaient et explosaient, la pluie était de plus en plus forte, il tombait des cordes à linge, la rue était trempée et le sang se mélangeait à la pluie et formait une grande flaque ecarlate, mon pere n'ayant plus de cartouche pris son 357 et descendit le garde du corp de deux balles dans le torse, deux autres hommes sortirent du magasin, ils étaient armés de fusils d'assaut, je couru vers une voiture et me cachat dérrière le capot en tirant par dessus ma tête à couvert.
Aldo vidait chargeur sur chargeur, il me cria de le couvrir car il allait me rejoindre, je sorti alors de ma cachette et tira en restant appuyé sur la détente vers nos ennemis, le crosse dépliable me tapait sur l'epaule, soudain, le tir s'arrête net.
-Merde! C'est enrayé!
Mais Aldo ne m'avait pas entendu, et alors qu'il passait à découvert entre deux voitures, une balle troua sa cagoule et une eclaboussure de sang sortit du trou rouge.
-Aldo! Merde! Aldo!
Il s'ecroula à terre sur le trottoir, du sang coulait de sa plaie dans le front, il avait les yeux grands ouverts.
Mon pere acourut vers le corp inerte de son ami et l'attrapa pour le mettre à couvert.
Jean, de son coté, souffrait de sa blessure, et quand il vit le corp d'Aldo, il pris une grenade défensive et la dégoupillat.
-Attention! Ca va péter!
-Attends!
Trop tard, il lançat la grenade de toute ses forces dans la vitrine brisée du magasin, quelques secondes plus tard, le magasin explosa dans un effroyable fracas, des débris enflamés volaient et atterissaient juste à coté de nous, les deux gardes avaient été sonnés par l'explosion, la boutique brulait, le lieutenant Feloni couru dans le magasin pour vérifier l'etat des billets, erreur fatale, à peine eut-il franchi la porte que le gaz du batiment explosa et projetat son corp a moitié brulé sur une voiture.
-On dégage! Cria mon père, Aide moi à porter Aldo.
Au moment ou Jean allait entrer dans la camionnette, un garde, avec ses dernières forces, lui tira une balle de 9mm dans le dos, il tombat a genoux et s'ecroula a terre, la face dans l'eau mélangée au sang, je le pris et le mis allongé à coté d'Aldo à l'arrière, les sirenes de pompiers et de police hurlaient alentours, mon père démarat en trombe et je regardai une dérnière fois cette scene de champ de bataille dérrière moi.
Aldo me ramena chez moi, ma jambe me faisait souffrir, c'etait abominable, ma plaie s'etait reouverte, je voyais du sang s'etaler sur mon jean, je serra puis avec ma ceinture je fis un garot.
-Desolé, on n'a pas été discrets. Dit Aldo.
-J'prefere mille fois etre tricard dans le quartier plutot que de me faire lyncher merci
Nous arrivames devant notre batiment, je monta en boitillant puis racontai tout à mon père.
-Je vais leur envoyer des types, t'aurais du m'en parler l'autre jour.
-Bah je pensait que ça serait suffisant
-Bon, j'ai eu des nouvelles d'un de mes indicts, demain il y aurat deux grosses transactions de came pour les Feloni, une en banlieue dans un parking à 5 heures du mat et l'autre peu apres en plein centre de Paris mais dans une petite rue du 3eme arrondissement. Le frere d'Aldo nous a fait livrer des armes l'autre jour, je t'en ai pas parlé car c'etait pas encore sur, vas chercher ton équipement au parking ce soir.
-Putain je pourrai pas me reposer un peu? Fis-je fatigué.
-Si on fait ça ce sera tout benef, et t'auras une belle récompense
Je descendit dans le parking souterrain ou m'attendaient Bruno et un autre homme typé Corse avec des lunnetes de soleil, il se présentat brievement.
-Je suis Jaques, un cousin d'Aldo, c'est toi Joe? Viens, suis moi.
Nous arrivâmes devant le coffre de sa voiture, un berline Américaine des années 50, puis il l'ouvrit, un lot d'armes se présentait à moi, des fusils d'assaut et des mitrailletes.
-Elles sont propres? Demandais-je.
-Ca dépend, mais aucunes n'ont étés impliquées dans un meurtre.
Je vis un Fusil d'Assaut Leger parachutiste, un arme Belge, j'avais entendu beaucoup de bien du FAL para qui était un modèle un peu vieux mais fiable.
-Celui-la? Dis-je.
-Un braco mais il n'a jamais tiré, tu vas le dépuceler demain si tu le prends
Je fis mon choix: le FAL, un 11.43 et une grenade défensive.
En remontant à l'appartement je questionnai Bruno:
-Tu viens demain?
-Non, juste toi, ton père, Aldo et Jean.
Je ne connaissait pas beaucoup Jean, mais il travaillait avec Aldo depuis pas mal de temps, agé d'environ 25 ans et bossait pour la famille depuis qu'il avait 18 ans, il avait un physique Méditéranéen.
3h30 le lendemain, je n'ai quasiment pas dormi de la nuit, passant mon temps à vérifier mes armes, j'avais 5 chargeurs de 7.65 en plus de celui qui était dedans, mon Père avait un fusil à pompe Mosberg et un magnum, Jean un uzi et un glock avec deux grenades et Aldo un m16 avec un 38 spécial.
4h00, Nous entrons dans la voiture n°1, un Ford Mondeo noire avec mon père pour attaquer les traficants de face a travers le parking de l'intermarché tandis qu'Aldo et Jean nous appuiraient sur la droite, l'objectif était simple: tuer les hommes des Feloni, qui étaient environ 5 et les deux dealers et leurs guetteurs, au nombre indeterminé, en gros: ça allait chier.
La route pme parut longue. Sur le périfhérique, il n'y avait quasiment personne et il faisait encore nuit noire quoique l'aube commençait à se lever derriere nous, nous arrivâmes aux abords dur parking vers 4h45, l'heure idéale pour nous mettre en position, il y avait un grand nombre de voitures garées, surement des riverains des alentours et le décor me rappelait étrangement celui du film "ma 6t va cracker" au moment de la fusillade de la boite de nuit.
4h55.
3 hommes arrivent, l'un à un mac 10, les deux autres doivent avoir leurs armes à la ceinture, deux blacks et un arabe, ce sont les dealers et leur unique(?) guetteur, 5 minutes plus tard, 5 hommes descendent d'un SUV noir aux vitres teintées, ils n'ont pas d'armes apparentes mais surement des revolvers et pistolets dans leus holsters, les deux groupes parlent en faisant de grands gestes.
Mon père se tient à coté de moi, il observe, c'est lui qui doit donner le signal, apparement il a repéré le lieutenant Feloni il met le groupe de ritals en joue:
-Je prend celui du milieu, il a une gueule de meneur, faut que je m'approche, couvre moi.
L'homme en cagoule qui se tenait à me droite et qui allait tuer un homme était mon père.
Il avançat avec son fusil dérrière un autre voiture, il étati à une dizaine de metres de nos ennemis, j'avais mis en joue le guetteur armé du pistolet mitrailleur, soudain, a quelques metres de vant mooi, mon père sortit de l'ombre et se levat complètement, les 8 hommes firent une tête de détérés et ouvrirent grand la bouche, puis mon père tirat une charge de chevrotine, sa cible s'ecroula sans avoir eu le temps de comprendre quoi que ce soit, puis avant que les hommes n'eurent le temps de reprendre leurs esprits, je lachai une rafale de trois balles dans le ventre du guetteur qui s'ecroula à son tour sur le bitume, puis Aldo et Jean tirèrent à leur tour ce qui blessat un des dealers au bras et tua un mafieux, nos ennemis se mirent à couvert et dégainèrent en tirant sur tous ce qui bougeait, tout le monde vidait ses chargeurs, les vitres des voitures explosèrent, je me cachai derriere une voiture dont le pare brise se fissurat, puis des étincelles laissèrent place à des impacts sur la carrosserie, on me tirait dessus avec acharnement, je ripostai en restant à couvert, laissant seulement dépasser le haut de ma tête pour viser, je distinguait une silhouette armée d'un 9mm qui me metait en joue, mais je tirai le premier, il s'ecroulat en se tenant le ventre. Aldo avait avancé avec mon père, explosant tout sur son passage avec son m16, les vitres des voitures explosèrents, les portieres et les capots étaient percés de partout, les rétroviseurs eclataient, nos ennemis devaient etre littéralement allongés, c'etait un véritable baptême du feu.
Jean se tenait dérrière moi, mitraillant régulièrement un des dealers qui se cachait dérrière une camionette, soudain, j'entendis des bruits de pas dérrière lui.
-Jean! Derrière!
Une guetteur était caché dans le parking, il nous avait pris a revers, il tira une balle de Walther p22 dans l'epaule de Jean qui le mitraillat en tombant au sol, le gueteur vait pris plusieurs rafales de balles dans le torse, mais était toujours vivant, Jean n'ayant plus de munitions, je dégainai mon 11.43 puis tira une balle en pleine tête de notre assaillant qui poussat un soupir avant de mourir.
J'allai voir Jean qui était mal en point et le ramenai à sa voiture, Aldo couvrait notre retraite, il ne restait plus qu'une dealer bléssé et un mafieux, les autres ayant étés tués pas mon père et Aldo.
Le dealer mourrut de ses blessures apres avoir saigné abondament, on grosse flaque s'etendait autours de lui, le mafioso se lavat et tira, malheureusement pour lui a vide, un coup de chevrotine lui déchira le ventre, mon père avait fait mouche.
Nous allâmes à nos véhicules.
-On fait quoi? On continue? Demandai-je
-Bien sur, si tu crois que c'est ça qui va m'arreter! Cria Jean.
Le soleil se levait, la fusillade avait au moins duré 5 minutes, la police allait arriver d'un instant à l'autre.
-Bon on continue, faut pas perdre de temps, Jean passe chez toi, c'est sur la route avant de nous rejoindre dans le 3eme arrondissement, t'as 3 heures.
-Ok, Aldo tu me ramènes?
-Ouai, on sera à l'heure.
7h30, le jour s'est levé, nous sommes à quelques rues de mon lycée, une lourd pluie tombe dehors, les caniveaux sont pleins d'eau, les rares persones qui passent courent sous leurs parapluies, l'objectif est simple: dans une petite rue à sens unique se trouve une boutique fermée depuis des lustres qui sert de fabrique de faux billets, comme chaque semaine, un lieutenant Feloni viens inspecter sa petite "usine", la mission est de le tuer, lui et son escorte, la dificulté: nous sommes juste en face, à quelques metres du magasin, seule la rue nous sépare, Jean et Aldo viendront en camionette, on pourrat s'y abriter.
7h45, Aldo et Jean arrivent, Jean a un pansement sommaire et il souffre, j'espere qu'il n'y aurat pas trop d'ennemis, et une fusillade au petit matin en plein Paris est d'autant plus dangereuse vis a vis des flics qu'en pleine nuit en banlieue...
8h00 précises, une mercedes noire se gare en face de nous, Aldo et mon père sont assis cotés passager et conducteur tandis que Jean et moi sommes à l'arrière, le chauffeur sort et ouvre la porte à un homme agé d'une cinquantaine d'années et son garde du corp.
Aldo, assis coté conducteur baisse la vitre, les trois hommes font une tête ébahie en voyant l'homme encagoulé tendre un pistolet mitrailleur vers eux, le garde du corp saute sur son chef pour le mettre à l'abris juste avant qu'Aldo ne les arrose, ce qui tue le chauffeur d'une rafale en plein visage
Nous descendîmes de la camionnette, je mis en joue et arrosa la façade du magasin dont les vitres s'etoilaient et explosaient, la pluie était de plus en plus forte, il tombait des cordes à linge, la rue était trempée et le sang se mélangeait à la pluie et formait une grande flaque ecarlate, mon pere n'ayant plus de cartouche pris son 357 et descendit le garde du corp de deux balles dans le torse, deux autres hommes sortirent du magasin, ils étaient armés de fusils d'assaut, je couru vers une voiture et me cachat dérrière le capot en tirant par dessus ma tête à couvert.
Aldo vidait chargeur sur chargeur, il me cria de le couvrir car il allait me rejoindre, je sorti alors de ma cachette et tira en restant appuyé sur la détente vers nos ennemis, le crosse dépliable me tapait sur l'epaule, soudain, le tir s'arrête net.
-Merde! C'est enrayé!
Mais Aldo ne m'avait pas entendu, et alors qu'il passait à découvert entre deux voitures, une balle troua sa cagoule et une eclaboussure de sang sortit du trou rouge.
-Aldo! Merde! Aldo!
Il s'ecroula à terre sur le trottoir, du sang coulait de sa plaie dans le front, il avait les yeux grands ouverts.
Mon pere acourut vers le corp inerte de son ami et l'attrapa pour le mettre à couvert.
Jean, de son coté, souffrait de sa blessure, et quand il vit le corp d'Aldo, il pris une grenade défensive et la dégoupillat.
-Attention! Ca va péter!
-Attends!
Trop tard, il lançat la grenade de toute ses forces dans la vitrine brisée du magasin, quelques secondes plus tard, le magasin explosa dans un effroyable fracas, des débris enflamés volaient et atterissaient juste à coté de nous, les deux gardes avaient été sonnés par l'explosion, la boutique brulait, le lieutenant Feloni couru dans le magasin pour vérifier l'etat des billets, erreur fatale, à peine eut-il franchi la porte que le gaz du batiment explosa et projetat son corp a moitié brulé sur une voiture.
-On dégage! Cria mon père, Aide moi à porter Aldo.
Au moment ou Jean allait entrer dans la camionnette, un garde, avec ses dernières forces, lui tira une balle de 9mm dans le dos, il tombat a genoux et s'ecroula a terre, la face dans l'eau mélangée au sang, je le pris et le mis allongé à coté d'Aldo à l'arrière, les sirenes de pompiers et de police hurlaient alentours, mon père démarat en trombe et je regardai une dérnière fois cette scene de champ de bataille dérrière moi.
Commentaires
- Nizardo
27/01/2009 à 17:26:58
Putin ta fic roxx mais tu devrais mettre plus de passages ou tu est au lycée