Note de la fic :
L'Homme Du Temps
Par : MassiveDynamic
Genre : Science-Fiction, Sentimental
Statut : C'est compliqué
Chapitre 7 : L'Homme Et La Femme
Publié le 29/09/2011 à 20:47:55 par MassiveDynamic
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Un frisson, cette sensation, ce picotement. Ce soulèvement des sens, ce marasme émotionnel. Et ce noir. Omniprésent. Puis un son. Tirez un coup de feu dans une pièce vide, et vous comprendrez de quoi je parle. C'était comme une renaissance, le réveil d'un être antique, d'un vieux débris qui avait traversé vents et marées en se laissant porter par la tempête pour finalement revenir à son point de départ, rajeuni, mais plus sage. J'émergeais petit à petit, la tête pleine de souvenir. Après tout, l'instant d'avant, je mourrais. J'étais mort. L'espace d'une infime fraction de seconde. Et mes souvenirs étaient frais. Tout ce que je venais de vivre, ce rêve éveillé, cet endroit onirique véhiculant pourtant une boule d'amertume. J'avais bien expié mon dernier souffle, oui, mais c'était à un autre endroit, à un autre moment. Dès lors, je reprenais possession de mon corps originel. Mes yeux s'ouvrirent lentement, et la grande rousse me paraissait être une géante vu d'en bas. Mon ouïe était à nouveau disponible, et sa voix m'irritait particulièrement. Ca y est, j'étais bien de retour.
" Vous allez bien ? C'est pas normal de nous desservir dans ces conditions, ils devraient avoir honte ! "
Je gisais encore au sol, sur le ventre, mangeant de peu la barre métallique. Mes jambes étaient perchées sur les banquettes vertes du métro dépouillé de couleurs comme de vie, l'engin étant d'ailleurs toujours à l'arrêt. Et j'étais dans une position des plus ridicules. Pourtant, j'avais un sourire bêta, la félicité que me procurait le fait d'être en vie, très certainement, et d'avoir vu de pareilles merveilles, assurément. Je levais quand même faiblement la tête, daignant lui répondre.
"Ca va. P'tet un torticolis, mais bon, y'a pas mort d'homme ! "
Elle me fixa avec pitié, me tendant la main pour m'aider à me relever. Mais j'étais bien au sol. Elle lança une phrase tout en me regardant.
"- Vous êtes resté inconscient deux bonnes minutes, j'ai bien cru que vous étiez mort ! "
La machine se remit brusquement en marche. Je saisis donc la main de la dame pour me relever et j'agrippai la barre verticale. Plus que quelques minutes avant de sortir dehors. Et, déjà, je me questionnais. Avais-je rêvé ? Ou était-ce bien du voyage dans le temps ? Je n'en savais rien, peut-être une hallucination due au choque brutal.
"- Je suis Ellen, au passage. "
La rousse me tendit la main en m'offrant son prénom sur un grand sourire en guise de plateau. Je le lui rendis et me présenta à mon tour. Rode Sersy. La métro commençait à ralentir. Nous allions arriver à destination.
"- Nous deux dans un métro vide, après un tel évènement, tu parles d'une situation insolite !"
Elle faisait des grands gestes avec ses mains, et souriait tout en faisant rouler ses grands yeux. C'est drôle, elle avait l'air un peu ravagée, mais elle m'amusait, à moindre mesure. Et je ressentais l'envie de fumer, parallèlement. Et paradoxalement, j'avais pas très envie d'en griller une après ce qu'il venait de m'arriver. Mais j'interrompis le flot de mes pensées pour prendre la peine de lui répondre.
"- Et encore, vous n'avez pas fait le rêve que j'ai fait en étant dans les vapes, sinon vous auriez trouvé ça complètement tordu ! " Lui lançai-je brièvement.
"- Si vous vivriez ma vie, ça vous paraitrait tout à fait banal ! " Me rétorqua-t-elle.
Le métro arriva à la station, et les portes s'ouvrirent. Un ingénieur vint s'excuser de l'incident et le métro se stoppa net pour un contrôle technique. J'allais sur la rame en compagnie d'Ellen.
"- Sacré soirée hein ?
- Plutôt mouvementée, oui, me répondit elle d'un air malicieux. Tenez... si jamais vous vous ennuyez. "
Elle me tendit une carte de visite puis s'en alla, laissant ses talons frappant le sol imposer une mélodie décroissante. Je la mis dans ma poche sans y faire attention puis je téléphonais à Théo.
"- Allô ? Ouais, Théo ? Ouais ! Écoute, sale histoire, il m'est arrivé un truc de dingue, je te raconterai demain. Ouais... Ben non, j'peux pas venir du coup, y'a eu un accident avec mon métro et là il est indisponible pour la soirée je pense. Oui, j'vais bien, t'inquiètes pas ! Bah je suis à six stations de chez toi, donc franchement, laisse tomber. Passe demain, toi ! Ouais ! Désolé ! Il te reste du teuh-teuh ? Bah ramène-en en passant alors. T'inquiètes, j'ai les loves. Allez, reste bien. "
Bref coup de fil pour annuler la soirée chez Théo... Je ne supportais plus l'obscurité des stations souterraines, et de toute façon, je ressentais le besoin de prendre l'air. J'avais besoin de revoir la lumière. Ce blanc pur, parfait, idéal. Cette couleur qui se fondait dans le plus beau des tableaux. Mais en sortant, je ne vis que le ciel morose, gris, et les embouteillages qui s'entassaient sur des centaines de mètres. Puis les gens, pressés, encore plus pressés que moi l'étant déjà pour rentrer, et ces rues labyrinthiques ne menant à rien. C'était ma ville, c'était mon monde. Et je n'y prêtais pas vraiment d'attention, j'y étais habitué. Habitué à la réalité. Il n'y a que les fous qui vivent dans un conte de fée.
Je mis deux bonnes heures à rentrer chez moi, après quelques arrêts dans divers magasins, dont un café. En rentrant, je reconnu un parfait parfum qui m'embauma de sa nostalgie. L'odeur d'Emma. Elle se trouvait là, dans la pièce d'à côté, zappant devant la télévision. Elle semblait épuisée de sa journée et m'adressa un bref bonjour. Un sourire instantané se vissa sur mon visage et je me jetais sur elle, la serrant de toutes mes forces, déposant des baisers le long de son cou, puis au bord de ses lèvres, passant mon pouce sur ses joues si douces. Elle répondit à ma fougue le temps d'une minute, puis me taquina.
"- Dis donc, t'es content de me voir toi aujourd'hui ! C'est en quel honneur ?
- Je ne sais pas, tu m'as manqué, c'est tout. "
J'avais surtout le sentiment de ne pas l'avoir vu depuis une éternité, de ne pas pouvoir combattre la fatalité.
" - Bah ça me fait plaisir aussi de te voir, tu le sais, mais tu devais pas aller chez Théo ?
- Ouais... non, mon métro a eu un problème et j'avais la flemme de prendre un taxi. Il passera demain.
- Théo ?
- Théo.
- Ici ?
- Ici. "
Elle me dévisageait de son regard à la fois amusé et suspicieux.
" - Pas de fumette, hein !
- Jamais ! Lui répondis-je, jubilatoire.
- M'ouais... "
Elle posa la télécommande, m'infligea une tape sur la tête histoire de ne pas me traiter d'idiot et alla dans la cuisine. Je la suivi pour l'aider à effectuer les préparations.
" - Alors, l'université, tu t'en sors ?
- C'est rébarbatif, mais on s'y habitue. C'est moins aliénant que serveuse, par contre, c'est sûr. Mais ça m'énerve, tu sais que ça n'est pas ce que je veux.
- T'es en licence d'anglais ! C'est déjà mieux que moi qui suis trop abruti pour les études supérieures ! "
Je me mis à ses côtés, la prenant par la taille.
"- Tu vois très bien ce que je veux dire. On s'est mis dans la merde à cause d'une utopie. "
Elle se frotta les yeux, puis se mit à sourire et m'embrasser.
"- Enfin, n'y pensons pas, on vit, on va bien, et surtout, TU vas bien, tu es toujours là, je t'aime, et c'est tout ce que je veux, Rode. Peu importe le temps que ça prendra, d'enfin être là où nous voulons, tant que tu es là, ça ira. "
Sa tête reposait à nouveau sur mon épaule. Comme après mon overdose. Et je m'en voulais, je m'en voulais de ne pas l'aimer autant qu'elle m'aimait. Car elle m'aimait d'une passion pure. Et je l'aimais énormément, moi aussi, mais je n'avais pas à le dire avec ses mots. Je ne pouvais pas le faire aussi bien. Et j'avais peur que de ma bouche, cela sonne faux.
Nous avions consommé notre nuit, et au petit matin, elle se mit à ramasser tous les habits pour faire une machine. Je mis un caleçon et allais déjeuner, songeant à la venue de Théo. Emma, les cheveux ébouriffés, vint me rejoindre après avoir mis en route la machine.
" - Je vois Sonia aujourd'hui, j'dois me dépêcher, je suis censée être prête d'ici une heure ! "
Elle me fixait d'un regard presque inquiet. Ses yeux noisettes scintillaient en face de moi. Je passais amoureusement la main dans ses cheveux courts et lui dit sarcastiquement de se dépêcher.
J'en profitais pour changer également d'habit, puis, sur le départ, elle me tandis un sac plastique avant de partir.
"- Tiens, c'est les trucs que t'as encore oublié d'enlever de tes poches ! " Me dit-elle en partant précipitamment.
Je la remerciais et fit rapidement le tri. Je mis la main sur la carte de visite d'Ellen, la rousse croisée la veille. Je lus rapidement les écrits.
" Mme Ellen Page
Standardiste à Dynamic Hermanos
04 81 51 62 34 2 "
Dynamic Hermanos...
Un frisson, cette sensation, ce picotement. Ce soulèvement des sens, ce marasme émotionnel. Et ce noir. Omniprésent. Puis un son. Tirez un coup de feu dans une pièce vide, et vous comprendrez de quoi je parle. C'était comme une renaissance, le réveil d'un être antique, d'un vieux débris qui avait traversé vents et marées en se laissant porter par la tempête pour finalement revenir à son point de départ, rajeuni, mais plus sage. J'émergeais petit à petit, la tête pleine de souvenir. Après tout, l'instant d'avant, je mourrais. J'étais mort. L'espace d'une infime fraction de seconde. Et mes souvenirs étaient frais. Tout ce que je venais de vivre, ce rêve éveillé, cet endroit onirique véhiculant pourtant une boule d'amertume. J'avais bien expié mon dernier souffle, oui, mais c'était à un autre endroit, à un autre moment. Dès lors, je reprenais possession de mon corps originel. Mes yeux s'ouvrirent lentement, et la grande rousse me paraissait être une géante vu d'en bas. Mon ouïe était à nouveau disponible, et sa voix m'irritait particulièrement. Ca y est, j'étais bien de retour.
" Vous allez bien ? C'est pas normal de nous desservir dans ces conditions, ils devraient avoir honte ! "
Je gisais encore au sol, sur le ventre, mangeant de peu la barre métallique. Mes jambes étaient perchées sur les banquettes vertes du métro dépouillé de couleurs comme de vie, l'engin étant d'ailleurs toujours à l'arrêt. Et j'étais dans une position des plus ridicules. Pourtant, j'avais un sourire bêta, la félicité que me procurait le fait d'être en vie, très certainement, et d'avoir vu de pareilles merveilles, assurément. Je levais quand même faiblement la tête, daignant lui répondre.
"Ca va. P'tet un torticolis, mais bon, y'a pas mort d'homme ! "
Elle me fixa avec pitié, me tendant la main pour m'aider à me relever. Mais j'étais bien au sol. Elle lança une phrase tout en me regardant.
"- Vous êtes resté inconscient deux bonnes minutes, j'ai bien cru que vous étiez mort ! "
La machine se remit brusquement en marche. Je saisis donc la main de la dame pour me relever et j'agrippai la barre verticale. Plus que quelques minutes avant de sortir dehors. Et, déjà, je me questionnais. Avais-je rêvé ? Ou était-ce bien du voyage dans le temps ? Je n'en savais rien, peut-être une hallucination due au choque brutal.
"- Je suis Ellen, au passage. "
La rousse me tendit la main en m'offrant son prénom sur un grand sourire en guise de plateau. Je le lui rendis et me présenta à mon tour. Rode Sersy. La métro commençait à ralentir. Nous allions arriver à destination.
"- Nous deux dans un métro vide, après un tel évènement, tu parles d'une situation insolite !"
Elle faisait des grands gestes avec ses mains, et souriait tout en faisant rouler ses grands yeux. C'est drôle, elle avait l'air un peu ravagée, mais elle m'amusait, à moindre mesure. Et je ressentais l'envie de fumer, parallèlement. Et paradoxalement, j'avais pas très envie d'en griller une après ce qu'il venait de m'arriver. Mais j'interrompis le flot de mes pensées pour prendre la peine de lui répondre.
"- Et encore, vous n'avez pas fait le rêve que j'ai fait en étant dans les vapes, sinon vous auriez trouvé ça complètement tordu ! " Lui lançai-je brièvement.
"- Si vous vivriez ma vie, ça vous paraitrait tout à fait banal ! " Me rétorqua-t-elle.
Le métro arriva à la station, et les portes s'ouvrirent. Un ingénieur vint s'excuser de l'incident et le métro se stoppa net pour un contrôle technique. J'allais sur la rame en compagnie d'Ellen.
"- Sacré soirée hein ?
- Plutôt mouvementée, oui, me répondit elle d'un air malicieux. Tenez... si jamais vous vous ennuyez. "
Elle me tendit une carte de visite puis s'en alla, laissant ses talons frappant le sol imposer une mélodie décroissante. Je la mis dans ma poche sans y faire attention puis je téléphonais à Théo.
"- Allô ? Ouais, Théo ? Ouais ! Écoute, sale histoire, il m'est arrivé un truc de dingue, je te raconterai demain. Ouais... Ben non, j'peux pas venir du coup, y'a eu un accident avec mon métro et là il est indisponible pour la soirée je pense. Oui, j'vais bien, t'inquiètes pas ! Bah je suis à six stations de chez toi, donc franchement, laisse tomber. Passe demain, toi ! Ouais ! Désolé ! Il te reste du teuh-teuh ? Bah ramène-en en passant alors. T'inquiètes, j'ai les loves. Allez, reste bien. "
Bref coup de fil pour annuler la soirée chez Théo... Je ne supportais plus l'obscurité des stations souterraines, et de toute façon, je ressentais le besoin de prendre l'air. J'avais besoin de revoir la lumière. Ce blanc pur, parfait, idéal. Cette couleur qui se fondait dans le plus beau des tableaux. Mais en sortant, je ne vis que le ciel morose, gris, et les embouteillages qui s'entassaient sur des centaines de mètres. Puis les gens, pressés, encore plus pressés que moi l'étant déjà pour rentrer, et ces rues labyrinthiques ne menant à rien. C'était ma ville, c'était mon monde. Et je n'y prêtais pas vraiment d'attention, j'y étais habitué. Habitué à la réalité. Il n'y a que les fous qui vivent dans un conte de fée.
Je mis deux bonnes heures à rentrer chez moi, après quelques arrêts dans divers magasins, dont un café. En rentrant, je reconnu un parfait parfum qui m'embauma de sa nostalgie. L'odeur d'Emma. Elle se trouvait là, dans la pièce d'à côté, zappant devant la télévision. Elle semblait épuisée de sa journée et m'adressa un bref bonjour. Un sourire instantané se vissa sur mon visage et je me jetais sur elle, la serrant de toutes mes forces, déposant des baisers le long de son cou, puis au bord de ses lèvres, passant mon pouce sur ses joues si douces. Elle répondit à ma fougue le temps d'une minute, puis me taquina.
"- Dis donc, t'es content de me voir toi aujourd'hui ! C'est en quel honneur ?
- Je ne sais pas, tu m'as manqué, c'est tout. "
J'avais surtout le sentiment de ne pas l'avoir vu depuis une éternité, de ne pas pouvoir combattre la fatalité.
" - Bah ça me fait plaisir aussi de te voir, tu le sais, mais tu devais pas aller chez Théo ?
- Ouais... non, mon métro a eu un problème et j'avais la flemme de prendre un taxi. Il passera demain.
- Théo ?
- Théo.
- Ici ?
- Ici. "
Elle me dévisageait de son regard à la fois amusé et suspicieux.
" - Pas de fumette, hein !
- Jamais ! Lui répondis-je, jubilatoire.
- M'ouais... "
Elle posa la télécommande, m'infligea une tape sur la tête histoire de ne pas me traiter d'idiot et alla dans la cuisine. Je la suivi pour l'aider à effectuer les préparations.
" - Alors, l'université, tu t'en sors ?
- C'est rébarbatif, mais on s'y habitue. C'est moins aliénant que serveuse, par contre, c'est sûr. Mais ça m'énerve, tu sais que ça n'est pas ce que je veux.
- T'es en licence d'anglais ! C'est déjà mieux que moi qui suis trop abruti pour les études supérieures ! "
Je me mis à ses côtés, la prenant par la taille.
"- Tu vois très bien ce que je veux dire. On s'est mis dans la merde à cause d'une utopie. "
Elle se frotta les yeux, puis se mit à sourire et m'embrasser.
"- Enfin, n'y pensons pas, on vit, on va bien, et surtout, TU vas bien, tu es toujours là, je t'aime, et c'est tout ce que je veux, Rode. Peu importe le temps que ça prendra, d'enfin être là où nous voulons, tant que tu es là, ça ira. "
Sa tête reposait à nouveau sur mon épaule. Comme après mon overdose. Et je m'en voulais, je m'en voulais de ne pas l'aimer autant qu'elle m'aimait. Car elle m'aimait d'une passion pure. Et je l'aimais énormément, moi aussi, mais je n'avais pas à le dire avec ses mots. Je ne pouvais pas le faire aussi bien. Et j'avais peur que de ma bouche, cela sonne faux.
Nous avions consommé notre nuit, et au petit matin, elle se mit à ramasser tous les habits pour faire une machine. Je mis un caleçon et allais déjeuner, songeant à la venue de Théo. Emma, les cheveux ébouriffés, vint me rejoindre après avoir mis en route la machine.
" - Je vois Sonia aujourd'hui, j'dois me dépêcher, je suis censée être prête d'ici une heure ! "
Elle me fixait d'un regard presque inquiet. Ses yeux noisettes scintillaient en face de moi. Je passais amoureusement la main dans ses cheveux courts et lui dit sarcastiquement de se dépêcher.
J'en profitais pour changer également d'habit, puis, sur le départ, elle me tandis un sac plastique avant de partir.
"- Tiens, c'est les trucs que t'as encore oublié d'enlever de tes poches ! " Me dit-elle en partant précipitamment.
Je la remerciais et fit rapidement le tri. Je mis la main sur la carte de visite d'Ellen, la rousse croisée la veille. Je lus rapidement les écrits.
" Mme Ellen Page
Standardiste à Dynamic Hermanos
04 81 51 62 34 2 "
Dynamic Hermanos...
Commentaires
- Droran
09/10/2011 à 18:43:15
...et j'ai aimé la musique.
- Droran
08/10/2011 à 04:18:57
Suite ! C'est du bon ! J'apprécie sutout les personnages. Pour me prononcer au sujet du scenario, j'attendrai la suite (ou la fin)
De mon avis, tu as tendance à parfois (rarement) faire des phrases à rallonges. Lourdes, indigestes ou simplement inutilement longues.
Pas la peine de relire ce chapitre pour les trouver : mis à part le début et un mot répété je ne sais plus où, le chapitre est super.