Note de la fic :
Les Zombies n'existent pas : Partie I
Par : 17XX
Genre : Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 34 : Regain.
Publié le 08/06/2011 à 15:53:17 par 17XX
Je fut le premier à être réveillé. La lumière du jour perce à travers les lattes de la trappe. Je regarde ma montre, 8h11. Je décide de jeter un œil dehors, histoire de m'occuper. J'ouvre la trappe doucement... Rien à signaler, je sors.
Le manoir est totalement saccagé, mais aucune trace des infectés, probablement grâce au jour. Je n'ai pas le courage d'explorer le manoir, qui est vraiment très sinistre. Je retourne donc à l'intérieur, pour attendre le réveil des autres. Alexis est réveillé, je lui propose de prendre de quoi déjeuner et de sortir, il accepte.
-Alors, dit-il, ça va ta jambe ?
-Je sens plus grand chose si je touche pas, mais j'aime pas trop la couleur qu'elle prend...
-Le médecin, euh Lucie c'est ça ? Elle n'a rien ?
-Elle m'a donné de la pénicilline, répondis-je en prenant une boite de gateaux. Ca m'a calmé mais bon...
-Tu devrais pas t'en faire.
-Pourquoi ça ?
-Ben... Tu te demande pas comment ça se fait que il y ai si peu de survivants ? J'pense que si on est en vie, c'est qu'il y a une raison, on doit faire quelque chose, chacun de nous est important.
-C'est un peu tiré par les cheveux tu trouves pas ?
-Comment tu expliques le fait que le Secteur 7 t'ai trouvé au beau milieu de la forêt ? Que je sois en voiture dans la ville au moment ou vous y passez, le hasard ? Je crois pas, moi je crois au destin.
-Peut-être, mais ça veut pas forcément dire que mon destin est de survivre, ça peut très bien être de mourir.
-Mmmh, on verra ça, dit-il avec humour. Je lui souris à mon tour. J'aime bien ce gars.
-T'aurais une cigarette pour moi ?
-Ouais bien sur, tiens.
Le Capitaine sortit à son tour. Il nous demande si tout va bien, et s'éloigne un peu avec une radio. Je m'approche et lui demande :
-Qu'est-ce que vous faites Capitaine ?
-On est a environ 250 Km de Paris, peut-être que les ondes hertziennes peuvent atteindre Paris...
Il activa alors le haut parleur, répétant le même message en boucle
« Ici le Capitaine des forces spéciales Thomas .D, nous avons des survivants, est-ce que quelqu'un m'entends ? »
Mais au bout de dix minutes, toujours pas de réponses. Nathan sortit à son tour, accompagné de Verdugo et de Lukas.
Une demie heure plus tard tout le groupe est réveillé. La question qui je pense, brûle les lèvres de tout le monde fut posé par Nathan.
-Dites Capitaine, et si... et si nous restions ici ? On est protégé, on a des vivres, on peut habiter le manoir le jour et le sous sol la nuit ?
-Hors de questions. Ce n'est pas notre objectif, je continue de croire qu'il existe un gouvernement, moi et mes hommes sommes encore en service et nous maintenons notre mission, si vous, vous voulez rester, il n'y a pas de problèmes.
-Non, je vous l'ai dejà dit, on reste avec vous... C'est notre seule chance dit-il avec un air monotone.
-Et les voitures alors ? Demanda Mika, on a plus aucun véhicule !
-Ca, c'est le réel problème, souligna Michael.
-Je sais Michael, je sais, répondit le Capitaine, le teint las.
-Attendez... fit Verdugo, j'ai une idée ! Pas très loin d'ici dans une toute petite ville il y a une station de bus, tout les bus sont garés là bas, on rentrerais tous dedans !
-Je sais conduire un bus, mon capitaine, renchérit Lilian.
-Soit, nous allons trouver un bus. Combien de kilomètres ?
-Euh, 4 ou 5 je pense.
-Ok, ceux qui veulent nous accompagner viennent, si vous êtes trop fatigués vous avez tout à fait le droit de rester ici, déclara le Capitaine.
-J'en déduis que je dois venir, fit Verdugo, je suis le seul qui connaît le coin.
-La question ne se pose pas, rétorqua le Capitaine.
Le Capitaine, Michael, moi, Verdugo et Lukas nous mettons en route. Les autres restent pour garder le manoir et les malades.
Le trajet me paraît long, que de la broussaille, des bosquets et des prairies, l'avantage est que le paysage est parfait pour se défendre. Nous voyons un groupe d'une dizaine d'infectés au loin, mais inutile d'ouvrir le feu, ils ne nous verrons pas.
Nous approchons de la petite ville, elle aussi visiblement touchée par l'infection.
-Capitaine ! A 6 heures !
Je regarde en direction du doigt de Lukas, et je vois un 4x4, écrit « Véhicule Paramédical ». Qu'est-ce que ?!...
-Putain ! Il faut pas qu'ils s'en aillent ! Ils en savent bien plus que nous ! S'exclama le Capitaine.
-HEEEEE ! Hurla Michael, mais c'est inutile, ils ne nous entendent pas, ou font semblant. Lukas tire un coups de feu en l'air, grave erreur.
-BON SANG SOLDAT ! Qu'est-ce que tu fais ?! Tu veux rameuter tout les infectés du coin ?!
-Excusez moi capitaine ! Mais je trouve que cette foutue affaire n'avance pas ! Ils se foutent de nous ! Répondit Lukas enervé.
-Il ne s'agit plus seulement de notre mission, mais aussi de survivre soldat ! Ne prends plus jamais d'initiatives c'est compris ?!
-Oui mon capitaine !
Ce qu'ils n'ont pas remarqués, c'est que le véhicule s'arrêta quelques secondes, une sorte de flash ou de reflets illumina la fenêtre avant, puis il repartit de plus belle, bon sang mais qu'est-ce qu'il se passe ici ?!
Le manoir est totalement saccagé, mais aucune trace des infectés, probablement grâce au jour. Je n'ai pas le courage d'explorer le manoir, qui est vraiment très sinistre. Je retourne donc à l'intérieur, pour attendre le réveil des autres. Alexis est réveillé, je lui propose de prendre de quoi déjeuner et de sortir, il accepte.
-Alors, dit-il, ça va ta jambe ?
-Je sens plus grand chose si je touche pas, mais j'aime pas trop la couleur qu'elle prend...
-Le médecin, euh Lucie c'est ça ? Elle n'a rien ?
-Elle m'a donné de la pénicilline, répondis-je en prenant une boite de gateaux. Ca m'a calmé mais bon...
-Tu devrais pas t'en faire.
-Pourquoi ça ?
-Ben... Tu te demande pas comment ça se fait que il y ai si peu de survivants ? J'pense que si on est en vie, c'est qu'il y a une raison, on doit faire quelque chose, chacun de nous est important.
-C'est un peu tiré par les cheveux tu trouves pas ?
-Comment tu expliques le fait que le Secteur 7 t'ai trouvé au beau milieu de la forêt ? Que je sois en voiture dans la ville au moment ou vous y passez, le hasard ? Je crois pas, moi je crois au destin.
-Peut-être, mais ça veut pas forcément dire que mon destin est de survivre, ça peut très bien être de mourir.
-Mmmh, on verra ça, dit-il avec humour. Je lui souris à mon tour. J'aime bien ce gars.
-T'aurais une cigarette pour moi ?
-Ouais bien sur, tiens.
Le Capitaine sortit à son tour. Il nous demande si tout va bien, et s'éloigne un peu avec une radio. Je m'approche et lui demande :
-Qu'est-ce que vous faites Capitaine ?
-On est a environ 250 Km de Paris, peut-être que les ondes hertziennes peuvent atteindre Paris...
Il activa alors le haut parleur, répétant le même message en boucle
« Ici le Capitaine des forces spéciales Thomas .D, nous avons des survivants, est-ce que quelqu'un m'entends ? »
Mais au bout de dix minutes, toujours pas de réponses. Nathan sortit à son tour, accompagné de Verdugo et de Lukas.
Une demie heure plus tard tout le groupe est réveillé. La question qui je pense, brûle les lèvres de tout le monde fut posé par Nathan.
-Dites Capitaine, et si... et si nous restions ici ? On est protégé, on a des vivres, on peut habiter le manoir le jour et le sous sol la nuit ?
-Hors de questions. Ce n'est pas notre objectif, je continue de croire qu'il existe un gouvernement, moi et mes hommes sommes encore en service et nous maintenons notre mission, si vous, vous voulez rester, il n'y a pas de problèmes.
-Non, je vous l'ai dejà dit, on reste avec vous... C'est notre seule chance dit-il avec un air monotone.
-Et les voitures alors ? Demanda Mika, on a plus aucun véhicule !
-Ca, c'est le réel problème, souligna Michael.
-Je sais Michael, je sais, répondit le Capitaine, le teint las.
-Attendez... fit Verdugo, j'ai une idée ! Pas très loin d'ici dans une toute petite ville il y a une station de bus, tout les bus sont garés là bas, on rentrerais tous dedans !
-Je sais conduire un bus, mon capitaine, renchérit Lilian.
-Soit, nous allons trouver un bus. Combien de kilomètres ?
-Euh, 4 ou 5 je pense.
-Ok, ceux qui veulent nous accompagner viennent, si vous êtes trop fatigués vous avez tout à fait le droit de rester ici, déclara le Capitaine.
-J'en déduis que je dois venir, fit Verdugo, je suis le seul qui connaît le coin.
-La question ne se pose pas, rétorqua le Capitaine.
Le Capitaine, Michael, moi, Verdugo et Lukas nous mettons en route. Les autres restent pour garder le manoir et les malades.
Le trajet me paraît long, que de la broussaille, des bosquets et des prairies, l'avantage est que le paysage est parfait pour se défendre. Nous voyons un groupe d'une dizaine d'infectés au loin, mais inutile d'ouvrir le feu, ils ne nous verrons pas.
Nous approchons de la petite ville, elle aussi visiblement touchée par l'infection.
-Capitaine ! A 6 heures !
Je regarde en direction du doigt de Lukas, et je vois un 4x4, écrit « Véhicule Paramédical ». Qu'est-ce que ?!...
-Putain ! Il faut pas qu'ils s'en aillent ! Ils en savent bien plus que nous ! S'exclama le Capitaine.
-HEEEEE ! Hurla Michael, mais c'est inutile, ils ne nous entendent pas, ou font semblant. Lukas tire un coups de feu en l'air, grave erreur.
-BON SANG SOLDAT ! Qu'est-ce que tu fais ?! Tu veux rameuter tout les infectés du coin ?!
-Excusez moi capitaine ! Mais je trouve que cette foutue affaire n'avance pas ! Ils se foutent de nous ! Répondit Lukas enervé.
-Il ne s'agit plus seulement de notre mission, mais aussi de survivre soldat ! Ne prends plus jamais d'initiatives c'est compris ?!
-Oui mon capitaine !
Ce qu'ils n'ont pas remarqués, c'est que le véhicule s'arrêta quelques secondes, une sorte de flash ou de reflets illumina la fenêtre avant, puis il repartit de plus belle, bon sang mais qu'est-ce qu'il se passe ici ?!
Commentaires
- chrastokon
09/06/2011 à 16:15:11
Sweet
- FlaV
08/06/2011 à 18:39:29
Suite ;)