Note de la fic :
Publié le 15/12/2010 à 23:23:52 par Khamsou
Le jeu requérait de l’adresse de la part des joueurs.Et malheureusement, on avait tous du mal, après tout ce qu’on avait déjà consommé. Tous les six, nous avions au bout des doigts un shot de Tequila. Par duo nous devions nous le verser chacun dans la bouche de l’autre. et le contact entre le verre et les lèvres étaient interdits. Plus la hauteur était importante, et moins l’alcool était renversé, plus on gagnait de points.
Ma partenaire me lança un clin d’oeil complice. Je me mis à genoux et sentit l’alcool se renverser dans mon gosier. Un score parfait. Lorsque je le lui versai mon verre, nous fîmes de même. J’étais un as du genre. Puis en voyant les autres qui échouaient, nous nous mîmes à rire.
La vie était faite de rires. J’avais trouvé le mien et les gens partageaient le leur avec moi très rapidement. Ouais, j’étais heureux.
La soirée battait son plein. On était une quinzaine de personne, et la musique, dont les basses étaient renforcés au maximum, nous faisait bouger l’estomac. Et tous nous dansions, insouciants. On n’en avait rien à faire. On était libres. Le monde nous appartenait. Et notre corps ne connaissait aucune limite. Depuis mes 14 ans, j’ai absorbé beaucoup de substances et je ne l’ai jamais regretté. Elles me font me sentir bien. La vie devient rose, et je suis heureux.
Et puis merde, c’est quoi ce discours ? Rentrez dans la danse mes amis ! Abandonnez-vous à la folie enivrante de l’inconnu, oublions le cycle ennuyeux du soleil et de la Lune, nous ne sommes pas venus au monde pour nous conformer à des règles et des principes. Nous sommes LIBRES.
Elle se rapprocha de moi. Janis était belle à sa façon, malgré ses nombreuses imperfections, elle savait se mettre en valeur. Nous nous plaisions et nous ne nous le cachions pas.Dès lors, après avoir passé quelques temps, en retrait de la soirée sur un fauteuil à s’embrasser de manière de plus en plus torride, nous partîmes chercher un lit et nous nous adonnâmes à nos pratiques régulières.
Le réveil fut difficile en revanche. Janis était déjà parti et le propriétaire de la maison me fit rapidement comprendre qu’il voulait que je dégage. Je pris mes affaires et me retrouvai quelques minutes après dehors. Je ne savais pas trop où aller, mais après un temps de réflexion, la question ne se posa pas. Je connaissais un endroit parfait, vide la plupart du temps en dehors de trois autres personnes, où je pourrais finir de cuver tout l’alcool que j’avais ingurgité. Ainsi après quelques minutes, j’arrivais à destination. Il n’y avait qu’un seul des trois autres habitués. Un jeune de 17 ans, en train de fumer tout en écrivant quelque chose. Je croyais qu’il ne fumait pas, il m’avait toujours affirmé ne pas avoir de feu sur lui avant. Il avait un nom bizarre je crois… Euh… Mellon Collie il me semble. Oui, on en avait parlé une fois, comme un album d’un groupe de rock. Un hommage selon lui. En me voyant passer il me fit un sourire. Trop fatigué et pété pour lui répondre, je me contentai alors de cligner des yeux amicalement puis je partis m’étendre dans l’herbe, tandis que le vent froid me faisait grelotter. Mais qu’importe, c’était le vent de la liberté.
Ma partenaire me lança un clin d’oeil complice. Je me mis à genoux et sentit l’alcool se renverser dans mon gosier. Un score parfait. Lorsque je le lui versai mon verre, nous fîmes de même. J’étais un as du genre. Puis en voyant les autres qui échouaient, nous nous mîmes à rire.
La vie était faite de rires. J’avais trouvé le mien et les gens partageaient le leur avec moi très rapidement. Ouais, j’étais heureux.
La soirée battait son plein. On était une quinzaine de personne, et la musique, dont les basses étaient renforcés au maximum, nous faisait bouger l’estomac. Et tous nous dansions, insouciants. On n’en avait rien à faire. On était libres. Le monde nous appartenait. Et notre corps ne connaissait aucune limite. Depuis mes 14 ans, j’ai absorbé beaucoup de substances et je ne l’ai jamais regretté. Elles me font me sentir bien. La vie devient rose, et je suis heureux.
Et puis merde, c’est quoi ce discours ? Rentrez dans la danse mes amis ! Abandonnez-vous à la folie enivrante de l’inconnu, oublions le cycle ennuyeux du soleil et de la Lune, nous ne sommes pas venus au monde pour nous conformer à des règles et des principes. Nous sommes LIBRES.
Elle se rapprocha de moi. Janis était belle à sa façon, malgré ses nombreuses imperfections, elle savait se mettre en valeur. Nous nous plaisions et nous ne nous le cachions pas.Dès lors, après avoir passé quelques temps, en retrait de la soirée sur un fauteuil à s’embrasser de manière de plus en plus torride, nous partîmes chercher un lit et nous nous adonnâmes à nos pratiques régulières.
Le réveil fut difficile en revanche. Janis était déjà parti et le propriétaire de la maison me fit rapidement comprendre qu’il voulait que je dégage. Je pris mes affaires et me retrouvai quelques minutes après dehors. Je ne savais pas trop où aller, mais après un temps de réflexion, la question ne se posa pas. Je connaissais un endroit parfait, vide la plupart du temps en dehors de trois autres personnes, où je pourrais finir de cuver tout l’alcool que j’avais ingurgité. Ainsi après quelques minutes, j’arrivais à destination. Il n’y avait qu’un seul des trois autres habitués. Un jeune de 17 ans, en train de fumer tout en écrivant quelque chose. Je croyais qu’il ne fumait pas, il m’avait toujours affirmé ne pas avoir de feu sur lui avant. Il avait un nom bizarre je crois… Euh… Mellon Collie il me semble. Oui, on en avait parlé une fois, comme un album d’un groupe de rock. Un hommage selon lui. En me voyant passer il me fit un sourire. Trop fatigué et pété pour lui répondre, je me contentai alors de cligner des yeux amicalement puis je partis m’étendre dans l’herbe, tandis que le vent froid me faisait grelotter. Mais qu’importe, c’était le vent de la liberté.