Note de la fic :
Métro Destination l'Enfer
Par : Blacksun
Genre : Fantastique, Horreur
Statut : C'est compliqué
Chapitre 3 : Chapitre 1 Partie 2
Publié le 03/06/2011 à 13:07:19 par Blacksun
Non ! Il l’a fait ! Il veut vraiment jouer avec leurs vies ! Bon sang… Il ne se rend pas compte de ce qu’il fait ! Déjà qu’il s’amusait suffisamment comme un enfant sur son ancien jeu, pour trier les vivants et les morts… Il fallait qu’il invente un nouveau challenge pour eux… Mais à peine ai-je envisagé d’aller le trouver au manoir que François apparaît face à Perrier et Max95. Il les fixe du regard de ses yeux chafouins afin de paralyser les deux garçons de terreur. Puis, une fois satisfait de l’immobilité de ceux-ci, il commence sa tirade :
De voir vos visages contrariés je me languis,
A l’approche de ce que je m’apprête à vous faire parvenir.
Soyez rassurés, je n’en veux pas à vos cruelles vies,
Car de la crainte dans vos yeux je peux y lire.
J’ai l’immense chagrin de vous annoncer votre mort,
Suite à un accident imprévisible.
Mes pauvres ! Il va falloir être forts,
Afin d’éviter un décès plus que risible.
J’ai en effet une dernière chance à vous proposer,
Qui vous permettra de revoir un jour meilleur qu’ici.
Pour espérer survivre il vous faudra oser,
Et renoncer à toutes confiances pour ne pas être trahis.
Il n'existe à présent aucune différence entre humains et démons;
Pour vaincre, vous devrez éliminer mes quatre-vingts complices.
Les humains qui n'y parviendraient pas, eux, mourront,
Tandis que les autres n'auront pas à subir de multiples supplices.
François affiche un sourire mauvais et se consume soudainement pour finir en tas de cendres. Les deux garçons se libèrent de la paralysie infligée par François. L'un d'eux, Perrier, s'effondre à genoux sur le béton, les mains recouvrant son visage crispé par la souffrance. Il s'écrie:
- Putain! Pourquoi... Pourquoi on doit subir cela!?
Son ami ne tarde pas à le rejoindre.
- J'en sais absolument rien! On a tout perdu! Notre famille, nos amis, notre vie! Non... Je refuse d'y croire...
- Maxime... Ca y est... (il marque une pause) On est... On est morts!!
Les deux adolescents se mettent à pleurer ensemble. Comment peut-on faire ça à des êtres si jeunes, si faibles? Là, il a dépassé les bornes! Avant j'essayais de ne pas trop y penser, de ne pas m'énerver... Mais c'est terminé! Ce que je sais, c'est qu'il a de multiples pouvoirs qu'on ne peut certainement pas avoir dans le monde réel. Par exemple, le clone, à l'instant. Il les envois souvent lorsque il n'a pas la force d'aller faire une annonce. Du coup, je suis sûr qu'il doit être dans son manoir, à se tourner les pouces ou à se reposer! Je vais le retrouver et je ferais sauter sa maudite maison! J'ai toujours hésité... Mais à présent, je peux... Oui, je peux le qualifier de diable! J'aimerais rester auprès de ces pauvres garçons, mais je n'ai de toute façon pas les moyens de les aider... Je ne veux pas les abandonner, au contraire... Désolé, et au revoir... Qu'ils se rassurent, ils seront vengés!
Je leur adresse un bref signe de salut, qu'ils ne voient pas, évidement, puis je pars vers le manoir. Il doit être environ huit heure du matin, je me demande s'il est chez lui. Heureusement, je ne suis pas très loin. Ça m'a quand même fait du bien de marcher un peu, j'utile le téléporteur de l'enfer pour me déplacer, habituellement. Mais quand j'y pense, j'aurais mieux fait de ne pas me lever ce matin. Après cinq minutes de marche, j'aperçois une jeune femme qui marche dans la même direction que moi. Elle dégage un certain charme, je décide de rester prés d'elle pour voir se qu'elle compte faire dans le Q.G de François. Une fois arrivé à celui-ci, elle regarde furtivement autour d'elle et entre dans le hall. Cette salle est le carrefour du bâtiment. Effectivement, toutes les pièces importantes se trouvent à porté de mains. La jeune femme, dont le pseudo est Perle, choisit une porte avec une poigné en forme de révolver. Elle active celle-ci et pousse. Elle découvre une pièce impressionnante. Des armes, partout. Et pas n'importe lesquelles, non! Les armes de l'enfer. Qu'on ne trouve nulle part ailleurs. Par exemple, à droite de Perle se trouve, posé sur une étagère, un couteau qui repent des fourmis tueuses dans le corps de la victime, qui se voit se faire dévorer le cœur quelques instants plus tard. Il y a aussi un poison qui fait grossir quiconque l'ingurgite. Le malheureux prend un kilo chaque minute, une mort qui doit être assez horrible et douloureuse, je dois avouer. Perle s'avance dans la pièce et commence à la fouiller. Elle trouve dans une penderie une quantité phénoménale d'uniformes et d'armures en tout genre: trois gilets pare-balle, cinq armures basiques, deux maillots isolants (probablement pour les chocs électriques), des vêtements anti-brûlure, ainsi que d'autres habits dont je ne connais pas leurs utilités. Quoi qu'il en soit, Perle prend un gilet pare-balle et s'en contente. Elle aperçoit une besace et décide d'y ranger quelques armes. Elle s'empare de trois poignards, d'une grenade et d'un pistolet qui fait un peu « jouet ». Elle range le tout sa besace et quitte la salle des armes.
De voir vos visages contrariés je me languis,
A l’approche de ce que je m’apprête à vous faire parvenir.
Soyez rassurés, je n’en veux pas à vos cruelles vies,
Car de la crainte dans vos yeux je peux y lire.
J’ai l’immense chagrin de vous annoncer votre mort,
Suite à un accident imprévisible.
Mes pauvres ! Il va falloir être forts,
Afin d’éviter un décès plus que risible.
J’ai en effet une dernière chance à vous proposer,
Qui vous permettra de revoir un jour meilleur qu’ici.
Pour espérer survivre il vous faudra oser,
Et renoncer à toutes confiances pour ne pas être trahis.
Il n'existe à présent aucune différence entre humains et démons;
Pour vaincre, vous devrez éliminer mes quatre-vingts complices.
Les humains qui n'y parviendraient pas, eux, mourront,
Tandis que les autres n'auront pas à subir de multiples supplices.
François affiche un sourire mauvais et se consume soudainement pour finir en tas de cendres. Les deux garçons se libèrent de la paralysie infligée par François. L'un d'eux, Perrier, s'effondre à genoux sur le béton, les mains recouvrant son visage crispé par la souffrance. Il s'écrie:
- Putain! Pourquoi... Pourquoi on doit subir cela!?
Son ami ne tarde pas à le rejoindre.
- J'en sais absolument rien! On a tout perdu! Notre famille, nos amis, notre vie! Non... Je refuse d'y croire...
- Maxime... Ca y est... (il marque une pause) On est... On est morts!!
Les deux adolescents se mettent à pleurer ensemble. Comment peut-on faire ça à des êtres si jeunes, si faibles? Là, il a dépassé les bornes! Avant j'essayais de ne pas trop y penser, de ne pas m'énerver... Mais c'est terminé! Ce que je sais, c'est qu'il a de multiples pouvoirs qu'on ne peut certainement pas avoir dans le monde réel. Par exemple, le clone, à l'instant. Il les envois souvent lorsque il n'a pas la force d'aller faire une annonce. Du coup, je suis sûr qu'il doit être dans son manoir, à se tourner les pouces ou à se reposer! Je vais le retrouver et je ferais sauter sa maudite maison! J'ai toujours hésité... Mais à présent, je peux... Oui, je peux le qualifier de diable! J'aimerais rester auprès de ces pauvres garçons, mais je n'ai de toute façon pas les moyens de les aider... Je ne veux pas les abandonner, au contraire... Désolé, et au revoir... Qu'ils se rassurent, ils seront vengés!
Je leur adresse un bref signe de salut, qu'ils ne voient pas, évidement, puis je pars vers le manoir. Il doit être environ huit heure du matin, je me demande s'il est chez lui. Heureusement, je ne suis pas très loin. Ça m'a quand même fait du bien de marcher un peu, j'utile le téléporteur de l'enfer pour me déplacer, habituellement. Mais quand j'y pense, j'aurais mieux fait de ne pas me lever ce matin. Après cinq minutes de marche, j'aperçois une jeune femme qui marche dans la même direction que moi. Elle dégage un certain charme, je décide de rester prés d'elle pour voir se qu'elle compte faire dans le Q.G de François. Une fois arrivé à celui-ci, elle regarde furtivement autour d'elle et entre dans le hall. Cette salle est le carrefour du bâtiment. Effectivement, toutes les pièces importantes se trouvent à porté de mains. La jeune femme, dont le pseudo est Perle, choisit une porte avec une poigné en forme de révolver. Elle active celle-ci et pousse. Elle découvre une pièce impressionnante. Des armes, partout. Et pas n'importe lesquelles, non! Les armes de l'enfer. Qu'on ne trouve nulle part ailleurs. Par exemple, à droite de Perle se trouve, posé sur une étagère, un couteau qui repent des fourmis tueuses dans le corps de la victime, qui se voit se faire dévorer le cœur quelques instants plus tard. Il y a aussi un poison qui fait grossir quiconque l'ingurgite. Le malheureux prend un kilo chaque minute, une mort qui doit être assez horrible et douloureuse, je dois avouer. Perle s'avance dans la pièce et commence à la fouiller. Elle trouve dans une penderie une quantité phénoménale d'uniformes et d'armures en tout genre: trois gilets pare-balle, cinq armures basiques, deux maillots isolants (probablement pour les chocs électriques), des vêtements anti-brûlure, ainsi que d'autres habits dont je ne connais pas leurs utilités. Quoi qu'il en soit, Perle prend un gilet pare-balle et s'en contente. Elle aperçoit une besace et décide d'y ranger quelques armes. Elle s'empare de trois poignards, d'une grenade et d'un pistolet qui fait un peu « jouet ». Elle range le tout sa besace et quitte la salle des armes.
Commentaires
- Gregor
03/06/2011 à 13:22:34
Et ce petit con ne passe même pas dire bonjour sur le chat ?
(je vais lire ça ... )