Note de la fic :
Publié le 30/04/2011 à 20:00:17 par maxarus
Chanlon inspecte ses hommes les uns après les autres, il a hâte de s'en aller .
-Qu'est qu'il fout Ferrand ? Fulmine un des soldats .
-Il va arriver ne vous inquiétez pas . Réponds le lieutenant serein les bras croisés assis sur une table .
-J'ai surtout l?impression que il s'est barré ce con !
-Bon dis-donc Marc tu le veux mon poing dans la gueule ? Demande Chanlon au fauteur de trouble, tu crois pas que tout le monde est déjà assez stressé ? Continue et tu vas l'avoir ton rapport ! A grands coup de pompe dans le cul !
-Je suis là ! Dit une petit voix soudaine derrière la porte .
-Laisse-le entrer . Ordonne Chanlon au gardien .
Le gardien s'exécute et laisse rentrer un Ferrand essoufflé .
-Il y a un passage pas loin praticable, c'est notre ticket pour se barrer d'ici .
-On te suis . Réponds Chanlon .
Qg de la base française « Le Cormoran »
Le colonel De la Roche est un homme respecté, venant d'une famille aisée, il fit ses études dans une grande école militaire, c'est un homme d'une cinquantaine d'années, enrobé, une énorme moustache rousse qui lui barre le dessous du nez, voilà comment est t'il ce brave officier de l'armée française .
De la Roche est nerveux, la tête dans ses papiers, son cigare à la bouche et sa main grattant son menton, bref, De la Roche était en pleine réflexion, une réflexion de crise . Au-dessus de sa tête derrière lui est accroché une photo encadrée de lui serrant la main au Général De Gaulle . Quand soudain, un jeune homme d'une vingtaine d'années rentre dans son bureau l'air ahuri .
-Colonel colonel ! S'extasie t'il .
-Que se passe t'il Mangin ? Demande alors le colonel colérique, vous savez que je suis en train de travailler là ! On a toujours pas de nouvelles des trois groupes depuis bientôt deux heures !
-Justement colonel...
-Comment ? Qu'est ce que vous m'avez trouvé Mangin ?
-On a eu un contact radio...
-Et ? Questionne De la Roche perplexe .
-Vous n'allez pas être content colonel... ce ne sont pas des français que nous avons eu à l'autre bout de la ligne . Souffle le pauvre Mangin .
-Vous êtes en train de me dire, que ceux que vous avez eu, ce sont les... fels ? L'interpelle t'il abasourdi .
-Effectivement...
-Nom de Dieu ! Hurle t'il .
Mangin ne sait plus ou se mettre, il reste comme un piquet au milieu du bureau, les mains derrière le dos, au garde-à-vous, le colonel courroucé jette son verre à travers la pièce et tape son pied contre le mur .
-Mais colonel... je n'ai pas finis...
De la Roche le regarde alors les yeux grands ouvert, il s'approche de Mangin en quelques pas le prends par les épaules .
-Vous avez intérêt à avoir des bonnes nouvelles mon petit Mangin . Ordonne t'il doucement .
-Deux radios ont eu un contact avec nous, mais il en reste une, peut-être quelle n'est pas tombé aux mains des ennemis ? Suppose t'il .
-Faites un appel radio toutes les dix minutes...
-Toutes les dix minutes ? Répète Mangin intrigué, mais jusqu'à quand mon colonel ?
-Jusqu'à qu'ils répondent andouille ! Hurle t'il, allez au boulot maintenant !
-Oui mon colonel, bafouille t'il en sortant à toutes jambes, bien mon colonel .
-Qu'est qu'il fout Ferrand ? Fulmine un des soldats .
-Il va arriver ne vous inquiétez pas . Réponds le lieutenant serein les bras croisés assis sur une table .
-J'ai surtout l?impression que il s'est barré ce con !
-Bon dis-donc Marc tu le veux mon poing dans la gueule ? Demande Chanlon au fauteur de trouble, tu crois pas que tout le monde est déjà assez stressé ? Continue et tu vas l'avoir ton rapport ! A grands coup de pompe dans le cul !
-Je suis là ! Dit une petit voix soudaine derrière la porte .
-Laisse-le entrer . Ordonne Chanlon au gardien .
Le gardien s'exécute et laisse rentrer un Ferrand essoufflé .
-Il y a un passage pas loin praticable, c'est notre ticket pour se barrer d'ici .
-On te suis . Réponds Chanlon .
Qg de la base française « Le Cormoran »
Le colonel De la Roche est un homme respecté, venant d'une famille aisée, il fit ses études dans une grande école militaire, c'est un homme d'une cinquantaine d'années, enrobé, une énorme moustache rousse qui lui barre le dessous du nez, voilà comment est t'il ce brave officier de l'armée française .
De la Roche est nerveux, la tête dans ses papiers, son cigare à la bouche et sa main grattant son menton, bref, De la Roche était en pleine réflexion, une réflexion de crise . Au-dessus de sa tête derrière lui est accroché une photo encadrée de lui serrant la main au Général De Gaulle . Quand soudain, un jeune homme d'une vingtaine d'années rentre dans son bureau l'air ahuri .
-Colonel colonel ! S'extasie t'il .
-Que se passe t'il Mangin ? Demande alors le colonel colérique, vous savez que je suis en train de travailler là ! On a toujours pas de nouvelles des trois groupes depuis bientôt deux heures !
-Justement colonel...
-Comment ? Qu'est ce que vous m'avez trouvé Mangin ?
-On a eu un contact radio...
-Et ? Questionne De la Roche perplexe .
-Vous n'allez pas être content colonel... ce ne sont pas des français que nous avons eu à l'autre bout de la ligne . Souffle le pauvre Mangin .
-Vous êtes en train de me dire, que ceux que vous avez eu, ce sont les... fels ? L'interpelle t'il abasourdi .
-Effectivement...
-Nom de Dieu ! Hurle t'il .
Mangin ne sait plus ou se mettre, il reste comme un piquet au milieu du bureau, les mains derrière le dos, au garde-à-vous, le colonel courroucé jette son verre à travers la pièce et tape son pied contre le mur .
-Mais colonel... je n'ai pas finis...
De la Roche le regarde alors les yeux grands ouvert, il s'approche de Mangin en quelques pas le prends par les épaules .
-Vous avez intérêt à avoir des bonnes nouvelles mon petit Mangin . Ordonne t'il doucement .
-Deux radios ont eu un contact avec nous, mais il en reste une, peut-être quelle n'est pas tombé aux mains des ennemis ? Suppose t'il .
-Faites un appel radio toutes les dix minutes...
-Toutes les dix minutes ? Répète Mangin intrigué, mais jusqu'à quand mon colonel ?
-Jusqu'à qu'ils répondent andouille ! Hurle t'il, allez au boulot maintenant !
-Oui mon colonel, bafouille t'il en sortant à toutes jambes, bien mon colonel .
Commentaires
- aznpokit
06/05/2011 à 02:58:13
A quand la sweet?