L'horloge sonna 16.30. Il était temps pour moi de partir. PARDON! Il était temps pour les élèves qui n'allaient pas enculer la prof de sortir. Ce qui n'était pas mon cas. Je rangeais lentement mes affaires, en attendant que tout le monde sorte. Au dernier élève, la prof ferma la porte à clé, et se tourna lentement vers moi, en souriant de toutes ses dents. Elle s'avança vers ma table en soulevant tout doucement son T-Shirt mouillé, qui se colla à ses seins et les serrèrent contre son torse, en les gonflant légèrement. Elle enleva son jean, laissant apparaitre sa chatte, qui cherchait des amis, qui avait faim, sa chatte velue, de portugaise, puis elle se rendit compte que le préservatif était tombé de son T-Shirt, derrière elle. Elle se retourna, et je vis son cul dans toute sa splendeur, ce cul que j'avais pénétré quelques instants plus tôt avec mes longs doigts de pianiste. Elle se pencha doucement pour ramasser le préservatif, et l'instant d'après, je me retrouvait derrière elle à l'enculer avec le préservatif que je venais de lui arracher des mains pour la sodomiser plus rapidement. Elle fut surprise et poussa un petit cri excitant. Elle avança, tout en se faisant enculer, vers son bureau, elle y trouva appui et alors je réalisais un autre de mes fantasmes les plus fous, empaler de mon sexe ma prof d'espagnol contre son bureau. Son torse faisait un angle droit avec son cul, elle était écrasée par la force de mes allers-retours dans son anus, elle se cramponnait au bureau tout en hurlant de plaisir, je lui bourrinait le cul, son élève préféré était en train de la ramoner par derrière, en vicieux, et elle aimait ça, ça la faisait jouir.
"-OoooOOOOOH MI PEQUENO ********! TU VA FAIRE MOUILLER MA PETITE CHATTE AVEC TA GROSSE BITE!"
Elle hurlait à plein poumons, partagée entre la douleur fulgurante de ma bite dans son postérieur et le plaisir de son anus ouvert par mes allers-retours puissants. Armé de mon double décimètre, je la pénétrais avec violence et passion, je n'en pouvais plus, j'allais lui lâcher le jus dans l'anus...

"-AAAAH STOP!!! J'AI LE TROU EN FEU! TEMPS MORT! ( )"
Je m'arrêtais sur le champ, je sortais mon pénis à l'air, rougis par la violence de mes actes, le préservatif rendu marron par la merde, et j'observais la taille du trou : un trou gros comme un poing. J'avais agrandi l'anus de la femme de mes fantasmes avec une sodomie! Un vrai délice. Quant à la prof, elle continuait de se cramponner au bureau, rougie de partout, en reprenant son souffle. L'entendre souffleter doucement, son postérieur si rond et si beau, la voir nue comme ça, si fragile, si vulnérable, si avide de sexe, ça m'excitait et j'avais envie de continuer. Je la laissais malgré tout reprendre son souffle après cette sodomie violente pour ne pas la dégouter de moi et pouvoir recommencer ultérieurement...
"-pfff... pfff... oooh, mi pequeno *... tu m'as détruite avec ton gros sexe... pfff... mais... j'ai adoré ça... -elle se met sur le dos, sur le bureau, et lève les cuisses en l'air- continu ce que tu as commencé!
-Si, senora!"
Je la regardais d'abord, elle avait la tête penchée sur le côté, les seins raplatis par la gravité, les cuisses levée, la chatte prête à accueillir mon gros jouet, elle fermait les yeux de manière à se préparer à la violence que j'allais lui infliger avec plaisir...
Je prenais délicatement chacune de ses cuisses en main, me rapprochait de son trou... et enfonçait violemment.
"-Aie, c'est pas celui là!"
Elle se tortilla le bassin pour guider mon pénis vers sa forêt dense... mon sapin la transperça lentement, et elle se plia sur le bureau en poussant un petit gémissement...
Je commençais à aller plus vite, je sentais son vagin se resserrer contre ma bite, l'intérieur humide de sa chatte m'excitait... j'allais et venais dans un conduit humide, étroit, visqueux, chaud... vivant. J'allais et venais dans ma prof d'espagnol. A chaque fois que j'entrai en elle, elle gémissait de plus en plus fort, j'allais de plus en plus vite, je lui faisais de plus en plus de bien.
"-Va au fond mi pequeno *... va bien au fond... -j'enfonçais- Aaaah!!!! OOuui bien au fond de tes pensées -je renfoncais- Mmmmmh... tu le fais si bien... AAaaaaAA!!!aAAah!AAAAAAAh!"
J'allais maintenant très vite et j'allais tout au fond, elle serrait son vagin à cause de l'excitation, mais ça ne m'arrêtait pas et j'allais dans les profondeurs de sa chatte...


Toc toc toc!
"-Hey, qu'est ce qui se passe là dedans?! Pourquoi vous criez?"
Madame O* se relève, ce qui provoque un glissement sur mon pénis et me procure un dernier plaisir. Je suppose que pour elle aussi car elle gémit sur le coup.
"-Ouvrez, y'a quelqu'un?"