Note de la fic :
Publié le 02/01/2011 à 03:20:48 par MisterJohnson
"-Ça va madame?
-Oooh, oui..."
Je regardais le papier, j'essuyai la merde et je vis des phrases, en espagnol, ponctuées de "sénora!". Elle se retourna, me sourit, et je lui répondit "El hombre del libro es Francisco!".
"-Si, mi pequeno *!"
Le jeu continua, elle se retournait de temps en temps pour me demander de lui caresser les fesses, chose que je faisais en me touchant, et en écoutant ses petits gémissements.
Le jeu finit, la prof se retourna et se pencha vers moi en me montrant sa luxueuse poitrine et me dit "***! Tu auras une petit gâterie à la fin des cours! J'espère que tu vas aimer hihi!Attendez tous, je dois aller chercher la gâterie."
Quoi? Aller chercher la gâterie? Mais c'est quoi ce bordel! Connasse, la gâterie c'est UNE PUTAIN DE PIPE MERDE! C'est quoi ce bordel...
Tout le monde se leva dès que la prof était dehors, et tout le monde alla à la fenêtre. Je restais seul assis dans mon coin. Mais, une ombre derrière la porte?
La porte s'ouvrit doucement, et la prof entra silencieusement dans la salle, une capote à la main. Elle mit la capote dans son T-shirt et se dirigea vers moi en souriant. Elle se pencha vers moi, et me chuchota "Je te donne un petit bout de ta gâterie maintenant, tu aura le reste à la fin des cours". Toujours en souriant, elle s'abaissa et se mit sous ma table. J'avais les yeux écarquillés, je comprenais pas, et pendant que je réfléchissais ma braguette s'ouvrait, et une main s'emparait de mon sexe qui commençait à durcir, et Madame O* me suça. J'étais très excité, et je l'entendais gémir sous la table : elle suçait son élève, et ça lui procurait autant de plaisir que quand je lui fourrait mes doigts dans l'anus! Je jetais un coup d'œil sous la table : ma bite, de 18.5cm, était engloutie toute entière dans la bouche de O*! Elle devait s'y connaitre en fellation et avoir de l'expérience avec le sexe. Je la voyais sucer goulument, en allant et venant avec ses lèvres, elle fermait les yeux pour avoir plus de plaisir, et elle me tripotait les couilles, et elle se touchait les seins à travers son T-Shirt. Je dégoulinait de sueur, personne ne voyait ce qui se passait, et O* me pompait avidement, elle m'aspirait la verge dans un gémissement d'extase pur. Je n'en pouvais plus, et je lâchais la semence dans sa bouche. Elle continua de sucer, pour bien imprégner le gout du sperme sur sa langue, et avala tout en souriant, elle aimait ça. Elle voulait du sexe, et maintenant, moi aussi. Cette femme était une vraie salope. Elle sortit de sous la table toute ébouriffée, pleine de sueur, et sa transpiration rendait transparent son T-Shirt. Elle alla discrètement dehors, claqua des talons pour faire revenir tout le monde à sa place, et entra pour s'assoir à son bureau, l'air de rien. Personne ne remarqua les cheveux décoiffés et les seins apparents.
"-Bon, j'ai pas trouvé ta gâterie, je t'en devrai une pour la prochaine fois!"
Tout le monde rit, mais moi je m'en branle littéralement : j'attendais la fin du cours avec impatience, et ce cours passa rapidement, car je me tripotais sur son décolleté qu'elle me montrait en souriant quand elle me parlait de sa chatte à qui il fallait acheter à manger, son mari aimait lui donner des jouets, elle voudrait plus d'amis, et son mari l'ennuyait en ce moment et elle voudrait me la montrer à moi, rien qu'à moi.
Je comprenais ces sous entendus flagrant pour quelqu'un qui vient de se faire sucer par sa prof d'espagnol et salivais d'avance. Mes aventures sexuelles avec elle seraient sans limite.
-Oooh, oui..."
Je regardais le papier, j'essuyai la merde et je vis des phrases, en espagnol, ponctuées de "sénora!". Elle se retourna, me sourit, et je lui répondit "El hombre del libro es Francisco!".
"-Si, mi pequeno *!"
Le jeu continua, elle se retournait de temps en temps pour me demander de lui caresser les fesses, chose que je faisais en me touchant, et en écoutant ses petits gémissements.
Le jeu finit, la prof se retourna et se pencha vers moi en me montrant sa luxueuse poitrine et me dit "***! Tu auras une petit gâterie à la fin des cours! J'espère que tu vas aimer hihi!Attendez tous, je dois aller chercher la gâterie."
Quoi? Aller chercher la gâterie? Mais c'est quoi ce bordel! Connasse, la gâterie c'est UNE PUTAIN DE PIPE MERDE! C'est quoi ce bordel...
Tout le monde se leva dès que la prof était dehors, et tout le monde alla à la fenêtre. Je restais seul assis dans mon coin. Mais, une ombre derrière la porte?
La porte s'ouvrit doucement, et la prof entra silencieusement dans la salle, une capote à la main. Elle mit la capote dans son T-shirt et se dirigea vers moi en souriant. Elle se pencha vers moi, et me chuchota "Je te donne un petit bout de ta gâterie maintenant, tu aura le reste à la fin des cours". Toujours en souriant, elle s'abaissa et se mit sous ma table. J'avais les yeux écarquillés, je comprenais pas, et pendant que je réfléchissais ma braguette s'ouvrait, et une main s'emparait de mon sexe qui commençait à durcir, et Madame O* me suça. J'étais très excité, et je l'entendais gémir sous la table : elle suçait son élève, et ça lui procurait autant de plaisir que quand je lui fourrait mes doigts dans l'anus! Je jetais un coup d'œil sous la table : ma bite, de 18.5cm, était engloutie toute entière dans la bouche de O*! Elle devait s'y connaitre en fellation et avoir de l'expérience avec le sexe. Je la voyais sucer goulument, en allant et venant avec ses lèvres, elle fermait les yeux pour avoir plus de plaisir, et elle me tripotait les couilles, et elle se touchait les seins à travers son T-Shirt. Je dégoulinait de sueur, personne ne voyait ce qui se passait, et O* me pompait avidement, elle m'aspirait la verge dans un gémissement d'extase pur. Je n'en pouvais plus, et je lâchais la semence dans sa bouche. Elle continua de sucer, pour bien imprégner le gout du sperme sur sa langue, et avala tout en souriant, elle aimait ça. Elle voulait du sexe, et maintenant, moi aussi. Cette femme était une vraie salope. Elle sortit de sous la table toute ébouriffée, pleine de sueur, et sa transpiration rendait transparent son T-Shirt. Elle alla discrètement dehors, claqua des talons pour faire revenir tout le monde à sa place, et entra pour s'assoir à son bureau, l'air de rien. Personne ne remarqua les cheveux décoiffés et les seins apparents.
"-Bon, j'ai pas trouvé ta gâterie, je t'en devrai une pour la prochaine fois!"
Tout le monde rit, mais moi je m'en branle littéralement : j'attendais la fin du cours avec impatience, et ce cours passa rapidement, car je me tripotais sur son décolleté qu'elle me montrait en souriant quand elle me parlait de sa chatte à qui il fallait acheter à manger, son mari aimait lui donner des jouets, elle voudrait plus d'amis, et son mari l'ennuyait en ce moment et elle voudrait me la montrer à moi, rien qu'à moi.
Je comprenais ces sous entendus flagrant pour quelqu'un qui vient de se faire sucer par sa prof d'espagnol et salivais d'avance. Mes aventures sexuelles avec elle seraient sans limite.