Note de la fic :
Ma prof d'Espagnol et moi
Par : MisterJohnson
Genre : Sayks, Nawak
Statut : C'est compliqué
Chapitre 9 : Une autre journée de baise qui s'annonce
Publié le 02/01/2011 à 21:09:47 par MisterJohnson
Après cette chevauchée sexuelle, je me rhabillais et partais chez moi. J'expliquais à Clara que demain, je partais au ski avec mes parents, c'est à dire que je devais me lever tôt et donc me coucher tôt, et je ne baiserai plus personne pendant la semaine. Je prenais quand même une vieille capote, au cas ou.
Le lendemain donc, en voiture, vers Courchevel, j'étais à moitié endormi, il devait être 11 heures du matin... Et soudain, je vis, à gauche, sur l'autoroute, en voiture...
Clara et ma prof d'espagnol, au volant. Elles me virent, me sourirent, et Clara écrasa ses seins sur la vitre, au risque que mon père la voie. Elle ria, la voiture nous dépassa. J'étais sur le cul! Ainsi donc, j'allais retrouver Clara et Madame O* à la station de ski! Je ne savais que penser de cette idée... On continua de rouler 15 minutes, la voiture des deux femelles assoiffées de sexe nous suivant de près. Puis notre voiture s'arrêta sur une air d'autoroute. Mes parents descendirent boire un café, mais j'insistais pour rester dans la voiture : les deux jeunes femmes étaient garées derrière nous, attendant que mes parents s'en aillent. Elles sortirent donc une fois mes parents partis, sourire aux lèvres, et Mme O* ouvrit ma portière :
"-Alors mi pequeno ***, tu partais sans nous? Pauvre choux, et nous pauvres chattes, nous n'aurions pas eu de sexe avec toi pendant 1 semaine! Je ne pourrais pas vivre une semaine sans sexe avec toi."
Elle entra dans la voiture, se mit à ma gauche, et Clara à ma droite. Clara ouvrit ma braguette et abaissa la tête vers mon gland, puis me le suca, elle ondulait de la tête au dessus de ma bite, elle m'aspirait le pénis, sa bouche descendait et montait autour de ma bite et elle jouait avec sa langue. Mme O* mit sa main dans son jean et se toucha en nous regardant, et elle poussait des gémissements à chaque entrée de ses doigts dans son vagin. Au bout de 5 minutes de fellation, elles échangèrent les rôles et c'était au tour de Mme O* de m'aspirer la bite de sa bouche toute entière, tandis que Clara se touchait en gémissant. J'éjaculais dans la bouche de ma prof, et elle avala tout mon sperme en gémissant. Clara mouilla et poussa un petit cri en voyant mon gland apparaitre hors de la bouche de Mme O*. Elles sortirent, puis, dix minutes plus tard, mes parents revinrent.
Ma prof et Clara m'avaient donné un bout de papier avec écrit dessus : "Rendez vous demain à 19h, on te trouvera ne t'inquiète pas...".
Après avoir monté au 8ème étage de l'appart' avec tous les bagages, par les escaliers, puisqu'évidemment l'ascenseur était en panne ( ("> ), j'étais exténué et usé de la queue aux orteils. Mon père me demanda alors de... descendre pour aller chercher un dernier bagage. Non mais sérieeeuuuux...
Ainsi j'étais reparti tout en bas... mais, que vois-je, là, dans le hall d'entrée? Est-ce un ange? Suis-je mort de fatigue dans les escaliers, tombé comme une grosse loque? Est-ce la Mort qui attend devant l'ascenseur, une Mort blonde, avec un postérieur fort prononcé (bah tiens, ça m'aurait étonné), que recouvrent partiellement de longs cheveux blonds?
J'avance lentement dans sa direction, comme dans un rêve... je lui touche l'épaule, elle se retourne... et là, j'me sens con parce que non seulement c'est pas un rêve, mais en plus je vais devoir expliquer pourquoi j'avais une main sur son épaule et l'autre sur mon entre jambe
«-Euh... pardon... euh... l'ascenseur est en panne.
-Oh, vraiment?, demanda -t-elle sur un ton chagriné. Elle fit la moue. Et bien... *elle me jaugea de haut en bas, puis, avec un sourire en coin, compléta :*, pourrais-tu m'aider à monter mes valises au 12ème étage?» me dit-elle avec une tête de hap
Moi, je n'écoutais pas vraiment. En fait, mes yeux étaient plongé dans ce décolleté divin. Oh god, ces proportions... ces seins... comment pouvait on se balader avec un décolleté pareil en plein hiver? Elle devait être sacrément chaude pour ne pas avoir froid...
Elle me réveilla :
-Alors? Mh? Tu seras récompensé comme il se doit
-Aheuh oui, oui.
Comme un bon soumis, je pris alors une valise dans chaque main (ONCH KOM JE SUI MUSSE CLEF) et
-Passe devant, les dames d'abord
-Quel gentleman
-*Onch onch je vais pouvoir mater ton cul comme ça*
-Quoi?
-J'ai dit, oumph j'irais bien boire un verre de muscat
Ainsi elle avança devant moi durant 12 étages qui me parurent durer une éternité, une éternité fatigante mais infiniment excitante. CELLE LA, JE VAIS ME LA FAIRE!
Le lendemain donc, en voiture, vers Courchevel, j'étais à moitié endormi, il devait être 11 heures du matin... Et soudain, je vis, à gauche, sur l'autoroute, en voiture...
Clara et ma prof d'espagnol, au volant. Elles me virent, me sourirent, et Clara écrasa ses seins sur la vitre, au risque que mon père la voie. Elle ria, la voiture nous dépassa. J'étais sur le cul! Ainsi donc, j'allais retrouver Clara et Madame O* à la station de ski! Je ne savais que penser de cette idée... On continua de rouler 15 minutes, la voiture des deux femelles assoiffées de sexe nous suivant de près. Puis notre voiture s'arrêta sur une air d'autoroute. Mes parents descendirent boire un café, mais j'insistais pour rester dans la voiture : les deux jeunes femmes étaient garées derrière nous, attendant que mes parents s'en aillent. Elles sortirent donc une fois mes parents partis, sourire aux lèvres, et Mme O* ouvrit ma portière :
"-Alors mi pequeno ***, tu partais sans nous? Pauvre choux, et nous pauvres chattes, nous n'aurions pas eu de sexe avec toi pendant 1 semaine! Je ne pourrais pas vivre une semaine sans sexe avec toi."
Elle entra dans la voiture, se mit à ma gauche, et Clara à ma droite. Clara ouvrit ma braguette et abaissa la tête vers mon gland, puis me le suca, elle ondulait de la tête au dessus de ma bite, elle m'aspirait le pénis, sa bouche descendait et montait autour de ma bite et elle jouait avec sa langue. Mme O* mit sa main dans son jean et se toucha en nous regardant, et elle poussait des gémissements à chaque entrée de ses doigts dans son vagin. Au bout de 5 minutes de fellation, elles échangèrent les rôles et c'était au tour de Mme O* de m'aspirer la bite de sa bouche toute entière, tandis que Clara se touchait en gémissant. J'éjaculais dans la bouche de ma prof, et elle avala tout mon sperme en gémissant. Clara mouilla et poussa un petit cri en voyant mon gland apparaitre hors de la bouche de Mme O*. Elles sortirent, puis, dix minutes plus tard, mes parents revinrent.
Ma prof et Clara m'avaient donné un bout de papier avec écrit dessus : "Rendez vous demain à 19h, on te trouvera ne t'inquiète pas...".
Après avoir monté au 8ème étage de l'appart' avec tous les bagages, par les escaliers, puisqu'évidemment l'ascenseur était en panne ( ("> ), j'étais exténué et usé de la queue aux orteils. Mon père me demanda alors de... descendre pour aller chercher un dernier bagage. Non mais sérieeeuuuux...
Ainsi j'étais reparti tout en bas... mais, que vois-je, là, dans le hall d'entrée? Est-ce un ange? Suis-je mort de fatigue dans les escaliers, tombé comme une grosse loque? Est-ce la Mort qui attend devant l'ascenseur, une Mort blonde, avec un postérieur fort prononcé (bah tiens, ça m'aurait étonné), que recouvrent partiellement de longs cheveux blonds?
J'avance lentement dans sa direction, comme dans un rêve... je lui touche l'épaule, elle se retourne... et là, j'me sens con parce que non seulement c'est pas un rêve, mais en plus je vais devoir expliquer pourquoi j'avais une main sur son épaule et l'autre sur mon entre jambe
«-Euh... pardon... euh... l'ascenseur est en panne.
-Oh, vraiment?, demanda -t-elle sur un ton chagriné. Elle fit la moue. Et bien... *elle me jaugea de haut en bas, puis, avec un sourire en coin, compléta :*, pourrais-tu m'aider à monter mes valises au 12ème étage?» me dit-elle avec une tête de hap
Moi, je n'écoutais pas vraiment. En fait, mes yeux étaient plongé dans ce décolleté divin. Oh god, ces proportions... ces seins... comment pouvait on se balader avec un décolleté pareil en plein hiver? Elle devait être sacrément chaude pour ne pas avoir froid...
Elle me réveilla :
-Alors? Mh? Tu seras récompensé comme il se doit
-Aheuh oui, oui.
Comme un bon soumis, je pris alors une valise dans chaque main (ONCH KOM JE SUI MUSSE CLEF) et
-Passe devant, les dames d'abord
-Quel gentleman
-*Onch onch je vais pouvoir mater ton cul comme ça*
-Quoi?
-J'ai dit, oumph j'irais bien boire un verre de muscat
Ainsi elle avança devant moi durant 12 étages qui me parurent durer une éternité, une éternité fatigante mais infiniment excitante. CELLE LA, JE VAIS ME LA FAIRE!
Commentaires
- para-neuski
08/03/2012 à 12:06:52
J'adore le rattrapage a la Kyle de South Park "oumpf j'irais bien boire un muscat"